Fondation Abbé-Pierre pour le logement des défavorisés

général donne l’argent et le bénéficiaire décident de comment il va le dépenser, il n’y donc plus de versement direct à la structure. Pour l’évaluation, une autorité est investie par le gouvernement pour évaluer les politiques publiques (éducation, logement, santé, prévention). La décentralisation fait donc partie des politiques publiques qui mettent en place des instruments (outils) : La loi est un des ces outils puisqu’elle marque un choix politique une volonté politique par l’obligation et les sanctions

répartition de la pauvreté sur le territoire 1.2.11La situation de la France par rapport à ses partenaires européens L’exclusion 2.1Combien d’exclus en France ? 2.2Les facteurs d’exclusion 2.2.1 Exclusion et travail 2.2.2 Exclusion et logement 2.2.3 Exclusion et protection sociale (accès aux droits sociaux et aux soins) 2.2.4 Exclusion et éducation 2.2.5 Exclusion et évolution sociologique des familles Les politiques de lutte contre l’exclusion Caractéristiques 1.1Multicritères

Enfantsde Don Quichotte ou la Fondation Abbé Pierre, interviennent sur cette scène médiatique pour tenter de trouver des moyens de pallier les difficultés liées au logement et à la santé. En 2006, l’installation de 200 tentes sur les berges du Canal Saint Martin, à Paris, a permis aux personnalités politiques et aux organisations comme la FNARS (Fédération Nationale d’Accueil et de Réinsertion Sociale) de se mobiliser afin de trouver des solutions pérennes liées au mal logement des personnes sans domicile

et social au niveau national. Les ministères chargés du Plan ont alors été tour à tour supprimés ou absorbés par les départements chargés des Finances et de l'Economie. En conséquence, les secteurs sociaux (santé, éducation, eau et assainissement, logement, développement local urbain et rural, etc.) devaient s'arranger pour tirer le meilleur profit possible des retombées de la croissance économique nationale, qui devenait ainsi l'indicateur ultime de la « bonne intégration » de chaque pays au système

NOUVELLE DE LOGEMENTS SOCIAUX : LA REGLE DU 1 POUR 1 EST GLOBALEMENT RESPECTEE MAIS IL EXISTE DES DISPARITES LOCALES ................................................................................... 42 Le 1 pour 1 sera respecté malgré un accroissement du déficit temporaire de logements sociaux .............. 43 Des logements sociaux reconstruits pour moitié hors site, avec de forts contrastes locaux ....................... 44 Quelles caractéristiques pour l’offre de nouveaux logements sociaux ?.

 pervers  qui,  ultérieurement,  s’avéreront  infiniment  plus  importants que les bénéfices engrangés dans  l’immédiat. » On voit déjà le premier contour de notre travail : esquisser une perspective de la ville durable sur le long terme. Jean-Pierre Sueur, qui   lors   du   rapport   d’information   de   la   délégation   sénatoriale   à   la   prospective   sur « Les villes du futur : rêves ou cauchemars ?» rappelle : « Les  décisions  que  nous  prenons  aujourd’hui,  ou  que   nous ne prenons

60,8 % de la population mondiale devrait s’approprier l’espace urbain. Longtemps, et même si les estimations divergent en l’espèce, les urbains n’ont représenté que 3 à 10 % de la population totale (voir Paul Bairoch, 1985, p. 634 ; Pierre Laborde, 2001, p. 5 ; Pierre Bloc-Duraffour, 1998, p. 6). Le taux n’explose véritablement qu’au lendemain du second conflit mondial. En 1950, il avoisine les 30 %. Après avoir dépassé 40 % en 1985, il devrait franchir le cap des 50 % en 2007 (communiqué de presse

AU LOGEMENT : UN PASSEPORT POUR L’INSERTION DES JEUNES (ISA ALDEGHI, LEOPOLD GILLES).........173 1.1. Des liens étroits entre accès au logement et accès à l’emploi des jeunes ............................................ 174 1.1.1. Etat des lieux : des jeunes majoritairement autonomes et locataires .......................................... 174 1.1.2. Le logement autonome concerne plus souvent les jeunes en situation d’emploi stable ............. 177 1.1.3. La qualité du logement et

11 Emploi, travail : inciter à une démarche de prévention active des exclusions au sein des entreprises et dans la négociation collective . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 Logement : disposer d’une offre de logements adaptée et prévenir les expulsions . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 Santé : prévenir les inégalités d’accès aux soins et progresser en matière de santé des enfants et des adolescents . . . . . . . . . . . . . . . . . .

les plus démunis Gaxie 1990 159) Si on regarde les opinions exprimées la sécurité sociale laquelle les Fran ais sont attachés semble donc être celle qui se met en place partir de 1945 qui permet de se protéger soi-même tout en protégeant les plus défavorisés Aux yeux des Fran ais la sécurité sociale est bien institution qui doit permettre atteindre en même temps des objectifs de protection et de redistribution Le fait elle semble permettre de conjuguer sans contra diction intérêt personnel et altruisme