Frédéric Ier de Prusse

la France bat toutes les puissances d’Europe. Avec les canons pris aux russes et aux autrichiens, on fait la colonne Vendôme. L’Autriche, la Prusse et les Russes résistent et sont toujours en guerre. Les Anglais coulent toute la flotte à Trafalgar (près Cadiz). L’amiral NELSON est génial, l’amiral français est mauvais. 2 décembre 1806 : défaite de la Prusse à Berlin, après la bataille de Iéna (http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_d'Iéna), qui est humiliée et accepte la domination française.

lui assurer des renforts de voix supplémentaires après 1930. Les protestants ont davantage voté pour lui que les catholiques, mais une bonne part du vote de ces derniers était fixé par le Zentrum. Les campagnes, éprouvées par la crise et soumises en Prusse à la rude exploitation quasi-féodale des Junkers, se sont servies du vote envers Hitler à des fins protestataires. Les ouvriers ont moins voté nazi que la moyenne, même si une part non négligeable a été tentée. Quant aux fonctionnaires, aux étudiants

moins central et moins intime que celui de l’autobiographie. Dans les Mémoires d’outre-tombe, Chateaubriand est à la fois témoin (de la Révolution, du Premier Empire et de la Restauration) et acteur : il s’exile en Amérique puis s’oppose à Napoléon Ier. On peut observer qu’il transforme parfois les faits, les réinterprétant à son avantage. Le récit autobiographique est profondément personnel, chaque projet autobiographique reste unique. Toutefois, les auteurs déclarent toujours, d’une façon ou

sort de la France, il déclare que l’invasion prussienne est certaine. Ses propos provoquent l’indignation, et c’est à ce moment-là qu’arrive de Monéys (après le départ de Maillard), on lui explique que son cousin a crié « Vive la Prusse ! », on l’entend dire « Vive la Prusse ! Et pourquoi pas à bas la France ? », consternation générale, méprise de la foule. De Monéys est molesté, accusé d’être un prussien, pendant deux longues heures, il a été roué de coups, mutilé, écartelé, son corps a finalement

assez ; et son caractère, inconciliable avec le reste de la création, et comme les feu grégeois qu’aucune force de la nature ne saurait éteindre. » Dix ans d’exil, p. 355 Le sujet de cet extrait est la critique de la politique extérieure de Napoléon Ier. Pour l’auteur, toute sa politique est basée sur la guerre. L’empereur est présenté comme un homme de guerre qui ne peut vivre sans bataille. « Il ne trouve d’amusement que dans les crises violentes ». Il est de plus comparé au feu grégeois qui détruit

en contact avec la musique profane italienne et le convainc de la nécessité de développer la musique profane allemande, d'autant que ses convictions religieuses lui interdisent la musique d'église. Une opportunité se présente à lui car Frédéric-Guillaume Ier de Prusse vient d'accéder au pouvoir, et celui-ci ne montre aucun intérêt pour les arts : il licencie les artistes de la Cour et les dépenses baissent de 80 % en une année. le prince Leopold peut attirer des musiciens de la cour de Berlin vers

du XIXe siècle  6.1.2 Exode rural et urbanisation  6.1.3 Bourgeoisie triomphante  6.1.4 Constitution du prolétariat o 6.2 Évolution du monde du travail  6.2.1 Rationalisation du processus productif  6.2.1.1 Précurseurs : l'exemple de Frédéric Japy  6.2.1.2 Vulgarisateurs : Frederick Taylor et Henry Ford  6.2.2 Travail des enfants o 6.3 Évolution de l'environnement o 6.4 Évolutions politiques des sociétés industrialisées  6.4.1 Évolution du rôle de l'État  6.4.2 Utopies sociales

Chagnollaud (dir.), La vie politique en France, Paris, Seuil, 1993. Jacques Chapsal, La vie politique sous la Vème République, Paris, PUF, 1989. Olivier Forcade, Eric Duhamel, Histoire et vie politique en France depuis 1945, Paris, Nathan, 2000. Frédéric Lambert, Sandrine Lefranc, 50 fiches pour comprendre la science politique (4ème édition), Paris, Bréal, 2012. Jean-Marie Mayeur, La vie politique sous la Troisième République : 1870-1940, Paris, Editions du Seuil, 1994. Jean-Louis Quermonne, Nicholas

Robinson Crusoé; crise financière en France (La Régence). 1721 Montesquieu: Lettres persanes ; Effondrement de l’empire suédois au profit de la Russie. 1723 J.S. Bach. La passion selon St-Jean. Majorité de Louis XV. 1724 NAISSANCE DE KANT. (Konigsberg, Prusse orientale). 1725 J.B. Vico: Scienza nuova;Traité de Vienne. 1726 J. Swift: les Voyages de Gulliver. 1727 Georges II, roi d’Angleterre; Traité de Paris entre la France et l’Espagne. 1728 Wolff, Oeuvres philosophiques (1728-1750). 1733 Dufay: Electricité

L’empire romain ou le premier apogée historique Le judéo-christianisme Les temps barbares ou l’implosion Le temps de l’islam L’apogée médiéval prit fin au XVe siècle. La naissance des nations. La guerre de Cent Ans La Renaissance, Charles Quint, François Ier Les Réformes et les guerres de religion Le grand XVIIe siècle Le siècle des Lumières La Grande Révolution L’Empire Les « répliques » de la Révolution. Les restaurations manquées L’Europe des nations Les États-Unis et la Sécession La conquête coloniale