Franz Kafka

impressionnisme en musique fait depuis longtemps débat, les compositeurs eux-mêmes ayant exprimé en leur temps une grande réticence devant cette appellation. On considère que les premières oeuvres de musique impressionnistes ont été composées par Franz Liszt alors que la première œuvre orchestrale de musique impressionniste est le poème symphonique Prélude à l'après-midi d'un faune de Claude Debussy créé en 1894. La musique impressionniste se caractérise à la fois par une volonté d'idéaliser l'univers

* Franz Liszt (1811 - 1886), compositeur et pianiste hongrois, * Gustav Mahler (1860 - 1911), compositeur et chef d'orchestre autrichien, * Modeste Moussorgski (1839 - 1881), compositeur russe, * Jacques Offenbach (1819 - 1880), compositeur allemand naturalisé français, * Niccolò Paganini (1782 - 1840), violoniste et compositeur italien, * Giacomo Puccini (1858 - 1924), compositeur italien, * Gioacchino Rossini (1792 - 1868), compositeur italien, * Franz Schubert

Vers la fin du XVIIIème siècle mais surtout au cours du XIXème à travers toute l’Europe, la vie musicale est en véritable ébullition et connaît de grands changements qui aboutissent à une situation nouvelle et tout à fait différente par rapport à tout ce que l’histoire de la musique européenne avait connu auparavant. A cette époque, la musique se démocratise, porte une fonction nouvelle au sein de la société, les concerts se développent, les instruments se perfectionnent et ouvrent ainsi de nouveaux

unique fils, Félix, en 1907. -En 1911, il fait la connaissance d’un groupe d’artistes nommé « le Cavalier bleu » constitués de peintres célèbres tels que Vassily Kandinsky qu’il avait déjà côtoyé à L’académie des Beaux-arts de Munich, ainsi que Franz Marc, August Macke, ou encore Alexej von Jawlensky. Il se lie d’amitié avec ces artistes et participe aux expositions organisés par le groupe. -En 1912, étant un excellent dessinateur, il illustre l’œuvre « Candide » de Voltaire -Il prend réellement

Damnation de Faust, « légende dramatique » créée sous sa direction à l’Opéra-Comique, sans grand succès. À partir de 1847, il est enfin reconnu en Europe et remporte un grand succès en Russie, en Angleterre (1848), à Weimar (1852), sur l’invitation de Franz Liszt, à Berlin, à Vienne et à Prague. À Paris, il dirige l’oratorio l’Enfance du Christ (1854), qui reçoit un accueil triomphal, son Te Deum (1855) et l’Impériale (1855) composés pour la remise des prix par Napoléon III lors de l’Exposition universelle

➢ Franz Peter Schubert est né à Vienne, (ville où il passera l’essentiel de sa courte vie ) le 31 Janvier 1797. C’est le 12e enfant d'une famille de 14, dont neuf moururent trés jeunes. Beaucoup de décès donc, autour de ce jeune homme, sans doute trop tôt confronté à la mort . Il en résultera une vision obsédante mais poétique de la mort, qui se nourrirait de la vie en la conviant à se consumer dans un lit de braises… ➢ Son père, Franz Theodor, issu d’une famille paysanne de Moravie est un

Des artistes très connus à travers l'histoire ont aussi voulu mettre Don Juan en valeur, du moins ce qu'il représente, à travers la musique. Des compositeurs tels que Wolfgang Amadeu Mozart, Lorenzo Da Ponte, Christoph Willibald Gluck où encore Franz Liszt le virtuose hongrois. Don Juan a été représenter sous plusieurs formes musical comme le ballet, l'opéra et même à travers la comédie musical qui est plus récente. Tout ceux là, arrivent a interprété l'effet de Don Juan à travers la société

Akadémiai Kiadó Stratégies narratives des "épopées philosophiques" de l'ère romantique dans l'oeuvre pianistique de F. Liszt Author(s): Márta Grabócz Reviewed work(s): Source: Studia Musicologica Academiae Scientiarum Hungaricae, T. 28, Fasc. 1/4 (1986), pp. 99115 Published by: Akadémiai Kiadó Stable URL: http://www.jstor.org/stable/902413 . Accessed: 28/10/2011 03:04 Your use of the JSTOR archive indicates your acceptance of the Terms & Conditions of Use, available at . http://www.jstor.org/page/info/about/policies/terms

1910, il expose pour la 1ère fois au musée de Berne ses dessins, gravures et eaux-fortes. Il se rapproche en 1911 du groupe de peintres du « Cavalier Bleu », dont les théories confirment ses recherches personnelles. Il y rencontre Vassily Kandinsky, Franz Marc, August Macke et découvre le cubisme. En 1912, il traduit « Essai sur la lumière » de Delaunay, qu'il venait de rencontrer à Paris. Il continue néanmoins à s'investir dans la pratique musicale. Son voyage en Tunisie avec Macke et Louis Molliet

comme dans L’école de danse (1914) Compte tenu des divergences trop fortes entre les membres, le groupe se dissout en 1913. • La seconde vague est entreprise par le groupe Der Blaue Reiter ( « Le Cavalier bleu ») constitué par Wassily Kandinsky et Franz Marc à Munich en 1911. Les deux artistes sont rejoints ensuite par August Macke, Paul Klee, Gabriele Münter, Heinrich Campendonk, David Bruljuk et Alexej von Jawlensky. Le groupe exprimera plus de spiritualité que son ainé mais leur expressionnisme