Frisson

l’herbe, sous la nue[2], Pâle sur son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls[3], il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous au côté droit. Octobre 1870 . Arthur RIMBAUD, Poésies, 1870-1871 QUESTIONS I. La personnification de

délicatesse «Jacques Rival murmura d’un ton mécontent : «Avec ce sacré pistolet, c’est toujours comme ça, on se rate ou on se tue . Quel sale instrument !»» (p.170) 10) Un extrait représentatif : «Il se sentait sur sa peau courir de légés frissons, ces frissons froids que donnent les immenses bonheurs. Il ne voyait personne. Il ne pensait qu’à lui. J'ai choisi cet extrait car je trouve que l’on remarque bien l’orgueil de l'égocentrique personnage, soi un persoonage qui ne pense qu’a lui et son

craintif, comme j’entrais, Devant le crucifix où sa lèvre se colle Ma mère était en pleurs !... Ô mes ardents regrets ! Depuis, je fus toujours le premier à l’école. 14 Ma mère Quelquefois sur ma tête elle met ses mains pures, Blanches, ainsi que des frissons blancs de guipures. Elle me baise au front, me parle tendrement, D’une voix au son d’or mélancoliquement. Elle a les yeux couleur de ma vague chimère, Ô toute poésie, ô toute extase, ô Mère ! À l’autel de ses pieds je l’honore en pleurant, Je suis

lit vert ou la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. 13 mai et 15 mai 1871 : les lettres du « voyant » Rimbaud exprime clairement sa solidarité avec le mouvement

d'une chose nouvelle. (…) Le charme du grand groupe, homme et jeune, intitulé Le Baiser, réside dans la répartition sage et équitable de la vie; on a le sentiment que, des surfaces en contact, des ondes partent là dans le corps tout entiers, des frissons de beauté, de pressentiment et d'énergie. (…) Progressant dans sa recherche à la fois sur le mouvement des surfaces et sur leur union, Rodin en est venu à chercher des corps qui se touchent en de nombreux endroits (…) Plus nombreux étaient les points

jetaient des clameurs prolongées, énormes, enflées comme des vagues, si sonores et si puissantes, qu'il semblait qu'elles dussent soulever et faire sauter le toit pour se répandre dans le ciel bleu. Leur bruit vibrant emplissait toute l'église, faisait frissonner la chair et les âmes. Puis tout à coup elles se calmaient ; et des notes fines, alertes, couraient dans l'air, effleuraient l'oreille comme des souffles légers ; c'étaient de petits chants gracieux, menus, sautillants, qui voletaient ainsi que des

surprise, étonnée même : « Laurent (…) l’étonnait » l.3. Au fil de l’observation et de l’insistance de ses regards, cet étonnement se transforme en sensations physiques : « éprouvant de petits frissons lorsque ses yeux rencontraient son cou de taureau » l.11 à 12.Si au début, ce n’est que de « petits frissons », la jeune femme, sous le « regard droit » l.19 de Laurent, éprouve ensuite un trouble plus général : « …une sorte de malaise » l.19. Comme si le regard de Laurent la transperçait au plus profond

puis il y a internet, on pourra rester en contact. - …C’est pas pareil mais on fera avec. Dis ! ce sera quoi le nom de ta pension ? - Laisse-moi réfléchir. Ah oui ! c ‘est SOFRIMENTOS. Un frisson parcourut le corps de Paola et elle lui dit, la voix tremblante : - Tu as bien dit SOFRIMENTOS ? Nouveau frisson. - Oui, pourquoi ? - N’y vas pas, Marie !!! Il se passe des choses horribles là-bas, des choses …des choses d’un autre monde ; si tu tiens à la vie n’y vas pas !!! Marie fut effrayée par

donc en mai 2009 une cœlioscopie pour retirer 30 cm de la partie du côlon abîmée. Seulement, il y a des adhérences lors de l'ablation du drain suite à cette intervention. Le lendemain, Mr SV présente une hyperthermie, une froideur, une raideur, des frissons et une douleur insupportable. A ce moment là, le médecin suspecte une septicémie due à une infection urinaire car il a une sonde urinaire. Mr SV réalise un scanner, et le médecin constate une occlusion intestinale et une péritonite. Mr SV se refait

de paysan , avec « [ses] mouvements lents et précis, [son] air tranquille et entêté. » Enfin, la comparaison animale montre un aspect de Laurent menaçant, dangereux. L’auteur compare son cou avec celui d’un taureau. «  (...) éprouvant de petits frissons lorsque ses yeux rencontraient son cou de taureau. », et fait un rapprochement entre ses poings et un bœuf «  (...) le poing fermé devait être énorme et aurait pu assommer un bœuf. ». Ces comparaisons relèvent une animalité, une force inquiétante