Focalisation Interne Avec 2 Point De Vue

naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue Première phrase : focalisation zéro => le narrateur est omniscient A) Portrait de Julien par Mme de Rênal - focalisation - indétermination de Julien « une jeune fille déguisée » - Julien asexué («

donc une focalisation zéro, puisque le narrateur glisse des remarques. I- Premier mouvement : « ce fut comme une apparition » chmps lexicale de la saleté contraste avec la partie suivante énumération qui tourne à l’accumulation : 4 séries pluralité de personnages : impression de confusion et de profusion « Ce fut comme une apparition » : éblouissement (vue, lumière), élément déclencheur = transition apparition de la vierge II- Deuxime mouvement : elle Chmps lex de la vue Frédéric :

allégorique d’un livre saint sous lequel se cache un enseignement. Qu’entend-on par « récit » ? Il s’agit d’un texte complexe, c’est-à-dire qui contient plusieurs éléments différents. En effet, le narrateur raconte une action (selon un certain point de vue) et celle-ci va entraîner d’autres actions déterminées. II. Distinction entre histoire et narration Pour envisager les textes narratifs, il faut distinguer histoire et narration. L’histoire répond à la question : « Qu’est-ce

veuve de Paolo Saverini habitait seule avec son fils une petite maison pauvre sur les remparts de Bonifacio. La ville, bâtie sur une avancée de la montagne, suspendue même par places au-dessus de la mer, regarde, par-dessus le détroit hérissé d'écueils[2], la côte plus basse de la Sardaigne. A ses pieds, de l'autre côté, la contournant presque entièrement, une coupure de la falaise, qui ressemble à un gigantesque corridor, lui sert de port, amène jusqu'aux premières maisons, après un long circuit entre

elle est encore dans l’illusion d’un futur radieux Petite phrase point commun : on est face à trois extraits qui présentent tous un passage heureux dans la vie des personnages  quelles sont les causes du bonheur des protagonistes ? [si question ouverte : plan tout fait  I°/ thème (commun et différences) II°/ composition (cad mouvement : crescendo, ralentissement, etc) III°/ langage (chaque texte aura ses spécificités et ses points communs] I°/ la symbiose avec la nature/le paysage/l’environnement

« PAR OÙ COMMENCER ? » • QUESTIONS • SUJET 29 C O R R I G É La poésie 29_FRA070028_37C.fm Page 211 Lundi, 30. juillet 2007 2:23 14 © Hatier 2007 211 C O R R I G É Convaincre… Le roman Sujets d’oral Les réécritures • « Par où commencer ? », se demande Simenon dans Les Trois Crimes de mes amis. Le début de roman est délicat car il faut à la fois introduire le lecteur dans un lieu ou une action de façon à ce qu’il entre dans l’univers de l’histoire ou dans l’histoire

longueur. Dans le roman, le narrateur relate l’histoire de personnages qui subissent des péripéties. I. Le langage romanesque Narrateur : Celui qui raconte l’histoire, qui prend en charge le récit. Il n’existe que deux types de narrateur : interne ou externe. Il est interne quand il est un personnage qui fait partie de l’histoire ; il est externe quand il ne fait pas partie de l’histoire. Auteur : Celui qui a écrit le livre. L’auteur n’est le narrateur que dans un seul cas de figure : l’autobiographie (auteur=narrateur=personnage)

singulier (je), mais il y a aussi des moments où le narrateur utilise l’impersonnel lorsqu’il s’imagine des choses où il rêve. * Le récit est-il de type autobiographique ? Oui, le récit est de type autobiographique, il s’agit d’un monologue. 2.-Qui « entend » ? Question du narrataire/ du lecteur virtuel. * Le narrateur adresse-t-il son récit à un destinataire particulier ? Le narrataire visé est-il un personnage de l’histoire ? En principe, le récit n’est destiné à personne en particulier

raconte l'histoire, le narrateur – à ne pas confondre avec l'auteur ! – peut être présent dans l'histoire comme témoin ou personnage actif. Il s'exprime alors à la première personne du singulier et peut commenter librement les événements, donner son point de vue. Le narrateur peut également être extérieur à l'histoire, celle-ci étant racontée à la troisième personne du singulier, comme si elle s'écrivait toute seule. C'est le mode de narration le plus fréquent, que l'on retrouve en particulier dans les

sorte de « contrat de lecture » qui met en place les principaux éléments caractéristiques et les règles de la fiction. La première page n’échappe pas à cette nécessité : la narration se fait à la troisième personne avec l’alternance de deux points de vue, correspondant à l’entrée en scène de deux personnages. Lecture Jeanne, ayant fini ses malles, s'approcha de la fenêtre, mais la pluie ne cessait pas. L'averse, toute la nuit, avait sonné contre les carreaux et les toits. Le ciel bas et