François René De Chateaubriand Mémoires D Outre Tombe

La Franciade (1572) ou la poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Lors de sa carrière de diplomate, Il est page auprès du dauphin, François, puis de son frère Charles, duc d’Orléans. Quand Madeleine de France épousa le roi Jacques V d'Écosse, en 1537, Ronsard fut attaché au service du roi et passa trois années en Grande-Bretagne. En 1539, il retourna en France et entra à l’Écurie royale

d'état, Homme politique et Militaire_ (_Français) Dans les premières lignes de ses Mémoires de guerre, Charles évoque sa mère en ces termes : "Ma mère portait à la patrie une passion intransigeante, à l'égal de sa piété religieuse". Le foyer familial, catholique et patriotiste, est aussi très cultivé. A douze ans, la mémoire du général est prodigieuse : on peut déjà déceler ses auteurs préféré (Chateaubriand et bientôt, Péguy à propos duquel il confiera plus tard : "Aucun auteur ne m'a autant

Louis XV. Louis XVI. Le xviiie siècle voit se fragiliser progressivement la monarchie absolue avec la Régence de Philippe d’Orléans, puis avec le très long règne de Louis XV et ses guerres perdues (guerre de Sept Ans sur le continent européen et outre-mer, en Amérique et en Inde particulièrement, achevée par le traité de Parisde 1763 qui consacre la puissance de l’Angleterre et le poids de la Prusse). La monarchie mourra finalement de l’impuissance de Louis XVI : la Révolution de 1789 et ses soubresauts

théologiques entre catholiques et réformés. En France, Jacques Lefèvre d’Etaples reprit, sous l’influence de Reuchlin, l’enseignement de l’hébreu qu’il considéra comme élément de la culture humaniste. L’humanisme prit un nouvel essor avec la création par François Ier du Collège des lecteurs royaux (futur Collège de France). La traduction des ouvrages d’auteurs anciens, mise en valeur par Etienne Dolet, permit la large diffusion d’un platonisme christianisé, fortement revendiqué par les humanistes français

1973 : Sand 1974 : Baudelaire 1975 : Dostoïevski 1976 : Rousseau 1977 : Céline 1978 : Pascal 1979 : Montherlant 1980 : Giono 1981 : Verlaine 1982 : Camus 1983 : Voltaire 1984 : Colette 1985 : Gide 1986 : Malraux 1987 : Maupassant 1988 : Chateaubriand 1989 : Écrivains de la Révolution 1990 : Lewis Caroll 1991 : Sartre 1992 : Prévert 1993 : Nerval 1994 : Saint-Exupéry 1995 : Faulkner 1996 : Wilde 1997 : Aragon 1998 : Green 1999 : Borges 2000 : Un siècle NRF 2001 : Marcel Aymé 2002 : Queneau

11 12 12 12 13 14 14 14 15 15 15 17 17 17 18 19 Séries générales Sujet 6. Objet d’étude : Le biographique ......................................................................................................... Texte A. François René de Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, livre premier, chapitre III ......................... Texte B. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, livre premier ........................................................................... Texte C. Georges Perec, W ou

[ Michel Audiard ] "Conscience collective : somme des inconsciences individuelles." [ Georges Elgozy ] "Aussi grand que soit un trou, il y a toujours quelque chose autour." [ François Cavanna ] "Le temps porte conseil : en général celui de ne rien faire." [ Claude Roy ] "Pour dire oui, il faut pouvoir dire non." [ François Mitterand ] "Une fois qu'on a donné son opinion, il serait logique qu'on ne l'ait plus." [ Albert Brie ] "Nous ne savons pas où nous allons. Si nous le savions, nous n'irions peut-être

[ Michel Audiard ] "Conscience collective : somme des inconsciences individuelles." [ Georges Elgozy ] "Aussi grand que soit un trou, il y a toujours quelque chose autour." [ François Cavanna ] "Le temps porte conseil : en général celui de ne rien faire." [ Claude Roy ] "Pour dire oui, il faut pouvoir dire non." [ François Mitterand ] "Une fois qu'on a donné son opinion, il serait logique qu'on ne l'ait plus." [ Albert Brie ] "Nous ne savons pas où nous allons. Si nous le savions, nous n'irions peut-être

Biographie de Charles de Gaulle - Mes-biographie s.com Dans les premières lignes de ses Mémoires de guerre, Charles évoque sa mère en ces termes : ''Ma mère portait à la patrie une passion intransigeante, à l'égal de sa piété religieuse''. Le foyer familial, catholique et patriotiste, est aussi très cultivé. A douze ans, la mémoire du général est prodigieuse : on peut déjà déceler ses auteurs préféré (Chateaubriand et bientôt, Péguy à propos duquel il confiera plus tard : ''Aucun auteur ne m'a autant

envers les Juifs, victimes d'un génocide systématique sans précédent. La politique agressive de l'Allemagne nazie en Europe est à l'origine de la Seconde Guerre mondiale, qui s'achève par la victoire des Alliés et la chute du régime nazi en 1945. Outre cette attitude instinctive, l’intolérance est souvent la conséquence d’idéologie et de préjugés arbitraires, ayant pour fondements une arrogance injustifiée, un fanatisme aveugle, et un dogmatisme absurde. Tel est le cas de l’idéologie fasciste du