Focalisation

particulier : Jacques le fataliste de Denis DIDEROT Lisez le texte et répondez aux questions qui s’y rapportent. 2.2. Focalisation (ou point de vue du narrateur) QUI VOIT ? QUI PERCOIT ? On distingue trois types de narrateur en fonction du point de vue qu’il adopte, de sa position par rapport à ce qu’il raconte. A. Le narrateur omniscient = focalisation zéro Ce narrateur n’est jamais un personnage. Il délivre plus d’informations que n’en pourrait délivrer aucun des protagonistes

externe Narrateur interne (ou personnage (héro (personnage principal) ou témoin (personnage secondaire)) Narrateur omniscient 3 types de focalisation (que sait le narrateur de l’histoire) pour narrateur externe : Focalisation zéro (vision omnisciente, donc il sait tout = Dieu) P < L Focalisation interne P=L (personnage à l’intérieur) Focalisation externe P>L (narration neutre et objective tel une caméra 3 Narrateurs :

chacun de ses Domaines d'Activité Stratégique (DAS), peut opter pour l'une des 3 stratégies suivantes : - La stratégie de différenciation - La stratégie de domination par les coûts - La stratégie de focalisation La stratégie de domaine adoptée par l'entreprise Meteodyn est une stratégie de focalisation sur un marché à fort potentiel, cette entreprise se place seul dans ce secteur géographique de l'Europe sur ces produits spécifique et donc avec une clientèle spécifique. 3. Les facteurs clef ont

Objet d’étude : le personnage de roman, du XVIIIe siècle à nos jours Question (4 points) Vous observerez dans ces textes les jeux de regards et ce qu’ils permettent de mettre en valeur dans les relations entre personnages en vous servant des focalisations choisies. Pour traiter cette question, vous pourrez étudier par exemple quelle est la place du « voyeur », ce qui facilite, gêne ou transforme la vision. Conseils méthodologiques Démarche attendue : La question vous amène à observer chaque

Malraux, 1933 Extrait n°1 : l’incipit Détail Situation du passage : scène liminaire du roman. I) La focalisation interne : qui voit, qui perçoit ? Le récit à la troisième personne présente la scène à travers le regard et la cons-cience du personnage, dont le nom est le premier mot du texte – on a donc une focalisation interne. 1. Ce qu'il voit Le pied, seule preuve tangible de l'humanité de l'homme à assassiner, mais dont la réalité

d’autre. Le récit ou la description sont objectifs. -point de vue interne : Le point de vue adopté est celui d’un personnage du récit. Ce peut être aussi un narrateur-personnage. Tout ce qui est vu ou ressenti l’est à travers sa perception. Cette focalisation se caractérise par la présence de verbes de perception pour décrire ce qu’il voit :voir, entendre… Et des verbes de jugement (croire penser se dire) évoquant la subjectivité de la perception du personnage sur ce qu’il vit. Le récit ou la description

flou), aujourd’hui et quelques jours, aucune grosse projection dans le futur. ≠ Saut dans le temps : pas d’ellipses. -Style d’écriture (Camus) : Ecriture simple : phrases courtes (ex : « c’était peut-être hier »). Incipit au point de vue interne : focalisation sur Meursault, à la première personne du singulier : « je » x22. o   La construction grammaticale du premier paragraphe n’est pas très différent de la construction du télégramme. On retrouve des phrases avec une formule grammaticale classique (+

est régi selon un point de vue particulier, la focalisation, qui peut, bien sûr, évoluer en cours de route ( cf. notamment le roman épistolaire* ) : – la focalisation zéro : le récit émane d’un narrateur omniscient, ayant une vue d’ensemble sur l’action et ses circonstances. En d’autres termes : Narrateur > Personnage ; – la focalisation interne : le récit coïncide avec la perception d’un personnage ; Narrateur = Personnage ; – la focalisation externe : le narrateur ne dit pas tout ce que

exemple. Ces rôles ne sont pas invariables : il est possible, par exemple, qu'un opposant devienne adjuvant. La focalisation   Dans un récit à la troisième personne, qu’il s’agisse de description ou de portrait, il est essentiel de définir le point de vue adopté par le narrateur, qui indique une plus ou moins grande objectivité : on parle alors de focalisation.         La focalisation est dite externe, quand le récit reste totalement neutre. Nous ne savons rien du passé des personnages, rien

Gracq,un blacon en forêt a été publié dans la seconde moitié du XXème sièce et ne peux pas réellement s'identifier à un mouvement littéraire. Cependants ces trois textes comportent un point commun : tous sont rédigé avec un narrateur ayant une focalisation interne, il s'agira donc de démontrer l'intêret, de l'utilisation du point de vue interne dans la totalité ou dans certains passage de ces textes, pour le lecteur. Nous distinguerons plusieurs interêts, celui de vivre l'histoire plus intensemment