Fort de Vaux

destructions ont été considérables: 9 villages ont été définitivement abandonnés; la terre du champ de bataille est stérile sur dix mètres de profondeur. 1 3 Les tranchées à Verdun 2 3- Les conditions de vie au fort de Vaux, du 2 au 17 mai 1916. “ Huit mille obus tombaient chaque jour sur le fort et ses environs, et ceci par une journée calme. On vivait dans la crasse, barbe de quinze jours, couverts de poux, au milieu d’une âcre odeur de sang venant de l’infirmerie, simple casemate où l’on entassait

première fois « des lances flammes » Ils s’emparent du fort de Douaumont. Joffre fait appel au Général Henri Philippe Pétain qui est jusqu'à la en seconde ligne . Il prend le contrôle de Verdun et l'artillerie française se montre bientôt aussi efficace que l'artillerie allemande Pétain améliore également la voit sacrée : c'est la route reliant Bar le Duc à Verdun et qui assure le ravitaillement du fort. La détermination de Pétain est aussi forte que celle

évoquer le plateau de Champagne au cours de l’automne 1915.En 1916 ,elle devient une chanson sur Verdun; devient : Adieu la vie; adieu l’amour; Adieu à toutes les femmes C’est bien fini; c’est pour toujours De cette guerre infâme C’est à Verdun ; au fort de vaux Qu’on a risqué sa peaU. PAROLES DE LA CHANSON DE CRAONNE Plusieurs variantes de la chanson sont attestées Les paroles les plus connues sont celles de Paul Vaillant –Couturier. Il existe deux autres versions légèrement différentes :celle

Je n'aime pas la guerre. Je n'aime aucune sorte de guerre. Ce n'est pas par sentimentalité. Je suis resté quarante-deux jours devant le fort de Vaux et il est difficile de m'intéresser à un cadavre désormais. Je ne sais pas si c'est une qualité ou un défaut : c'est un fait. Je déteste la guerre. Je refuse la guerre pour la simple raison que la guerre est inutile. Oui, ce simple petit mot. Je n'ai pas d'imagination. Pas horrible ; non, inutile, simplement. Ce qui me frappe dans la guerre ce n'est

cherche à atteindre des buts de guerre en impliquant l'ensemble de la société et de ses moyens incluant le travail des femmes et de la main d’œuvre des colonies. La guerre durant plus longtemps que prévu est caractérisée par la violence de masse et un fort impact sur la vie civile. A l’arrière, les industries sont reconverties par l’Etat qui instaure censure et propagande alors que déportations et travaux forcés sont infligés aux populations des zones occupées par les allemands le tout au nom de l’effort

hostilités. Les premières heures sont effroyables : des obus déferlent en continu sur les positions françaises, prises par surprise et totalement impuissantes. L’infanterie allemande prend rapidement le relais et tente une percée. Elle parvient à prendre le fort de Douaumont. En réaction, le général Pétain est nommé au commandement de la bataille : il lui faut protéger la ville de Verdun. 2. « L'enfer de Verdun » a. Un massacre organisé Au terme des premiers jours, donnant l’avantage aux Allemands, le camp

 La Chanson de Craonne Première Partie: Présentation et contextualisation de l’œuvre : La chanson de Craonne aussi appelée Chanson de Lorette ou Chanson de Vaux est une parodie dont la mélodie est prise d’une valse connue en 1911 Bonsoir m’amour de Charles Sablon. D’auteur anonyme cette chanson a surement dû être écrite par plusieurs poilus français en 1917 lors de la première guerre mondiale. Il existe plusieurs écrits de cette chanson. Au début elle porte le titre de Chanson

Champagne au cours de l'automne 1915. En 1916, elle devient une chanson sur Verdun, le refrain devient : Adieu la vie, adieu l'amour, Adieu à toutes les femmes C'est bien fini, c'est pour toujours De cette guerre infâme C'est à Verdun, au fort de Vaux Qu'on a risqué sa peau [...] ------------------------------------------------- Le lieu évoqué dans la chanson[modifier | modifier le code] Les restes du village dévasté deCraonne, aujourd'hui. La chanson est associée aux mutineries de 1917 et

LA CHANSON DE CRAONNE Je vais vous présenter «La chanson de Craonne» faisant référence à l’art du son. I- Identifier l’œuvre Cette œuvre est donc une chanson, aussi appelée «Chanson de Lorette» ou «Chanson de Vaux». Les paroles sont d’auteurs anonymes. La seule certitude est qu'ils étaient des soldats engagés dans l'armée française pendant la Première Guerre mondiale, des «poilus». La chanson n’ayant pas un seul auteur, on connaît différentes versions. Les paroles les plus connues

au cours de l'automne 1915. En 1916, elle devient une chanson sur Verdun, le refrain devient : Adieu la vie, adieu l'amour,  Adieu à toutes les femmes  C'est bien fini, c'est pour toujours  De cette guerre infâme  C'est à Verdun, au fort de Vaux  Qu'on a risqué sa peau [...]