Fordisme

plus pauvres sans capital. Prolétariat : Ensemble des prolétaires. Taylorisme : Il s’agit d’une organisation scientifique du travail (OST) visant à augmenter la productivité et les profits en spécialisant les ouvriers dans des taches répétitives. Fordisme : Du nom d’Henry Ford qui fut le premier à appliquer le taylorisme dans ses usines en faisant travailler ses ouvriers à la chaîne. Syndicat : Association de défense de certaines catégories socioprofessionnelles. Ils furent créés d’abord pour et

Expliquez votre point de vue à partir d’une analyse précise du texte (champs lexicaux et leurs connotations, images, ton employé par l’auteur). « On en devenait machine aussi soi-même à force […] ». Quelle critique du fordisme est avancée ici ? Que pensez-vous de la vision de Céline du Fordisme, comparée à celle de Chaplin : points communs et différences ? Illustration Tardi, Voyage au bout de la nuit de L.F. Céline. Textes et documents annexes Le point de vue du docteur Destouches visitant Detroit

Le 12 janvier 1911, le salaire journalier des ouvriers passe de 2,43 $ à 5 $ ( 5 $ day ). Le travail posté : la durée d'utilisation des équipements productifs est augmentée grâce à la mise en place d'équipes de travail qui se succèdent Le fordisme peut être compris comme un ensemble socio-technique cohérent dans lequel la régulation production/consommation de masse repose sur certaines techniques de base recourant à une organisation particulière du travail. Développement de la demande :

système _3x8 (entreprises travaillant 24h/24). Le fordisme (par Ford) s’inspire beaucoup du taylorisme. En 1903 sort la Ford T, et en 1913 est lancé le travail à la chaîne. Ford augmente les salaires ce qui permets aux ouvriers d’être consommateurs. -> Triomphe de la grande industrie. Différence entre taylorisme et fordisme : dans le taylorisme, chaque tâche est pensée pour être réalisée de manière optimale, rémunération à la pièce. Le fordisme instaure un travail à la chaine banal, pour produire

d’éminents scientifiques -comme par exemple le sociologue français Georges Friedmann, auteur du livre “le travail en miettes”, ont vivement condamné cette atteinte à la dignité humaine; rien de moins! Le vocable “taylorisme” et son frère jumeau “Fordisme” ont disparu du langage des hommes d’affaires, les revues spécialisées comme “Management” noircissent des pages entières sur la gestion des ressources humaines. Bref Taylor et Ford ont semble-t-il rejoint à tout jamais les livres d’histoires. Rien

les États-Unis deviennent la puissance économique numéro un. Bien que leur capitalisme étant déjà un impérialisme, ils prévoient avoir une influence particulière sur l’Amérique latine et le Canada. De plus, le développement du taylorisme et du fordisme donne un nouvel essor à la classe ouvrière et à la productivité, qui ralentira par la suite et permettra au New Deal de s’imposer. Ce dernier sera bénéfique, mais ne relancera pas l’économie comme la Deuxième Guerre mondiale le fera. La prospérité

doit d’avoir sa spécialisation à un poste bien précis. L’idée principale de cette O.S.T est de décomposer les tâches de minuter les gestes des ouvriers pour améliorer la qualité, diminuer les coûts et les délais. C’est un travail de masse. Le fordisme, naît d’Henry Ford dès 1908, c’est inspiré du taylorisme et il en voit tout le bénéfice que l’industrie automobile peut tirer en appliquant ces théories. Son principe est de produire en forte quantité. Ces O.S.T permettent d’accroître la productivité

différentes activités au sein de processus organisationnels interactifs aux différents services. L'évolution économique de la fin du 19e et du début du 20e siècles a amené les entreprises à spécialiser leurs activités (fordisme, taylorisme). Cette démarche a permis d'augmenter l'efficacité de chaque activité sans se préoccuper de la cohérence globale du système (fonctionnement de l'organisation). • Gestion par activité : Cette gestion par activité ne correspond plus au

permettant de mieux satisfaire la demande. Ces nouveaux modèles d’organisation du travail s’inspirent des procédés développés principalement par les entreprises japonaises et sont regroupés sous l’appellation de « Toyotisme » (en opposition au « fordisme »). 2. la recherche de la qualité totale L’entreprise de type « Toyotiste » s’inscrit dans une logique de qualité totale qui consiste à développer un processus continu d’amélioration du processus de production à partir de la mobilisation

comme celle d’ISO garantissent un standard quasi taylorien rassurant alors les consommateurs. « Les clients pourront avoir une voiture de la couleur qu’ils veulent, pourvu qu’ils la veuillent noire. » Ford. Le taylorisme (on comprend également le fordisme dedans) est en effet une organisation scientifique du travail prônant quelques grands principes : la division verticale et horizontale du travail, la standardisation, le chronomètre du temps le salaire au rendements pour chasser la flânerie des ouvriers