Frenhofer

discours mythique Pour Frenhofer, trois éléments essentiels composent la peinture, le dessin la couleur et le sentiment, relevant du discours technique jouant sur l opposition de la complémentarité de la couleur ou du dessin Le sentiment en revanche est e un élément indéfinissable en peinture, étant la troisième définition de la peinture, un je-ne-sais quoi, un escio quid en latin. L expression du je ne sais quoi apparaît dans le ci sous cette forme ou sous une autre (P45 Frenhofer y commente un tableau

grand Porbus et rencontre ainsi le vieux maître Frenhofer. L'ensemble de leur conversations constituent une réflexion sur l'art mais aussi sur l'amour qui entre en conflit avec celui-ci. L'extrait situé vers la fin du second chapitre présente les pages 34 à 37, elles correspondent au début du dénouement de la nouvelle. Dans les pages précédentes, Porbus convint Poussin et Frenhofer d'échanger "leurs femmes" (Gillette et Catherine Lescault) afin que Frenhofer puisse terminer sa toile commencée dix ans

l’auteur ne cherche pas à faire une œuvre historique mais à transmettre sa conception de la peinture et de l’art. « Le Chef d’œuvre inconnu » est l’une des nouvelles les plus célèbres et les plus commentée de Balzac. * Personnages : * Maître Frenhofer : Héros : Riche vieillard qui détient une grande connaissance de l’art, de l’histoire… Elève de Mabuse. (personnage fictif) * Nicolas Poussin : Jeune artiste encore inconnu et désir de s’initier à la peinture chez Porbus. (personnage réel) Pauvre

peintre Porbus dans son atelier. Il est accompagné du vieux maître Frenhofer qui émet de savants commentaires sur le grand tableau que Porbus vient de terminer. Il s’agit de Marie l'Égyptienne dont Frenhofer fait l’éloge, mais qui lui paraît incomplet. En quelques coups de pinceau, le vieux maître métamorphose le tableau de Porbus au point que Marie l’Égyptienne semble renaître à la vie après son intervention. Toutefois, si Frenhofer maîtrise parfaitement la technique, il lui manque, pour son propre

vue sur l’art, nous étudierons une perspective différente de l’art à travers Frenhofer I / Réflexion esthétique sur la nature de l’art Réel but de l’art Notions et détails à comprendre II/ L’art, une véritable lutte Long combat pour atteindre la beauté Le peintre est représenté comme un combattant III/ une confrontation entre la peinture impressionniste et la peinture académique Comparaisons de l’art de Frenhofer à celui de ses compagnons Eléments de l’impressionnisme INTRODUCTION

François Porbus et rencontre ainsi, par hasard, un peintre de génie mystérieux : Frenhofer. Celui-ci parfait avec une facilité déconcertante la toile de Porbus et prétend détenir le secret de la peinture de son maître décédé Mabuse. Nous assistons au cours de la nouvelle à de multiples discussions au sujet de la peinture et de la nature d’artiste. Le fil conducteur de ces débats réside dans le désir et le doute de Frenhofer. Celui-ci est en train de réaliser le chef-d’œuvre absolu (La Belle noiseuse)

Le Chef-d’œuvre inconnu est une nouvelle d’Honoré de Balzac publiée dans le journal l'Artiste sous le titre de Maître Frenhofer, en août 1831, puis toujours dans le même journal sous le titre Catherine Lescault, conte fantastique, la même année. Paru une nouvelle fois dans les Études philosophiques, en 1837, il est intégré à La Comédie humaine en 1846. Le Chef-d’œuvre inconnu constitue une réflexion sur l’art. Incipit : « Vers la fin de l’année 1612, par une froide matinée de décembre, un

Comédie humaine comme Sarrasine. Le titre fut changé deux fois, à sa parution cette nouvelle s’appelait Maître Frenhofer puis Catherine Lescault et enfin le nom sous lequel on le connaît Le Chef-d’œuvre inconnu. Le premier titre était le plus logique intitulant la nouvelle par le nom du personnage principal. Le deuxième était le nom du portrait de la personne que voulait faire Frenhofer. Sur la première de couverture, dans l’édition Librio, une femme se cachant derrière un rideau est représentée

Porbus lui réservera bien des surprises. Maître Frenhofer, personnage étrange, est lui aussi de la partie et accapare l'attention des protagonistes et du lecteur. Il fascine par la judicité de ses commentaires savants et par l'art d'allier le geste à la parole. En quelques coups de pinceau, il métamorphose le tableau, fort bon au demeurant, de Porbus. « Marie l'Egyptienne », après son intervention, semble renaître à la vie. Conviés chez Maître Frenhofer, Poussin et Porbus apprennent qu'il travaille

Nicolas Poussin va chez le peintre Porbus accompagné d'un grand peintre nommé Frenhofer. Celui-ci donne des conseils à Porbus et grâce à quelques coups de pinceaux sur une de ses toiles, il semble donner vie à celle-ci. Par la suite, Frenhofer parle de sa peinture, La Belle Noiseuse, qu'il n'a toujours pas finie en dix ans. Les deux peintres veulent absolument la voir, mais il refuse. Poussin propose alors à Frenhofer de faire poser sa compagne pour qu'il s'en inspire. Il accepte. Quand sa peinture