François Joseph Paul de Grasse

aux pommettes, et il souriait d’un petit air narquois. –9– Pécuchet ne put s’empêcher de dire : – On le prendrait plutôt pour votre père ! – C’est mon parrain répliqua Bouvard, négligemment, ajoutant qu’il s’appelait de ses noms de baptême François, Denys, Bartholomée. Ceux de Pécuchet étaient Juste, Romain, Cyrille ; – et ils avaient le même âge : quarante-sept ans ! Cette coïncidence leur fit plaisir ; mais les surprit, chacun ayant cru l’autre beaucoup moins jeune. Ensuite, ils admirèrent

aux pommettes, et il souriait d’un petit air narquois. Pécuchet ne put s’empêcher de dire : — « On le prendrait plutôt pour votre père ! » — « C’est mon parrain » répliqua Bouvard, négligemment, ajoutant qu’il s’appelait de ses noms de baptême François, Denys, Bartholomée. Ceux de Pécuchet étaient Juste, Romain, Cyrille ; – et ils avaient le même âge : quarante-sept ans ! Cette coïncidence leur fit plaisir, mais les surprit, chacun ayant cru l’autre beaucoup moins jeune. Ensuite, ils admirèrent

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et de tabac emplissait la salle déserte. Puis il remontait lentement les rues. Les réverbères se balançaient, en faisant trembler sur la boue de longs reflets jaunâtres. Des ombres glissaient au bord des trottoirs, avec des parapluies. Le pavé était gras, la brume tombait, et il lui semblait que les ténèbres humides, l'enveloppant, descendaient indéfiniment dans son coeur. Un remords le prit. Il retourna aux cours. Mais comme il ne connaissait rien aux matières élucidées, des choses très simples l'embarrassèrent

cent Cap o-Can ellas, Yvon Co llin , Mme Év elyne Didier, M. Alain Fou ch é, Mme Fabienne Keller, MM. Ronan Kerdraon et Yann ick Vaug renard, vice-p résid en ts ; MM. Gérard Bailly et Jean Desessard, secrétaires ; M me Jacquelin e Alquier, MM. Jean -Paul A mo ud ry, P ierre And ré , G érard Bailly, Clau de Bérit-Débat, Pierre Bern ard-Reymond, Mme Natacha Bo uchart, M. Jo ël Bourdin, M me Bern adette Bou rzai, MM. Fran çois Calv et, Vincen t Capo -Canellas, Gérard César, Alain Ch atillon, Jean-Pierre

consiste à corriger les PIB par tête ainsi obtenus des différences de niveau de prix (le « coût de la vie ») entre les pays. Cette correction a des limites qu’il est indispensable d’évaluer pour pouvoir apprécier la fiabilité de telles comparaisons. François Magnien, Jean-Luc Tavernier et David Thesmar, Economie et statistique n° 324, 2002 La comparaison des PIB et plus encore des PIB par habitant se heurte à des obstacles. Tout d’abord elle suppose un appareil statistique suffisamment élaboré.

personnes interrogées, le divorce et la perte de son emploi réduisent le bonheur dans des proportions considérables. Ce sont des moments qui renvoient les individus à une solitude, un doute sur leur identité propre qui peuvent être désespérants. François de Singly a fort bien décrit le choc que représente un divorce pour la personne qui est abandonnée. Le « moi », supposé maître souverain des décisions individuelles, n’est plus rien lorsque l’autre disparaît. On a envie de dire qu’il n’est pas besoin

consiste à corriger les PIB par tête ainsi obtenus des différences de niveau de prix (le « coût de la vie ») entre les pays. Cette correction a des limites qu’il est indispensable d’évaluer pour pouvoir apprécier la fiabilité de telles comparaisons. François Magnien, Jean-Luc Tavernier et David Thesmar, Economie et statistique n° 324, 2002 La comparaison des PIB et plus encore des PIB par habitant se heurte à des obstacles. Tout d’abord elle suppose un appareil statistique suffisamment élaboré.

again many thanks • I look forward to seeing you soon • With love and best wishes • With love to you all • Paul sends his love to you both • Do give my kindest regards to Sylvia Cartes postales Having a wonderful time on and off the piste. Skiing conditions ideal and we’ve even tried snowboarding. The local food and wine are delicious, especially the fondue. See you soon, Jo and Paul Mr and Mrs S. Mitchell The Old Forge 7 Wilson Street CIRENCESTER GLOS GL12 9PZ UNITED KINGDOM Dear Jess

l’Espagne et le R-U sont en concurrence directe. La guerre a failli éclater. d) 7 pays fournissent 95% des investissements internationaux. Total Europe 43 milliards $ courants vers 1913 Total monde 47,5 milliards $ courants vers 1913 (source, Paul Bairoch) Pays investisseurs en 1914 (source : Angus Maddison) : RU : 41,8% France : 19,8% Allemagne : 12,8% USA : 8,8% Belgique – PB – Suisse : 12,5% (détail selon Bairoch pour 1913 : CH 5,7% ; BE 4,2 ; NL 2,5) Stock brut d’investissement :