France Consommation D énergie Et D émission De Co2

dans le cadre de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Ils ont accédé à un engagement de réduction des émissions de six gaz à effet de serre moyenne de 5,2% par rapport aux émissions de 1992 entre 2008 et 2012, c’est-à-dire moins 6% pour le Canada et le Japon, moins 8% pour l'Union européenne, évidemment moins 8% pour la France B. Developpement I. Evolution du processus de protection de l’environnement. II. La taxe carbone 1. pourquoi

COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE e Le bilan énergétique de la France en 2012 : une consommation en baisse sous l’effet de la morosité économique n° 168 En 2012, la consommation finale d’énergie, corrigée des variations climatiques, baisse (- 0,7 %), sous l’effet de l’atonie de l’économie. La consommation d’énergie primaire par la branche énergie est encore plus touchée (- 5 %), en raison d’une moindre production nucléaire et de la chute de l’activité de raffinage.

upon the temperature of the ground » dans Philosophical Magazine et Science. C’est la première théorie de l’effet de serre. Il a démontré que le risque d’augmentation de la température pouvait être provoqué par une augmentation de la concentration en CO2 atmosphérique. 1938 : Guy Callendar remet un rapport à la Meteorological Society de Londres sur l’augmentation de la température sur les 50 dernières années liée à l’essor de l’industrie et de l’utilisation du charbon pour la combustion (de 1890

pair avec le réchauffement. En moyenne mondiale, le niveau de la mer a augmenté depuis 1961 à une vitesse moyenne de 1,8 mm/an et depuis 1993 de 3,1 mm/an, en raison principalement de la fonte des glaciers et des calottes glaciaires polaires. Les émissions mondiales de gaz à effet de serre, qui sont la cause de ce réchauffement, ont doublé depuis le début des années 70. Une autre multiplication par deux est prévue entre aujourd’hui et 2050. Selon ce scénario, les températures augmenteraient en moyenne

L’INTEGRATION INTERNATIONALE UMR 5252 CNRS - UPMF _____________________ NOTE DE TRAVAIL N° 41/2007 Croissance durable : mythes et réalité Patrick Criqui décembre 2007 ______________________ LEPII BP 47 - 38040 Grenoble CEDEX 9 - France 1221 rue des Résidences - 38400 Saint Martin d'Hères Tél.: + 33 (0)4 76 82 56 92 - Télécopie : + 33 (0)4 56 52 85 71 lepii@upmf-grenoble.fr - http://www.upmf-grenoble.fr/lepii Croissance durable : mythes et réalités Publié dans le cahier spécial

majeur se présentant comme un véritable facteur de développement. La consommation énergétique a augmenté de façon exponentielle durant ces deux derniers siècles mais les crises de l'approvisionnement pétrolier des années 70 (les ''chocs pétroliers'') ont été révélatrices sur plusieurs plans. Il y a eu une prise de conscience quant au caractère limité des ressources énergétiques fossiles. Le monde a réalisé que la consommation sans précautions de ces dernières entraînera leur raréfaction et l'augmentation

visées |Savoirs associés | |Justifier les choix des matériaux, des structures d’un |Impacts environnementaux associés au cycle de vie du produit| |système et les énergies mises en œuvre dans une approche | | |de développement durable. | | |Plan de l’étude

Les énergies renouvelables Introduction Aujourd’hui les réserves d’énergies fossiles comme le charbon ou le pétrole s’épuisent. L’Homme se tourne alors vers d’autres sources d’énergies de remplacement : les énergies renouvelables. Le développement de ces énergies est encouragé par des lois et des accords internationaux Nous allons définir ces énergies, leurs intérêts, leurs problèmes ainsi que les moyens mis en œuvres pour inciter les gens à les utiliser. Proportions d’énergies renouvelables

l’environnement. De nombreux experts du monde entier reconnaissent aujourd'hui que la cause de nombreuses catastrophes est le réchauffement de l'atmosphère, lui-même étant la conséquence de l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre issues des activités humaines. Ainsi, la réduction des émissions de gaz à effet de serre et de la dépendance énergétique, est un processus qui doit être intégré dès à présent, mais dont l’enclenchement est difficile et lent. Nicolas Hulot a proposé dans son pacte

ont en commun un coût élevé. De nombreux experts considèrent que la pérennité de leur financement public pose problème (le financement des transports en commun urbains a atteint 12,7 milliards d'euros en 2004 en France). Ce présent dossier présente la réalité des transports urbains en France, les progrès techniques, l'organisation et le financement des transports urbains. Toutefois, le renouveau des politiques volontaristes en faveur des transports en commun est trop récent pour que l'on sache déjà