Frère jésuite

Situation du texte : En Bretagne, en 1689, l’abbé de Kerkabon et sa sœur accueillent un Huron du Canada, surnommé l’Ingénu, naïf, mais plein de bon sens. Pour les remercier, le Huron leur offre deux portraits dans lequel ils reconnaissent leur frère et leur belle-sœur : le Huron est donc leur neveu. Il décide de rester en France, d’autant qu’il est tombé amoureux de Mlle de Saint-Yves. Après une instruction religieuse un peu mouvementée, le jeune homme est baptisé. Sa marraine est Mlle de Saint-Yves

est né en 1694 et mort en 1778 il est l un des plus grands écrivains français: dramaturge, polémiste satirique, philosophe, historien et moraliste, est originaire d'un milieu bourgeois, son père était notaire. Il fait de brillantes études chez les jésuites de Louis-Le-Grand. Des vers irrévérencieux l'obligent à rester en province, puis provoquent son incarcération à la Bastille (1717). Une altercation avec le chevalier Rohan-Chabot le conduit à nouveau à la Bastille, puis le contraint à un exil de

indo-européennes. Mais déjà en Inde il y a des Castes (castes guerrières, castes de ceux qui prient, mais aussi les hors-castes) Les noble se jalousent entre eux c'est "la cascade du mépris". Pas d'égalité entre les frères, avec le droit d'ainesse où le frère ainé hérite de tout. Même en ce qui concerne la peine de mort, les nobles doivent être décapités, alors que l'homme du peuple est pendu. Les nobles ne payent pas d'impôts parce que ceux-ci vont se battre sur les champs de bataille tandis que les

de ses fils et son frère, |      « Quelle peine trouves-tu d’approuver les contes des vieilles| |(…) il nous fit une grande harangue, nous montrant la ladite croix, (…) |gens comme des jeunes? (…) Quelle peine aurais-tu d’aller nu | |que nous ne devions pas planter ladite croix sans sa permission. (…) |pendant qu’il fait chaud? (…) N’as-tu pas la même contrainte | |nous lui montrâmes une hache (…) et que nous voulions amener deux de ses|quand les Jésuites et les gens qui sont

Diderot, né le 5 octobre[ ]1713 à Langres et mort le 31 juillet 1784 à Paris, est un écrivain, philosophe et encyclopédiste français ; Denis Diderot nait à Langres , dans une famille bourgeoise en 1713. De 1723 à1728, il suit les cours du collège jésuite proche de sa maison natale. À douze ans, il envisage la prêtrise et, le 22 août 1726, reçoit la tonsure de l'évêque de Langres. En1728, il part étudier à Paris, peu intéressé par les perspectives de la province, l'entreprise familiale à laquelle son

embarquent pour le Paraguay. Les trois personnes se retrouvent à Buenos-Aires ; le gouverneur s’éprend de Cunégonde. Candide est obligé de s’enfuir et de se réfugier avec son valet Cacambo chez les jésuites où ils retrouvent le fils du baron. Candide s’enfuit après avoir transpercé de son épée le frère de Cunégonde. Prisonniers des Oreillons, une tribu anthropophage, Candide et Cacambo parviennent à s’échapper. Ils se retrouvent dans le pays de l’Eldorado. Ils rencontrent un esclave nègre en arrivant

littéraire : les Lumières Critique : De la politique : le roi, le fait que ceux qui ne sont pas connus n’ont aucune possibilité de se faire entendre, le fait qu’il n’y a pas forcément de procès avant un emprisonnement De la religion : jansénisme (Gordon), jésuite (père Tous-à-tous et de la Chaise) qui manquent à leur mission spirituelle et use de leur autorité, catholique (lors de la lecture de la Bible ou du baptême) et enfin Voltaire critique le clergé (caractère des Kerkabons et emprisonnement au couvent

police doit fuir seul. Chapitre 14 : En compagnie de son valet Cacambo, Candide se rend chez les jésuites du Paraguay. Il retrouve le frère de Cunégonde. Chapitre 15 : Celui-ci s'oppose au mariage de sa sœur avec Candide (un bâtard). Candide, fou de rage, le tue. Chapitre 16 : Fuite de Candide et de Cacambo au pays des oreillons qui s'apprêtent à les manger, mais leur font grâce comme ennemis des jésuites. Chapitres 17-18 : Ils arrivent dans l'Eldorado, pays où tout va bien, richesses inouïes, plein

faux dévot, Tartuffe, qui, en tant que directeur de conscience, s'introduit dans la maison d'Orgon et tente de séduire la femme de son maître, Elmire. Le scandale éclatera, et de ce fait le roi ne pourra protéger Molière face aux attaques du parti jésuite, fréquemment présent à la cour dans cette seconde partie du XVII°s. Ce que qui fut plus tard nommé la Cabale des dévots obligera Molière à censurer sa pièce. Dans cet extrait, nous sommes dans l'Acte I scène 5, c'est-à-dire au début de la pièce. Cet

proposent de s’évader, ce qu’il fait après mûre réflexion. Il retourne à Paris pour ensuite revenir à Trois-Rivières. En 1657, il travaille pour les Jésuites, à la mission de Guanantaha, il les aida établir un contact avec les iroquois pour faire la paix ainsi que du commerce. En 1659, Radisson s’allie avec Médard Chouart Des Groseillers, son beau frère, pour faire la traite des fourrures. Il voyage sur le lac Supérieur. Ils reviennent de ce périple avec une grande richesse en fourrure ce qui sauva