Fonction Du Roman Naturaliste

1. INTRODUCTION : Le roman est un récit en prose d événements fictifs se déroulant selon une certaine trame (généralement compliqué ou intense) en faisant intervenir un ou plusieurs personnages (à différence du conte où il y a très peux). Ses origines se remontent aux civilisations méditerranéennes et orientales de l’antiquité, On voit l’essor de ce genre littéraire dans le monde entier grâce a l’invention de l’imprimerie et la naissance du livre qui a permit que tous les classes sociales

évoluent dans leur jeu comme s’ils ne prêtaient pas attention à la présence du public. Ils prennent de moins en moins la pose pour réciter leur tirade. Le spectacle gagne alors beaucoup en vraisemblance. En cela il est certain que le courant naturaliste dans le milieu du XIXème siècle a eu une influence décisive sur la mise en scène. C’est en effet le naturalisme qui a provoqué en quelque sorte l’apparition du metteur en scène moderne vers la fin du siècle. Peu à peu est apparue l’idée

tributaire du temps. II. Comment l’artiste utilise le temps en fonction des contraintes liées a chaque forme d’art. III. L’œuvre d’art comme un désir d’entrer dans la postérité. 3) En réponse à une questionnaire de la Revue illustrée où on lui demandait « quels étaient nos héros favoris dans la fiction », Zola répondait « ceux et celles qui ne sont pas des héros ». I. On illustre la citation (partie thèse) : Dans le roman naturaliste le héros c’est celui qui n’est pas un héros. II. On trouve

| Introduction La révolution industrielle de la fin du XIXème siècle voit l’essor d’un nouveau mode de transport plus rapide : le train. Son développement va alors inspirer certains textes littéraires. Dans La Bête humaine, 17ème roman du cycle des Rougon-Macquart, Zola dresse un portrait du milieu des chemins de fer à la fin du XIXème siècle. C’est aussi, avec l’expansion de ce mode de transport, le temps des premières catastrophes ferroviaires. Au chapitre X, Zola met en scène

Introduction aux grandes théories du roman I. Arts poétiques : la paternité paradoxale d’Aristote 1. Arts poétiques : le roman n’est pas un genre Dans les arts poétiques (descendants d’Aristote), le roman est méprise (comme par ex. chez Boileau). 2. Aristote, théoricien du récit Qu’est-ce que la poésie ? Aristote : tragédie (dramatique élevé)/comédie (dramatique bas), l’épopée (narratif élevé) + une 4ème catégorie « fourre-tout » (narratif bas). Le récit dramatique et le récit épique sont

naturalisme ; associations comme "Alcooliques anonymes" ... (Situer le passage dans le roman ; poser la question de l'intérêt de cette page ; annoncer le plan) Exemple : Après avoir étudié la manière dont le romancier décrit les "ravages" physiques et psychologiques de l'alcoolisme, nous nous demanderons ce qui rend cette page si vivante et si forte. I° PARTIE Zola se livre, dans cette page, à une description naturaliste des "ravages" opérés dans l'organisme de l'alcoolique. 1°§ Sa narration nous

 Français : Que semble être le personnage par rapport au roman ? Le personnage semble être une propriété inaliénable du roman. Cite des exemples, où le personnage sert de titre au roman : Le Père Goriot de Balzac ou Mme Bovary de Flaubert. Quelle définition de « roman » donne le dictionnaire Robert ? « Œuvre d’imagination en prose, assez longue, qui présente et fait vivre dans un milieu des personnages données comme réels et nous fait connaître leur psychologie, leur destins, leurs aventures

écrit (ou doit écrire) pour agir » parce ce que la figure prestigieuse de l’écrivain lui impose des devoirs vis-à-vis de ses contemporains et pour la défense des valeurs supérieures, universelles. Zola, à qui le succès de la fresque romanesque naturaliste des Rougon-Macquart conférait une autorité littéraire et intellectuelle, se devait d’agir pour défendre Dreyfus : il a « agi » en écrivant et publiant l’article « J’accuse ». Ronsard, le « prince des poètes », a l’oreille de la régente Catherine

corpus de documents se compose deux de textes qui ont le même auteur : Emile Zola. Le premier est un extrait de L’Assommoir datant de 1870, tandis que le seconde est un passage de Germinal, partie 1, chapitre 3, datant de 1885. Ces deux extraits de romans décrivent tous deux une scène de la vie quotidienne : Gervaise Macquart va « prendre une prune » avec un ouvrier (texte 1), Etienne Lantier découvre le « Voreux », le plus grand puits d’une mine de charbon. Il s’agit donc ici de deux univers réalistes

|Roman, essai | |Œuvres principales | |Thérèse Raquin (Roman, 1867) | |Les Rougon-Macquart (fresque romanesque) dont | |L'Assommoir (1876), | |Nana (1879), | |Germinal (1885) | |Le Roman expérimental (Essai