François Guizot

Crise économique de 1846-47 : crises frumentaires provoquent des soulèvements sociaux ds campagnes françaises. - Agitation ouvrière : luddisme (destruction de machines à vapeur). - Crise politique : pouvoir politique verrouillé / François Guizot : corruption ++ des députés, contrôle ++ sur élections. Impossibilité de l’alternative politique : interdiction manifestations et réunions qui demandent élargissement suffrage. I- Le suffrage universel : une innovation radicale Rosanvallon

Restauration et qui se déroule sur trois journées qui sont les Trois Glorieuses. En 1831, a lieu la révolte des Canuts à Lyon qui fut la première insurrection sociale au début de l’ère de la grande industrie. En 1833, François Guizot, ministre de l’instruction publique, instaure la loi Guizot sur l’enseignement primaire. En 1848, la seconde Révolution française a lieu, la seconde république est proclamée. Louis Napoléon est élu président. En 1851, Louis Napoléon Bonaparte fait un coup d’Etat. Le second

connait des déboires puis une fin poussée par la volonté du peuple français. En dépit de l’amélioration de la crise économique de 1846 -1848 par la montée en puissance de l’industrialisation française (grâce notamment à l’historien et politicien François Guizot, élu président du Conseil en 1847), le conservatisme monarchique qu’il incarne, ainsi que le caractère autoritaire de ce régime entraîne, suite à l’interdiction d’un banquet républicain, une nouvelle révolution du peuple contre le Roi. *****

Angleterre, ils rentrent en France durant l'Empire, et Hervé de Tocqueville devient pair de France et préfet sous la Restauration. Alexis Charles Henry de Tocqueville, Représentant du PeupleLicencié de droit, et suivant l'enseignement de François Guizot[5], Alexis de Tocqueville est nommé juge auditeur en 1827 au tribunal de Versailles où il rencontre Gustave de Beaumont, substitut, qui collaborera à plusieurs de ses ouvrages. Après avoir prêté à contre-cœur serment au nouveau régime, tous deux

ultraroyalistes, des républicains ou de royaliste modérés comme Adolphe Thiers, pour lesquels « le roi règne mais ne gouverne pas ». Louis-Philippe s’appuie notamment sur François Guizot un homme très conservateur. Ministre des affaires étrangères puis président du Conseil en 1847. Ce dernier doit affronter une opposition de plus en plus organisée. Guizot traque les opposants. En février 1848, quand il interdit une fois encore une réunion de républicains, le peuple de Paris se soulève. Comme en 1830, la révolution

eux sont d'opinion légitimiste, ils sont compensés par les 34 banquiers et industriels devenus députés. Mais ce pays légal est loin de correspondre au pays réel. Sur plus de 9 millions d'hommes majeurs, il n'y a que 241 000 électeurs. Le roi et Guizot, son principal ministre, refusent d'élargir les conditions d'accès au droit de vote comme le leur recommandent des orléanistes, plus conscients du mécontentement des exclus du suffrage censitaire. Les différentes réformes envisagées, celle de Duvergier

l'évènement de 1789 et le « légendaire » du temps passé notamment avec la période du premier empire. II. Nouvelles perspectives. A) Le tournant décisif aux alentours de la Révolution de 1830 Inscrite dans le courant libéral, la figure de François Guizot se distingue de l'ensemble des auteurs qui réfléchissent sur le sujet. Ayant des préférence pour une monarchie parlementaire il signera l'adresse des deux cent vingt et un. Participant du même mouvement d'ouverture, les vulgarisations historiques

au-delà par Yves Chevallard Professeur des universités à IUFM de l’académie d’Aix-Marseille On peut tenter de dire une institution par le truchement d’une chronique particulariste qui en énonce les temps et les lieux, les hommes et les femmes. La loi Guizot du 28 juin 1833 sur l’organisation de l’instruction primaire stipulait dans son article 11 : « Tout département sera tenu d’entretenir une école normale primaire, soit par lui-même, soit en se réunissant à un ou plusieurs départements voisins. » La

s'effectue : François Guizot est démissionné (il est exécré par les républicains parisiens), les manifestants vont le narguer sous ses fenêtres, boulevard des Capucines. Les gardes prennent peur face à la foule et tirent : officiellement, il y a 16 morts mais probablement plus (environ 50). On met les corps sur des charriots et on les trainent dans toute la ville. C'est l'insurrection générale à Paris, qui réclame la république. Louis-Philippe démissionne Mollé, nommé la veille à la place de Guizot et nomme

l'expression elle-même, c'est l'amour malheureux et triste, qui finit le plus souvent mal. VICTOR HUGO ET LE DRAME ROMANTIQUE Le théâtre de Victor Hugo se situe dans un renouveau du genre théâtral initié par Madame de Staël, Benjamin Constant, François Guizot, Stendhal et Chateaubriand. Dans sa pièce Cromwell qu'il sait être injouable à son époque il donne libre cours à son idée du nouveau théâtre. Il publie conjointement une préface destinée à défendre sa pièce et où il expose ses idées sur le drame