François Perroux Et Le Capitalisme

l'ensemble des innovations agricoles survenues aux XVIIIe et XIXe siècles. Des historiens comme Georges Duby montrent, au contraire, que la modernisation de l'agriculture débuta dès le Xe siècle. Elle concorde le plus souvent avec l'apparition du capitalisme agricole qui entraîne une recherche nouvelle de la productivité. Le processus de la Révolution agricole entretient par ailleurs des liens de causes à effet, réciproques et étroits, avec la révolution industrielle et la transition démographique1

Mais nous connaitrions depuis lors une nouvelle accélération et les restructurations auraient, depuis une quarantaine d’années, changé de nature. En effet, selon Marie Raveyre (2005), au-delà d’effets liés aux technologies et à l’essor d’un « capitalisme cognitif », les restructurations résultent de la conjonction de plusieurs facteurs, avec notamment : la montée de la financiarisation de l’économie ; la globalisation de la production et de la concurrence ; le développement des services. Ainsi,

3 1. CAPITALISME 3 2. MAIN INVISIBLE 3 3. LIBERALISME ECONOMIQUE 3 4. ECONOMIE SOCIALISTE OU ECONOMIE DE PLANIFICATION IMPERATIVE 3 5. ECONOMIE MIXTE 3 6. FORDISME 3 II. LES DIFFERENTS TYPES DE CAPITALISME 4 A. 3 FORMES DE CAPITALISME A TRAVERS L’HISTOIRE 4 1. 16ème Siècle : CAPITALISME COMMERCIAL 4 2. 18ème Siècle : CAPITALISME INDUSTRIEL 4 3. Années 80 : CAPITALISME FINANCIER

transformation, tirée par le boom ferroviaire des années 1840, affecte profondément l'agriculture1, l'économie, la politique, la société et l'environnement. Certains historiens contestent la validité scientifique de cette expression. Pour Werner Sombart (le Capitalisme moderne, 1902) la « révolution industrielle » est un phénomène ancien, qui commence en fait à Florence au XIVe siècle avec l'émergence de la civilisation bourgeoise. Fernand Braudel fait observer que le caractère brutal qu'implique le terme de « révolution

On est donc passé d’un mode de production primitif à un mode de production esclavagiste à un mode de production féodal pour finir par un mode de production capitaliste. Le marché mondial serait l’aboutissement du capitalisme, son dernier stade. Il va se constituer grâce au colonialisme et au protectionnisme. Le colonialisme selon eux est bon car il va permettre de hâter la révolution technique et sociale. Par le colonialisme il va y avoir un choque de deux modes de

précieux parce qu’un royaume riche est puissant. Le côté commercial mercantiliste se manifeste dans l’intérêt de la puissance militaire du royaume. Au XVIII s naît l’école physiocrate qui porte sur le gouvernement de la nature. Ses représentants sont François Quesnay, Richard Cantillon et Vincent de Gournay. Pour eux, les activités commerciales, les activités manufacturières sont des activités stériles. Elles ne produisent pas de richesses ; seul la "terre" produit. Elle est la mère de tous les biens

qui nous gouvernent. - P. BIRNBAUM - Les sommets de l'Etat - 1977. - CASTORIADIS - L'institution imaginaire de la société. - J.L. QUERMONNE - L'appareil administratif de l'Etat, Administration et politique sous la Ve République. - BLOCH-LAINE François - Profession : fonctionnaire, 1976. - CHEVALLIER Jacques - Le Service Public - Collection Que sais-je ? (1987) - COURTELINE - Messieurs les Ronds de cuirs 1893 - Henri CLERC - Le beau métier, 1929 - KAFKA - Le château, 1926 - PEYREFITTE - Le

l’industrialisation (cas de la CEMAC), le point de mire ici pour le professeur Jean M. est d’abord la maitrise d’une stratégie commune de développement et le passage obligé ici est celui décrit par ce dernier qui a été fortement influencé par François Perroux et Jacques Pelmans. Il cite ces auteurs qu’il tire de l’ouvrage d’Alfredo Suarez intitulé l’intégration régionale, évolution du concept, il soutient que le sous régionalisme peut conduire à la mondialisation à travers des modèles d’intégrations

PIB mondial pour 14 % de la pop mondiale, Chine, Inde et Brésil 6% du PIB mondial pour 40 % de la pop mondial. 1. Qu’Est-ce que la croissance économique Création d’un système de comptabilité national en 1954 ainsi que l’INSEE. C’est François Perroux qui est à l’origine de ces institutions. La croissance est une augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes d’un indicateur de dimension pour une nation le produit global en terme réel. Fluctuation : Expansion : accélération du

croissance de la production et progrès. Jean Gadrey et Florence Jany-Catrice, Les nouveaux indicateurs de richesse, coll. Repères, La Découverte 2005. La croissance ne s’assimile pas automatiquement au progrès : plus n’est pas forcément mieux. Selon François Perroux2, le progrès économique est l’augmentation des revenus réels et du niveau de vie 2 Economiste français (1903-1987). Il s’est surtout intéressé aux questions de développement économique. Introduction- 2 - Enseignement des connaissances