Friedman Samuelson

libertarien et au monétarisme ainsi qu'à une opposition au keynésianisme. Leur nom vient du département d'économie de l'Université de Chicago, même si tout le département n'était pas membre de cette école de pensée. Y sont rattachés : • Milton Friedman, « Prix Nobel » d'économie 1976 • George Stigler, « Prix Nobel » d'économie 1982 • Frank Knight • Thomas Sowell • Richard Posner • Gary Stanley Becker, « Prix Nobel » d'économie 1992 • Ronald Coase, « Prix Nobel » d'économie

MILTON FRIEDMAN Présentation Milton Friedman est un économiste américain, né le 31 juillet 1912 à New York et décédé le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle[]. Titulaire du prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel de l'année 1976[][], il a été un ardent défenseur du libéralisme. Il a travaillé sur des domaines de recherche aussi bien théorique qu'appliquée, il fut à l’origine du courant monétariste

initial. Ainsi, celui qui a investi 40% du capital dans l’entreprise reçoit 40% des dividendes (part des profits) et son vote compte pour 40% lors des assemblés. (Non-démocratique) Milton Friedman prône plutôt la liberté de marché et propose une réduction maximale de l’intervention de l’État dans l’économie. Pour Friedman, la seule façon d’atteindre la liberté politique et économique est de réduire le rôle de l’État dans l’économie, c’est-à-dire d’appliquer le libéralisme économique. Le jeu de l’offre

c'est-à-dire que la consommation augmente mais pas autant par rapport à l’augmentation du revenu. En réalité, on constate sur le long terme une grande stabilité de la propension moyenne à consommer alors que Keynes annonçait une baisse. Selon Milton Friedman (économiste américain), la consommation ne s’établit plus en fonction du revenu courant des ménages (comme le pensait Keynes, pour qui, consommation = Co+cR) mais en fonction d’un revenu annuel moyen estimé par l’individu sur sa durée de vie. Mais

la production et l’emploi. La monnaie n’est plus neutre. Milton Friedman et la nouvelle théorie quantitative En 1956, Milton Friedman (1912-2006) propose une nouvelle théorie de la demande de monnaie qui constitue selon lui une nouvelle formulation de la théorie quantitative de la monnaie. La demande de monnaie dépend de la richesse des individus et des rendements anticipés des autres actifs comparés à celui de la monnaie. Friedman cherche une relation déterminant la valeur désirée des encaisses

monnaie », en moyenne, les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que leur revenu croît, mais non d’une quantité aussi grande que l’accroissement du revenu », traduisant ainsi une saturation de la satisfaction des besoins. Pour Milton Friedman, c’est « L’hypothèse du revenu permanent » qui prime, les ménages adaptent leur consommation en fonction de l’évolution de leur revenu permanent et de leur patrimoine. Tandis que pour Franco Modigliani, c’est « L’hypothèse du cycle de vie » qui

La concurrence est elle toujours souhaitable ? Cette question nous amène à réfléchir sur les avantages et les inconvénients de la concurrence pour les agents économiques mais aussi comme mode de régulation de l’économie. Cependant, nous constatons régulièrement que la concurrence ne résout pas nos problèmes économiques : chômage, fermeture d’entreprises et délocalisations, inflation et augmentation des prix... Dans un premier temps, nous étudierons pourquoi la concurrence impulse la dynamique économique

demande) ralentissent l’inflation mais réduisent la croissance et favorisent le chômage. Depuis les années 80 c’est la lutte de l’inflation qui prône sur la lutte contre le chômage. Suivant l’influence des monétaristes et leurs chef de file, Milton Friedman qui pense que toute politique de relance ne se traduit à terme que par de l’inflation et non par de la croissance. De plus, selon lui on ne peut diminuer le chômage naturel puisqu’il dépend du refus des demandeurs d’emploi à s’adapter aux conditions

individual”. For Milton Friedman, the firm’s responsibility is to increase profits and not to think of a « social responsible». Two main reasons are used to defend this point of view: First of all, the legitimacy of a company to do that is not evident, as a firm doesn’t represent people in a society. Second, the firm is using stakeholders money to develop this « social responsibility » and it is not its vocation neither its objective. The best way, according to Friedman, to a firm to support

La régulation par le marché Formation du prix de marché Le marché est le lieu de rencontre entre offreurs et demandeurs. Les intérêts des intervenants sur le marché : la demande globale d'un bien représente l'ensemble des demandes pour un prix déterminé. La demande est décroissante par rapport au prix. l'offre globale représente l'ensemble des offres pour un prix déterminé. L'offre est croissante par rapport au prix le prix de marché s'établit naturellement grâce au libre jeu de l'offre