Françoise de Rohan

1564. Séducteur reconnu, Nemours fut également accaparé par plusieurs années de procès que lui fit une dame de haut lignage, Françoise de Rohan, qu'il avait mise enceinte et à laquelle il avait fait une promesse de mariage. Nemours épousa cependant en 1566 la veuve du duc de Guise, Anne d'Este, petite-fille du roi Louis XII. La reine de Navarre Jeanne d'Albret, parente des Rohan, avait vainement tenté d'empêcher le mariage. Le procès qui en résulta empoisonna la vie de Nemours et divertit la cour pendant

Texte 3. Le vol du portrait. Mme la Dauphine demanda à M. de Clèves un petit portrait qu'il avait de sa femme, pour le voir auprès de celui que l'on achevait ; tout le monde dit son sentiment de l'un et de l'autre ; et Mme de Clèves ordonna au peintre de raccommoder quelque chose à la coiffure de celui que l'on venait d'apporter. Le peintre, pour lui obéir, ôta le portrait de la boîte où il était et, après y avoir travaillé, il le remit sur la table

Jdhdhd djdhd dhdhd dhd dhd hd dhd hd ddhd idhd d dhd d dh d dhd d dhd d dhd d dhd dhd d dh dd hd d dhd dhd dd dhd dkdh dkdh ddhd d dh d dhd dh d dkhd dk dhd d hddh dh d dhd dh d dhd dhd dhd kd hdd .kCommentaire composé sur Le portrait ou la passion, dans La princesse de Clèves de Madame de La Fayette. Notre analyse du portrait et la passion dans La princesse de Clèves de La Fayette a été rédigé par un professeur de français. Le passage étudié correspond au moment où M. de Nemours succombe à sa passion

Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait et à qui on faisait place. Mme de Clèves acheva de danser, et pendant qu'elle cherchait des yeux quelqu'un qu'elle avait dessein de prendre, le Roi lui cria de prendre

la princesse indienne fut marié avvec le beau prince charmantElle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait et à qui on faisait place. Mme de Clèves acheva de danser, et pendant qu'elle cherchait des yeux quelqu'un

Ces quatre romanciers d'époques et de siècles différents mettent en scène des personnages exessivement jaloux en amour, ou du moins en "relations amoureuses". Chez Madame de Lafayette, Monsieur de Clèves est persuadé de l'infidélité de sa femme, même so celle-ci nie avoir vu son amant ce jour-là, il insiste afin d'en tirer la vérité. Il craint l'infidélité et la tromperie, c'est pourquoi à travers ses propos, on devine sa jalousie, il en devient paranoiaque. Le comte Mosca en est aussi désespéré

La princesse de Clèves : Le jeu du regard : Reference (texte) : Elle se tourna et vit un homme qu'elle crut d'abord ne pouvoir être que M. de Nemours, qui passait par-dessus quelque siège pour arriver où l'on dansait. Ce prince était fait d'une sorte qu'il était difficile de n'être pas surprise de le voir quand on ne l'avait jamais vu, surtout ce soir-là, où le soin qu'il avait pris de se parer augmentait encore l'air brillant qui était dans sa personne ; mais il était difficile aussi de voir

ntroduction Au début de la deuxième partie de la Princesse de Clèves, l’héroïne, est renseignée sur divers sujets ; La liaison secrète de Mme de Tournon, veuve, vertueuse pour tous, se révèle être une femme galante ; Les changements de Nemours dévoilent qu’il est amoureux et la Cour cherche à démasquer sa maîtresse ; Le destin d’Anne de Boulen dépeint la jalousie comme une passion si violente qu’elle peut pousser au crime ; Sa passion amoureuse pour Nemours qui reste inchangée. La Princesse

Le portrait de la Princesse de Clèves pages 82-83 La demoiselle crée l'unanimité par sa beauté éblouissante qui dépasse celle des autres. Sa présence à la cour est légitime, elle a un mérite de naissance, elle est noble. Elle a perdu son père, c'est donc sa mère qui l'a éduquée. Madame de Charte dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires, a construit l'éducation de sa fille autour de l'amour pour la protéger de ses dangers et lui montrer les cotés agréables. Elle l'a éduquée

Princesse de Clèves Les personnages de La Princesse de Clèves sont des personnages historiques, quoique quelques détails soient modifiés. Seul le personnage principal serait imaginaire ; on retrouve dans son aventure de lointains échos du procès de Françoise de Rohan. Dans sa jeunesse, Madame de La Fayette fréquente les salons précieux de l’hôtel de Rambouillet et de Madeleine de Scudéry. La préciosité marque encore le siècle, et l’influence de l’ouvrage phare du courant, l'Astrée d’Honoré d'Urfé, se fait