Force Concurrentielle Pimkie

....................................................................................................... 41 III - ANALYSES PROSPECTIVES ET RECOMMANDATIONS .................................................................. 42 A. L’ENVIRONNEMENT CONCURRENTIEL DE DEMAIN ................................................................... 42 B. RECOMMANDATIONS..................................................................................................................... 47 ANNEXE : STATISTIQUES DE

positionnement de la marque de grande consommation en terme de qualité et de technologie en lui apportant un avantage produit indéniable. En retour, la marque de grande consommation partenaire permet à la marque industrielle d’accroître sa notoriété grâce à la force de l’étendue de son réseau de distribution. Les stratégies de visibilité développées par les marques visent à “ tirer la demande finale ” pour le bien industriel. La marque industrielle ne s’adresse plus seulement à ses clients industriels mais

consommatrice française est très volage. Elle puise dans toutes les marques afin de se constituer « sa mode ». Néanmoins, elle apporte à la marque de ses vêtements une importance toute particulière. En effet, la marque est reflet d'une personnalité. Ainsi, Pimkie et Jennifer restent des marques de « gamine » alors que Zara s'adresse à la femme qui s'assume. Les marques, par leur positionnement, s'adressent à un type de femme. Le vêtement, mais aussi sa marque, doit correspondre à la personnalité de la cliente

grand désespoir des chaînes hexagonales. La France représente pour ces marques un très gros potentiel. À coup de publicité, cartes de fidélité, chacun mène une « bataille » pour conquérir le portefeuille des adeptes de mode. Un marché très concurrentiel où il semble que seul les plus à l’écoute des tendances seront les gagnants. A. Chiffres et tendances La France n’est pas le pays le plus dépensier en matière de vêtements. En 2001, avec 541 € de dépenses en habillement féminin par an, la Française

également séduit les adolescents. En l’espace de six mois à peine, les tamagotchis ont été vendus et beaucoup de magasins de sont retrouvés en rupture de stock. Début 2005, oubliés le phénomène tamagotchi deuxième génération : on passe à autre chose. Force est donc de constater que le règne tout-puissant des années 1980 est révolu pour les marques. Finies les promesses publicitaires superflues, finies les consommations irresponsables. Les jeunes consommateurs des années 2000 veulent un échange fairplay

comptait alors 5 000 entreprises de vente à distance, contre 50 000 aujourd’hui ». L’explosion du nombre de « cybermarchands » est une réalité du monde moderne qui touche tous les secteurs. La Redoute ne cesse et ne cessera de subir des assauts concurrentiels de tous les côtés du Net : des enseignes qui commencent à vendre directement sur Internet, des sites marchands, des chaînes de magasin intégrées, des sites de déstockage, de vente d’occasion... La prolifération des sites marchands est d'ailleurs

auprès des prescripteurs .......................................................................... Communiquer via le marketing multicanal................................................ Communiquer via le permission marketing dans un contexte concurrentiel et légal................................................................................ Communiquer en mariant conquête et fidélisation ................................... Communiquer sur un mode gagnant/gagnant ..............................

200 000 clients actifs. Newsletter, www.emarketing.fr, 13 mars 2007. 1. Caractérisez la banque MONABANQ. © Hachette Livre - BTS MUC - Gestion de la relation commerciale 1 - La photocopie non autorisée est un délit. 2. Présentez les avantages concurrentiels de MONABANQ par rapport à une banque « traditionnelle ». 3. Identifiez les risques encourus par une telle entreprise. 4. Précisez quels sont pour LES 3 SUISSES et CETELEM, les enjeux d’une telle banque. N OTIONS ABORDÉES Applications

l’hyperspécialisation (chaussures à La Halle) aussi bien qu'à la multispécialisation (jardin, animaux et arts décoratifs chez Truffaut). Mais où se situe la frontière ? Cette tendance et cette indétermination posent le problème de la définition du champ concurrentiel : de nouveaux concurrents apparaissent, d’anciennes concurrences s’atténuent voire disparaissent. L’emprise de l’offre se trouve également dans les données disponibles pour analyser la formule de distribution. Les sources statistiques disponibles

réaliste, encore moins en France où ce genre de pratiques demeurent nettement moins répandus que dans les pays anglo-saxons. Les entreprises ont pris la mesure de la contestation pour mieux répondre aux exigences de consommateurs beaucoup plus méfiants. Force est de constater que les entreprises voient leur pouvoir de contrôle s’amenuiser sur les consommateurs, tandis que leurs relations et interactions se complexifient chaque jour un peu plus. Elles doivent s’efforcer de mettre en place des politiques