Francesco Balilla Pratella

la « Musica Futurista » du compositeur Balilla Pratella qu'il va concentrer ses recherches dans la musiques et rédige un nouveau manifeste, L'Art des bruits (1913), dans lequel il théorise l'utilisation du bruit dans la musique en utilisant le son de n'importe quel élément pour ses recherches. Le manifeste, dont il est question ici, est une lettre écrite par l'artiste destinée au compositeur mais aussi ami cher de Luigi Russolo ; Francesco Bililla Pratella. Cet écrit vise à décrire de manière explicite

L’ART DES BRUITS- LUIGI RUSSOLO Au début du 20e siècle, le Manifeste des musiciens futuristes (1911) de Balilla Pratella, puis celui intitulé L’art des bruits (1913) de Luigi Russolo prétendent rénover la musique par l’art des bruits. Il faut, dit Pratella, « exprimer l’âme musicale des foules, des grands chantiers industriels, des trains, des transatlantiques, des cuirassés… Ajouter enfin aux grands motifs dominants du poème musical la glorification de la Machine et le triomphe de l’Électricité

scandale qui fera connaître le mouvement par le compte rendu médiatique qu’il suscitera et qui portera des idées anarchiques ds la population bourgeoise. U. Boccioni. Soirée futuriste. Milan 1911, de gauche à droite : U ; Boccioni, Francesco Balilla Pratella, F.T. Marinetti, Carlo Carrà, Luigi Russolo, { l’arrièreplan : tableaux de Boccioni, Carrà, et Russolo. Coll. Part. Le manifeste des peintres futuristes. Le peintre Umberto Boccioni assiste pour la 1ère fois à une soirée futuriste le