François Coty

de l’Algérie. I. La « guerre sans nom » masquée par le pouvoir. 1. L’Algérie, un enjeu vital pour le pouvoir. Lors des attentats de la Toussaint rouge, le 1er novembre 1954, le gouvernement français, par la voix de son ministre de l’Intérieur François Mitterrand, rappelle la position ferme du pays : « L’Algérie c’est la France ! » Le pouvoir entend démontrer à l’opinion publique combien les deux rives de la Méditerranée sont et doivent rester liées. Pour des raisons économiques d’abord : Marseille

radical) avec Edouard Herriot - En plus: apparition de nouveaux partis * Le MRP (mouvement républicain populaire) avec Georges Bidault et Maurice Schuman, à dominance chrétienne * UDSR (Union démocratique et socialiste de la Résistance) avec François Mitterand, tendance à gauche * Les indépendants avec Paul Raynaud et Joseph Laniel * Les gaullistes avec Jacques Chaban-Delmas et Jacques Soustelles. - Recul de la droite traditionnelle royaliste, conservatrice (car mêlée au gouvernement

fait majoritaire présidentiel La France connaît, en 1962, une des années charnières et décisives de son histoire, tant au plan des relations internationales qu'au niveau de la politique intérieure. « Cette année-là », immortalisée par Claude François, s'inscrit dans une période trouble. La guerre froide, commencée depuis 1947 fait s'affronter deux bocs mondiaux. La guerre d'Algérie, issue des événements de 1954 est la principale source de préoccupation des hommes politiques et de la population

la République, auparavant élu par la réunion de l'Assemblée nationale et du Sénat. Le souvenir de l'élection laborieuse de 1954, où il avait fallu pas moins de 13 tours de scrutins pour que députés et sénateurs s'accordent sur la candidature de René Coty, est resté dans les mémoires. Aussi la Constitution confia-t-elle le soin d'élire le président de la République à un collège d'environ 80 000 grands électeurs (députés, sénateurs, conseillers généraux, maires et délégués des conseils municipaux). Ce

prêt l'assumer. La situation est extrêmement tendue puisqu'en métropole la gauche se mobilise contre le coup de force d'Alger; le pays est au bord de la guerre civile. C'est dans ce contexte que, le 1er Juin 1958, le président de la République René Coty nomme le général de Gaulle président du Conseil. 2) De Gaulle attribue les maux dont souffre la France à la mauvaise gestion du conflit algérien par les gouvernements de la IV° République, mais plus profondément à l'organisation des pouvoirs prévue

* 1974-1981 : Valérie Giscard D’Estaing * 1981-1988 : François Mitterrand, cohabitation* avec Jacques Chirac de 86 à 88. * 1988-1995 : François Mitterrand, cohabitation avec Edouard Balladur de 93 à 95. * 1995-2002 : Jacques Chirac, cohabitation avec Lionel Jospin de 97 à 2002. Passage du septennat au quinquennat en 2000. * 2002-2007 : Jacques Chirac. * 2007-2012 : Nicolas Sarkozy. * 6 mai 2012 : François Hollande. *La cohabitation désigne la coexistence institutionnelle

composer avec les guerres coloniales en Indochine puis en Algérie. La chute de la 4eme République provient de ces multiples facteurs. Le 13 mai 1958, le comité de salut public réclame le retour de Gaulle au pouvoir. Le président de la République René Coty demande alors au général de former un nouveau gouvernement, investit par l’Assemblée le 2 juin 1958. De Gaulle demande à l’Assemblée nationale de lui déléguer le pouvoir constituant et en moins de 3 mois il dote la France d’une nouvelle constitution

La campagne présidentielle de 2012 se profile pour élire le 7èmePrésident de l’histoire la 5èmeRépublique. Installée à la suite du 13 mai 1958, au cœur de la tourmente algérienne par le « plus illustre des français » le général DG appelé par René Coty. La 5èmeRépublique s’appuie sur une constitution qui garantit à la fois une stabilité politique et un pouvoir important au Chef de l’Etat. Approuvée par près de 80% des français par référendum elle a accompagné le pays dans une période clé du 20èmesiècle

Séance 3 et 4 : La Vème république : un régime parlementaire en devenir LA Vème république est inséparable de Charles de Gaulle, ainsi que de Michel Debré (rédacteur de la constitution, 1er Ministre) et François Goguel. C’est un régime atypique car c’est un régime de rupture avec a IVème République et de continuité puisque c’est un régime qui s’inscrit dans la ligne orléaniste. En effet, pendant la Monarchie de Juillet (1830-1848), dont le Roi est Louis Philipe qui vient de la famille des Orléans

activités du mouvement Croix-de-Feu se répartissent en trois types : les réunions patriotiques, les défilés du souvenir au cours des cérémonies sous l'Arc de Triomphe et despèlerinages sur les champs de bataille. Fin 1929, Maurice d'Hartoy se retire et François de la Rocque, recommandé par les maréchaux Foch, Fayolle et Lyautey, est sollicité pour prendre la direction de l'association. Il en devient président général en 1931. La direction de la Rocque entraîne de nombreux changements au sein de l'association