Fonction De Production Zara

Paris. Le secteur du « low cost »est en plein essor et en constante évolution. Aujourd’hui, il s’étend à presque tous les secteurs : l’aérien avec EasyJet, l’alimentaire avec les enseignes de hard discount, le bricolage avec Ikea, l’habillement avec Zara, les services à la personne – coiffure, hôtellerie, séjours vacances, soin corporels, … -, la téléphonie mobile avec Free, l’industrie avec Renault ainsi que l’immobilier avec ELIKA (filiale de Bouygues Immobilier). Le modèle « low cost » a pu voir

de la guerre… que l’on applique au monde de l’entreprise Ceci apparait dans les 40’s /50’s 3 niveaux : Stratégique (guerre) Tactique (bataille) Opérationnel (dans la bataille gérer les troupes, c’est ce qui fait la jonction avec les autres fonctions de l’entreprise) Ex : Vivendi veut rentrer sur le marché sud africain, tactique= racheter Son concurrent brésilien(Telefonica) est aussi sur le coup Cmt gagner sur ses concurrents ? Ex : avec les sms les opérateurs se font un taux de marge

affluent le premier jour, créant 25 mètres de queue en caisse : les clients sont attirés par le prix et le choix. En 1984,la Halle aux haussures compte alors 75 magasins .L’offre marchande est modifiée :les chaussures sont désormais présentées en fonction du type de client (homme,femme,enfant) et non plus par pointure. Cette évolution a des fondamentaux dont dépend la réussite dans la distribution : clarté de l’offre, choix, facilité et rapidité d’achat. L’année 1987 est celle où l’entreprise va

................. 45 3. Le conditionnement des produits ........................................................ 46 4. Le renouvellement permanent des collections .................................... 46 5. Les limites de la délocalisation de la production ................................. 47 6. Les soldes ........................................................................................... 48 7. Sourcing vs approvisionnement .......................................................... 49 B) Acteurs

entre producteur et client) et les circuits longs(plusieurs intermédiaires). Le fait qu’un circuit soit plus court qu’un autre ne signifie pas qu’il est plus avantageux pour le client et/ou le producteur. L’efficacité économique d’un circuit est fonction de la valeur ajoutée et de la productivité de chaque canal. 3. Les formes de commerce. On distingue généralement trois formes de commerce : Le commerce indépendant : avec la distinction entre commerce de détail et commerce de gros : - le commerce

concurrentiel afin de les aider à prendre à temps les bonnes décisions en osant les bonnes expérimentations. Les prospectivistes se doivent d’esquisser des axes de travail des chemins possibles sans se substituer aux entrepreneurs / intrapreneurs qui, en fonction d’une nouvelle vision du marché voire de la société, vont offrir des solutions inédites aux consommateurs. L’innovation se situe par définition au cœur des changements auxquels nous allons assister, encore faut-il ne pas la cantonner aux seuls changements

Distributi on 4 FONCTIONS DE LA DISTRIBUTION •Les fonctions spatiales: transport, manutentions; •Les fonctions d'assortiment : fractionnement des lots, triage, calibrage; •Les fonctions temporelles : permettre un ajustement des rythmes de production et de consommation, financement des marchandises; •Les fonctions commerciales : la communication et l'information, l'organisation de la vente, services rendus; •Les fonctions d'achat : fonction première du distributeur; •Les fonctions de logistique: transport

alors ? 6 INTRODUCTION Nous avons bien sûr éliminé les marques n’ayant pas de distribution sélective. Mais que faire de Nike et Zara ? Ici, le statut des marques et leur niveau de raffinement, tels que perçus par le consommateur, sont bien éloignés du monde du luxe. Les marques de luxe peuvent néanmoins apprendre beaucoup des systèmes de fonctionnement de Zara ou H&M. • Le segment de la joaillerie et des montres de luxe fait clairement partie de cet univers. Les marques ont leurs propres boutiques

ligne, alors ? 6 INTRODUCTION Nous avons bien sûr éliminé les marques n’ayant pas de distribution sélective. Mais que faire de Nike et Zara ? Ici, le statut des marques et leur niveau de raffinement, tels que perçus par le consommateur, sont bien éloignés du monde du luxe. Les marques de luxe peuvent néanmoins apprendre beaucoup des systèmes de fonctionnement de Zara ou H&M. • Le segment de la joaillerie et des montres de luxe fait clairement partie de cet univers. Les marques ont leurs propres boutiques

marque de luxe. Une intégration verticale de la production est de plus en plus développée, ce qui permet aux différentes marques du groupe de pouvoir contrôler tout les stades de productions, cela accentue ainsi la position de force. Tout cela permet de créer un travail commun entre les différentes sociétés du groupe pour réduire les coûts et donc faire appel de moins en moins aux fournisseurs. Des économies d’échelle sont obtenues (production et distribution), les achats sont effectués pour