Four Roses For Lucienne

Jun 2012 Bien qu’on lui reproche la naïveté sans la profondeur dans les envolées qu’il veut du style Laforgue, la brièveté sans la richesse et l’harmonie dans le poème qui imite Verlaine, l’occidentalisme sans la sincérité dans un poème comme Les roses à la louange d’une femme blonde, blanche et bleue, il témoigne des efforts avec ardeur des premiers poètes de la poésie symboliste chinoise, qui prendra son essor grâce aux contributions de Dai Wangshu. Dai Wangshu, jouant un rôle actif au sein de

dénaturées, et qu'il ne parait à la lec- On ture de ses ouvrages. sait qu'il n'a jamais été fou ni ma- niaque. Les récits de Jules Janin, l'anecdote rapportée par Victorien Sardou et qui représente le marquis de Sade se fai- apporter à Bicêtre des roses qu'il trempait dans la bourbe puante d'un ruisseau {Chronique Médicale du 15 décembre 1902) apparaissent comme autant de légendes, ayant peut-être un fond de réalité, mais transformées à plaisir par l'imagination de ceux qui, ayant lu Jusline sans

sublime, cette mélancolie non avouée qui aspire à quelque chose de mieux que ce que nous trouvons ici-bas, et qui, dans toutes les situations où la fortune et les révolutions peuvent placer une âme romanesque, “...Still prompts the celestial sight, For which we wish to live or dare to die.” (Ultima lettera di Bianca a sua madre, Forli, 1817.) 21 C'est pour abréger et pouvoir peindre l'intérieur des âmes que l'auteur rapporte, en employant la formule du je, plusieurs sensations qui lui sont étrangères;

règnent certaines maladies contagieuses. - « triquer » : frapper à coups de trique, de bâton. Page 186 - « tapé » : sollicité, amené à donner de son argent. - « dingo » : fou. - « bille » : niais, naïf, crédule, imbécile. Page 187 : « petit four » : petit gâteau. Page 188 - « balancés » : bien faits, athlétiques. - « battre la campagne » : rêver à des sujets variés (sans ordre). - « Surgeon général » : médecin-général ; « beau nom pour un poisson » s’explique à cause du jeu de mots sur

aide à l’endormissement. La tomate protégerait contre les risques de can­ cer, par sa richesse en vi­ tamines. Sa richesse en fi­ bres et son goût de fraîcheur plaide en sa fa­ veur, tout l’été. La carotte, dont on dit qu’elle « fait les cuisses roses », contient une forte teneur en provitamine A, qui fait effectivement une belle peau, et régularise le transit intestinal. Le poireau, diurétique, participe à l’élimination rénale. Un autre légume racine, peut­être moins utilisé, est à réhabiliter

La Grammaire française pour les Nuls « Pour les Nuls » est une marque déposée de Wiley Publishing, Inc. « For Dummies » est une marque déposée de Wiley Publishing, Inc. © Éditions First-Gründ, Paris, 2011 . Publié en accord avec Wiley Publishing, Inc. 60, rue Mazarine 75006 Paris – France Tél. 01 45 49 60 00 Fax 01 45 49 60 01 Courriel : firstinfo@efirst.com Internet : www.editionsfirst.fr ISBN numérique : 9782754033114 Dépôt légal : septembre 2011 Directrice éditoriale Marie-Anne

SÉQUENCE 1 Activité n°3 – Personnages des récits réalistes Replacez dans le tableau auteurs, romans, personnages en fonction des dates de publication. • • • • • Honoré de Balzac L’Assommoir Stendhal L’Éducation sentimentale Lucien de Rubempré Auteur Roman • • • • • Le Rouge et le Noir Frédéric Moreau Guy de Maupassant Georges Duroy Émile Zola Personnage Date de publication Julien Sorel 1830 Illusions perdues 1843 Flaubert 1869

indirect libre, au point de vue interne répondant au « réalisme subjectif », lequel apparaît largement sous la plume de Stendhal ou encore de Flaubert. Ainsi chez Stendhal, par exemple, dans Le Rouge et le Noir et dans Lucien Leuwen, les évènements sont vus dans le rayon de Julien Sorel et Lucien. De même, dans La chartreuse de Parme, le narrateur a, certes, reconnu le droit de regard des autres personnages (Clélia, Mosca, Sanseverina) mais Fabrice Del Dongo garde le foyer principal (la scène de la bataille

colonne et chapiteaux corinthiens, surmontés d’un abaque en forme d’entablement pour en augmenter l’impression de légèreté. - les bas-côtés sont d’inspiration romaine mais traitée avec originalité avec les chapelles greffées comme des niches en cul-de-four, dans la stricte ordonnance de l’autel dans l’axe. - La variation à chaque niveau d’élévation : nef (plafond à caissons), croisée (coupole) et chapelle (voûte d’arête). L’espace perspectif s’ouvre largement sur la nef et les bas-côtés dans une luminosité

marchands, accroupis dans leurs petites niches, en vêtements blancs, en turbans blancs, paraissent détachés des commerces de ce monde et insouciants des acheteurs »51. Dumas renchérit en disant : « […] une boutique mauresque c’est une espèce de four creusé dans la muraille et au rebord duquel se tient le marchand, immobile, les yeux en extase, la pipe à la bouche, un pied chaussé et l’autre nu. Dans cette position, le marchand maure attend la pratique sans jamais lui parler, la fumée de son bachich