François le bossu

quelques pas, la rue des Poissonniers mettait un vacarme de voitures, un continuel piétinement de foule, qui refluait et faisait de ce bout un carrefour de cohue populaire. Gervaise aimait la rue, les cahots des camions dans les trous du gros pavé bossué, les bousculades des gens le long des minces trottoirs, interrompus par des cailloutis en pente raide ; ses trois mètres de ruisseau, devant sa boutique, prenaient une importance énorme, un fleuve large, qu'elle voulait très propre, un fleuve étrange

cette statue protège tout. Des malfrats entendent le fait que le roi a mis son trésor sous la garde de la statue, ils viennent voler le trésor et saint Nicolas apparait. Le roi paein se convertir. (But : conversion) d) Adam de la Halle (ou Adam le bossu) (13èmes) Il est également auteur de congés. Il est surtout l'auteur de la première pièce profane : « Le jeu de la feuillée ». Il a aussi écrit « Le jeu de Robin et Marion » entre 1270 et 1280. La première pièce a été représentée en 1276 dans la

de persécutions religieuses pour combattre cette « religion prétendument réformée », la plus tristement célèbre étant celle du Massacre de la Saint Barthélémy. Ces guerres de religion sont aussi témoins d’une instabilité politique avec la mort de François Ier (1547). Il va y avoir une succession de rois faibles qui mettent en péril la stabilité politique jusqu’à l’avènement d’Henri IV (1589). Vont se développer de nouveaux mouvements conceptuels afin d’accroître la puissance de la royauté. Apparaît

contemporains. On voit apparaître des écritures fortes et décapantes comme celle de Jacques Rebottier. D’autres qui pointent le nez comme celles de Suzanne Joubert, Fanny Mentré, Gérard Watkins ou Gilbert Milin, des écrivains qui goûtent au théâtre comme François Bon ou Jacques Serena et qui y reviennent. Mais pour un Gabily, un Lagarce, un Koltès ou un Novarina, beaucoup de plumitifs, d’auteurs bientôt oubliables ou de comètes. Il en a toujours été ainsi. Le metteur en scène Claude Régy, depuis un demi-siècle

sous les carolingiens). * Le serment de fidélité : Tous les hommes libres prêtent serment de fidélité au roi. Existe dès Charlemagne qui compris que ca allait porter préjudice aux grands du royaume (ils échappent à un attentat par Pépin le Bossu, son propre fils organisé par les grands), phénomène de clientélisme lié à la personne. Les vassaux préféreront suivre leur senior plutôt que le roi. Au départ que négatif : il ne faut pas nuire au roi puis il va se préciser, il fut fidélité au roi

Dans quelle ville britannique le guitariste des Beatles George Harrison est-il né ? Liverpool 13 Questions Réponses Quel grand réalisateur français est à l'affiche du film de Steven Spielberg "Rencontres du troisième type" en 1977 ? François Truffaut Quelle est la capitale des États-Unis ? Quel dessert, traditionnellement composé d'une poire, de chocolat chaud et d'une glace à la vanille, doit son nom à une opérette d'Offenbach ? Washington ou Washington, DC La poire Belle-Hélène

baiser, Ne hâte pas cet acte tendre, Douceur d'être et de n'être pas, Car j'ai vécu de vous attendre, Et mon cœur n'était que vos pas. Poésie révoltée, politique et sociale, à l’image de Dionysos Adieu Paris, adieu pour la derniere fois Francois Maynard Adieu Paris, adieu pour la derniere fois ! Je suis las d'encenser l'autel de la fortune Et brusle de revoir mes rochers et mes bois OÙ tout me satisfait, où rien ne m'importune. Je ny suis point touché de l'amour des thresors ;

existe à côté du beau, le difforme près du gracieux, le grotesque au revers du sublime, le mal avec le bien,l'ombre avec la lumière » (Préface de Cromwell) =>grotesque= outil de sa dramaturgie->difforme Tiboulet cotoie le séduisant François Ier (Le Roi s'amuse) ms bossu sarcastique=tendresse paternelle alors que monarque élégant=amoral -préface Marie Tudor, 1833 : « Ce serait le mélange sur la scène de tout ce qui est mélé dans la vie […] ce serait le rire ;ce serait les larmes;ce serait le bien

(Ingmar Bergman, 1957), To be or not to be (Ernst Lubitsch, 1942), Lola Montés (Max Ophuls, 1955), L'amour fou, Va savoir (Jacques Rivette), Eve (Mankiewicz, 1950), Opening night (Cassavetes, 1978), My darling clementine (John Ford), Le dernier métro (François Truffaut, 1980), Fanny et Alexandre (Ingmar Bergman, 1982), Tout sur ma mère (Almodovar), Le conte d'hiver (Eric Rohmer), Je rentre à la maison (Oliveira, 2001). Les moyens de la mise en scène On reprendra la distinction de Marcel Martin dans

l'œuvre d'Emile Zola, elle ajoutera à tous ces noms ceux de Christine Hallegrain, de madame Caroline, de Clotilde Rougon; parmi les déshéritées, elle donnera une page à Lalie Bijard, à Palmyre Bouteroue, aux filles de la Maheude, Alzire la petite bossue et la triste Catherine, à la Maheude surtout, la mère crucifiée. Quant aux réprouvées. Renée Béraud Du Châtel, Séverine Aubry, Gervaise Macquart, victimes du milieu ou de la tare héréditaire, elle rendra justice à la sollicitude, à la tendresse pitoyable