Francesco Sforza

avec leur entourage immédiat, de la foule, conformément à la notion d'autorité divine des princes. La cour n'est pas coupée du monde extérieur: le personnel change constamment, des étrangers vont et viennent. A Milan, la cour de Galeazzo Maria Sforza connait une expansion considérable sous son règne, accueillant « étrangers » et provinciaux: elle est liée par mariage à la cour de Savoie. En Italie, la cour peut être itinérante passant de la ville à une villa à la campagne. Elle conserve son

naissent. Léonard est au service du Duc de Milan, Ludovic Sforza de 1482 à 1499, période durant laquelle il crée la plus grande partie de ses œuvres, notamment en peignant las portraits des favorites du Duc. En 1482, Ludovic Sforza, le duc de Milan, propose à Léonard de Vinci de construire la plus grande statue équestre du monde : un monument à la gloire de son père François Sforza, duc de 1452 à 1466 et fondateur de la maison Sforza. Léonard s'intéresse plus au cheval qu'au cavalier ; son cheval

concevoir et réaliser des formes en volume en relief. Un monument équestre colossal L’œuvre majeure de Léonard de Vinci en matière de sculpture est sans aucun doute le monument équestre qu’il devait réaliser pour père de Ludovic le More, Francesco Sforza (un chef de guerre italien, devenu duc de milan). L'intention de Léonard etait de sélectionner les meilleures ‘’ parties’’ de divers chevaux et d'en faire un montage pour obtenir le cheval idéal, afin d'honorer ce dernier. Il s’agissait d’un

s'inspire aussi de l'anatomie animale pour représenter quelques parties du corps humain. 3-Dans cette lettre de Léonard au duc de Milan (Ludovic Sforza), premierement Léonard vante ses mérites d’ingénieur militaire (navires, « chars »), d’urbaniste (« édifices publics et privés », « réseaux d’adduction d’eau » et d’édifier une statue de Francesco Sforza, père de Ludovic). Léonard de Vinci met en valeur certains talents.Il met en avant sa connaissance mathématique mais également physique (étude

des principautés. Les principautés sont ou héréditaires ou nouvelles. Les héréditaires sont celles qui ont été longtemps possédées par la famille de leur prince. Les nouvelles, ou le sont tout à fait, comme Milan le fut pour Francesco Sforza, ou elles sont comme des membres ajoutés aux États héréditaires du prince qui les a acquises ; et tel a été le royaume de Naples à l'égard du roi d'Espagne. D'ailleurs, les États acquis de cette manière étaient accoutumés ou à vivre sous

l'hydraulique, l'architecture, l'anatomie ou les mathématiques. Génial touche-à-tout, il passe d'un travail à un autre, bien souvent sans achever ses oeuvres au grand dam de ses commanditaires.
En 1482, il se rend à Milan pour mettre au service du Duc Ludovic Sforza, ses talents d'ingénieur, de peintre et même d'organisateurs de spectacles pour lesquels il crée des machines et des automates qui émerveillent le publics. Il réalise des travaux d'architecture, d'urbanisme et d'hydraulique, entreprend des recherches

retable pour la chapelle du Palazzo Vecchio et plusieurs tableaux). Mais désireux d'être libéré des ennuis matériels, il cherche rapidement un mécène. Apprenant que Ludovic le More veut ériger une statue équestre en l'honneur de son père François Sforza, Léonard part pour Milan au printemps 1482. Cette statue l'occupe pendant plusieurs années et la maquette du cheval est exposée dès 1493. Il poursuit également son perfectionnement en mathématiques et en sciences naturelles. C'est pendant cette période

Jusqu'à 1480, il a produit une série de petits tableaux, Madonna avec l'œillet comme la Madone Benois, et peut-être aussi de l'Annonciation. En 1482, il déménage à Milan et a offert ses services en tant qu'ingénieur, sculpteur et peintre à Ludovico Sforza (1451-1508). De 1483 jusqu'à 1486, avec Ambrogio et l'évangéliste de Predis, a accepté et exécuté l'ordre d'un tableau de l'autel: La Vierge aux Rochers. De 1487 jusqu'à 1488, il a travaillé comme architecte dans le studio de la cathédrale de Milan

l'architecture, l'anatomie ou les mathématiques. Génial touche-à-tout, il passe d'un travail à un autre, bien souvent sans achever ses oeuvres au grand dam de ses commanditaires. En 1482, il se rend à Milan pour mettre au service du Duc Ludovic Sforza, ses talents d'ingénieur, de peintre et même d'organisateurs de spectacles pour lesquels il crée des machines et des automates qui émerveillent le publics. Il réalise des travaux d'architecture, d'urbanisme et d'hydraulique, entreprend des recherches

passées par les notables et les monastères de Florence. Il peint en 1481 l’Adoration des Mages pour Laurent de Médicis le Magnifique. De Vinci recherche ensuite un mécène afin de se mettre à l’abri du besoin. Il apprend que le duc de Milan, Ludovic Sforza, souhaite ériger une statue équestre de son père. Il part pour Milan au printemps 1482 et se consacre à la création de cette œuvre pendant 16 ans. Il en fera un modèle mais, il manquera de bronze et il ne pourra pas la réaliser.  C'est pendant qu’il