François Fillon

à la fois devant le Président de la République et l’Assemblée nationale, il est donc lié. Cependant, certains Présidents se sont résignés à cette situation de subordination, comme Pierre Messmer de 1972 à 1974, Raffarin de 2002 à 2005, et François Fillon depuis 2007, qui se place dans l'ombre du Président: « on est complémentaire, le Président décide, prend les orientations et le Premier Ministre met en œuvre, c'est le style de la Vème République ». Cette diarchie soit disant égalitaire,

général qui échoue lors du référendum d’avril 1969. En Mai 1974 Valéry Giscard d’Estaing, premier Pdt non gaulliste (libéral du parti des Républicain Indépendant)après le décès de Georges Pompidou. Depuis élections en Mai : -2 septennat du socialiste François Mitterrand en 1981 et 1988, 2 mandats du gaulliste (RPR) Jacques Chirac, 1 septennat en 1995 puis quinquennat en 2002 (après réforme de 2000) il fait face à JeanMarie Le Pen du Front national) -Nicolas Sarkozy élu en mai 2007 : 53 % des suffrages

"pieds noirs" fuient l'Algérie et regagnent la France. Solidement établie depuis 1958, la popularité du générale de Gaulle subit une relative érosion lors de l'élection présidentielle de 1965. En effet, celui-ci est mis en ballottage au 1er tour par François Mitterrand, candidat de la gauche. De Gaulle l'emporte toutefois au 2nd tour. La révolte étudiante de mai 1968 a des conséquences plus graves. Ceux-ci protestent contre la sélection sociale à l'université, le pouvoir personnel de de Gaulle, la société

Concorde ), création du nouveau franc, augmentation des salaires, avantages sociaux ( création de l'ANPE, de l'assurance-chômage ), la France entre dans la société de consommation. ← Cependant, l'élection de 1965 est un semi-échec, car François Mitterrand, qui se présente comme le candidat de la gauche unie, le pousse à un deuxième tour. Le régime semble usé. ← L'impopularité du régime éclate avec les révoltes étudiantes de mai 1968. Paris devient le lieu d'affrontements violents

et l’étendent à toute la France. En 1969, ce sont 7% des salariés qui bénéficient du SMIG. 4 Création du SMIC 1 Mode de fonctionnement du SMIG De nos jours, il arrive qu'on utilise à tort le terme SMIG pour désigner le SMIC. Cela arriva à François Mitterrand lui-même lors de son face à face de 1974 avec le candidat Giscard d'Estaing, qui ironisa sur cette erreur et qualifia son interlocuteur d'homme du passé. La loi du 2 janvier 1970, présentée par Chaban-Delmas, remplace le SMIG par son

1er assumant le rôle de relais de l'administration centrale. Le territoire constitué, l'unité nationale passe par une centralisation des pouvoirs autant administrative que géographique sur la capitale Paris. En 1539, l'édit de Villers-Cotterêts, François 1er rend obligatoire la langue française dans tous les actes officiels pour des raisons d'unité et d'efficacité. Avec la révolution et la République, la nation devient source de souveraineté à la place du roi. Son unification est réalisé notamment

stations-service se sont asséchés au cours du week-end au milieu des grèves et des achats de panique, mais le Premier ministre François Fillon a promis que "la situation sera revenue à la normale" avec des fournitures de carburant dans "quatre ou cinq jours." Le gouvernement a commencé à utiliser les réserves de pétrole du pays stratégique pour les stations-service de ravitaillement. François Bayrou, chef du parti centriste Modum, a déclaré à NPR que la situation est "plus dangereux que nous avons vu en plusieurs

supranationalité et s'oppose à l'adhésion du Royaume-Uni à la CEE. L’élection présidentielle de 1965 : La réélection de De Gaulle est moins aisée que prévu. Il est mis en ballotage au 1er tour avec 45% des suffrages. Son principal adversaire, François Mitterrand représente la gauche unie (32%. Mais De Gaulle est réélu avec 55% des suffrages. Mais De Gaulle interprète ce résultat comme un demi-échec. La crise de mai 1968 : Les troubles, qui s'essoufflent dès la fin du mois ont révélé le malaise

qualifié d' « hyper-président » de 2007 à 2012, également sous la présidence de François Mitterand de 1981 à 1986 et enfin sous Jacques Chirac de 2002 à 2007. Dans ces cadres là on constate que les initiatives présidentielle sont facilement admises et que le Premier ministre et son gouvernement paraissent davantage comme des auxilières (notamment sous la président de Nicolas Sarkozy où le premier ministre François Fillon ne paraissait pas trop, ne serait-ce que dans médias). « Le premier ministre

plusieurs partis politique. Ces partis ont été lors de cette élection représenté par : A l’extrême gauche il y a le parti communiste, (Jean-Luc Mélenchon), A gauche le parti socialiste (François Hollande désigné lors d’une primaire), Au centre les verts, les écologistes, MODEM . Groupe socio-démocratique . (Eva Joly, François Bayrou), A droite l’UMP, groupe libérale (Nicolas Sarkozy), A l’extrême droite, le FN (Marine Lepen). Les élections présidentielles ont eu lieu en mai 2012 sur un scrutin