Folie

rythme : entrer, sortir, s’approcher, marcher • métaphore « marcher sur mon cœur » ( Salluste est la terreur de Ruy Blas III. La plongée dans la folie 1) le désordre du discours • expression hyperbolique de sa souffrance • sentiment qu’il ne peut rien faire, situation sans issue • à la fois pathétique et tragique • sentiment de sa propre folie « je suis fou » • discours obsessionnel 2) les interrogations • marquent les étapes de son discours • sentiment d’impuissance, de néant

créativité au maximum, en essayant de provoquer des réactions chez le public, en faisant appel à des sujets sensibles dans la société, par exemple la folie dans le cas de Vol au-dessus d’un nid de coucou. Commentaire : Vol au-dessus d’un nid de coucou nous plonge directement dans un univers où l’on retrouve de nombreux stéréotypes sur la folie et les centres psychiatriques. Il nous fait voir ces centres comme une prison de pure torture psychologique, voir même physique, mais toutefois de façon

même détruite ? En effet perdre la raison ne signifie pas seulement ne plus agir de façon rationnelle, mais perdre la faculté elle-même de pouvoir agir rationnellement. Perdre cette faculté est ce que l’on désigne communément sous le terme de folie. Or la folie est un fait qui s’impose à la pensée, et la question qui se pose est moins de savoir si l’on peut devenir fou, que celle de savoir si l’on peut devenir fou sans cesser d’être un être humain. Or l'homme qui vit de la sorte est selon Aristote

guerre d'une manière différente: Céline la montre comme une immense boucherie, désordonnée, et voient les soldats comme des fous destructeurs, des animaux. L'accumulation de termes, et la phrase absolument gigantesque à la fin du passage souligne la folie de la chose, on finit par manquer d'air, cela met en exergue une sorte de caractère jusqu'au-boutiste dans la destruction... c'est une sensation étrange sur laquelle il vous faudra mettre des mots. Voltaire, lui traite tout cela par une ironie féroce

Van Gogh aurait pu avoir durant sa vie. Des diagnostics ont été relevés telle que la schizophrénie, la bipolarité, et bien d’autres termes ont été attribués à son instabilité mentale. Mais Artaud n’y a jamais cru : «Les médecins qui évoquent la folie de Van Gogh ont procédé à sa destruction mentale en l’internant et en lui accolant l’étiquette de fou. Artaud était persuadé que l’artiste-peintre ne souffrait d’aucun trouble mental. Il rédigea un essai virulent contre les psychiatres. Ce qui n’empêcha

fantastique est parfaitement illustré car on y lit des évènements étranges, impossibles dans la réalité. Jusqu’à la fin de l’histoire où le narrateur devient complètement fou à cause des étrangetés qui lui arrivent. On ne peut pas trancher entre la folie du personnage ou la réalité, entre une explication rationnelle ou surnaturelle. Cet homme qui raconte son histoire semble en effet fou quand il tend un piège à une créature invisible qu’il pense voir depuis plusieurs semaines et qu’il met feu à sa

sincérité, en lui parlant de Mme de Tournon, lui revint dans l'esprit; il lui sembla qu'elle lui devait avouer l'inclination qu'elle avait pour M. de Nemours. Cette pensée l'occupa longtemps; ensuite elle fut étonnée de l'avoir eue, elle y trouva de la folie, et retomba dans l'embarras de ne savoir quel parti prendre.

dès lors, le visage de la comédienne devint peu à peu mythique. Ce sentiment habitera toutes ses grandes œuvres. Jusque là, l’aède n’était qu’un agréable littérateur parisien, mais sa vie bascula en février 1851, lorsqu’il eut sa première crise de folie et passa plusieurs jours en maison de santé. Après cet évènement, il s’en suivit de nombreux voyages où le poète parcouru l’Europe. Cependant, à partir de 1851, les crises mentales se manifestèrent à des intervalles de plus en plus rapprochés, et Nerval

est à la fois le plus beau des sentiments et le plus inquiétant, puisqu’il peut engendrer une vraie plénitude comme il peut tourner à un désastre intérieur. Nous reconnaissons l’amour comme le comble de l’union de la folie et de la sagesse, c’est-à-dire qu’en l’amour sagesse et folie non seulement sont inséparables mais s’entre génèrent l’une l’autre. Le complexe de l’amour réside dans la difficulté de parler de lui en tant qu’objet comme s’il existait en dehors de nous autres, sujets. La plupart

Gradation de la souffrance. *antithèse amour/haine => souffrance *tutoiement envers Hippolyte => intimité amoureuse *Phèdre se considère comme un monstre. *la force des dieux montre la tiranie violante et destructrice. *explosion de la folie, Phèdre se met aux pied d’Hppolyte et le supplie que si ils ne peuvent pas s’unir alors qu’il la frappe, qu’il la pénètre avec son épée. *Etat second de phèdre: transe, ravagée, assomée => caratère dramatique et pathétique. *Elle a cette passion