Front national de libération de l'Angola

d'indépendance de l'Angola Guerre civile angolaise | modifier | Jonas Malheiro Savimbi (1934-2002) était un chef nationaliste angolais. Il est né dans la province de Moxico et issu de l’ethnie ovimbundu. Il a été le fondateur du mouvement politique et militaire angolais, l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (União Nacional para a Independência Total de Angola, UNITA), créée en 1966 pour se joindre à la Frente Nacional de Libertação de Angola (Front National pour la Libération de l'Angola

Présentation de la crise Le processus de décolonisation de l’Angola et du Mozambique fût enclenché bien après la « vague décolonisatrice ». Différents mouvements nationalistes se crée dans les années 50/60 : FNLA (front de libération national Angolais) MPLA (mouvement des populations de libération de l’Angola) Unita (union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) FRELIMO (front de libération de Mozambique) RENAMO (résistance national Mozambique) Le Portugal (à l’inverse des autres puissances

un mois plus tard, annonce que la guerre est finie en Angola. 13 novembre 1996 : le Parlement supprime le poste de vice-président après le refus de Savimbi de l’occuper. 11 avril 1997 : formation d’un gouvernement d’unité et de réconciliation nationale associant le MPLA et l’Unita. Savimbi refuse un rôle dans le nouveau gouvernement. 30 octobre 1997 : le Conseil de Sécurité de l’ONU impose des sanctions à l’Unita pour non respect du cessez-le-feu. 1998 : le gouvernement appuie la formation

nationalistes de libérations et les portugais en Angola et à Cabinda. Le 25 avril 1974, qui consacre la Révolution des œillets, marque un pas décisif dans l’accession des colonies lusophones à l’indépendance. Le Portugal abandonne ainsi précipitamment ses colonies aux « mains » des différentes factions angolaises qui se livrent une guerre pour le contrôle du pouvoir. Le 10 janvier 1975 a lieu la conférence d’Alvor au Portugal qui a réuni les trois mouvements de libérations notamment l’union nationale pour la

stratégique majeur et cela explique bien des conflits. La Corne de l’Afrique désigne l’ensemble géographique formé par l’Ethiopie, l’Erythrée, la Somalie et Djibouti. La Corne de l’Afrique est fragilisée par des conflits territoriaux et d’identité nationale. Ces confits aggravent la pauvreté. Ces enjeux et richesses expliquent l’attitude des grandes puissances. Les britanniques par exemple ont réussit à maintenir dans le Commonwealth presque toutes leurs anciennes possessions, la France mène une politique

correspond à une vague massive de décolonisation en Afrique noire, inaugurée par le Soudan et le Ghana (ex-Gold Coast) en 1956, bouclée par le Botswana en 1966. • Cinq États doivent encore recouvrer leur indépendance : deux colonies portugaises (l’Angola et le Mozambique) et le Sahara occidental espagnol ; en terre australe, la Namibie et le Zimbabwe. m mmmm 2.Après la Deuxième Guerre mondiale, Français et Britanniques envisagent une autonomie progressive. Dans les faits, la situation dépend

prévu, la radicalisation des positions par l’absence du dialogue est proscrite. Le secrétaire générale des nations unies, dans le rétablissement de la paix peut faire recours à la médiation, c’est le cas par exemple de la Namibie, du Mozambique, de l’Angola. La réconciliation entre deux parties en conflits se fait par l’envoi des missions diplomatiques organisées en étroites collaboration avec les organisations régionales (CDEAO, SADC…) B. La ratification des accords. Cette mesure bien que préventive

troupes dans différents pays comme l’Angola, le Mozambique ou l’Ethiopie. L’Angola sera la plus vaste opération militaire extérieure cubaine avec l’envoi d’environ 350'000 Hommes en soutien au Mouvement Populaire de Libération de l’Angola (MPLA) et contre le FNLA et l’UNITA, deux mouvements soutenus par les Etats-Unis et l’Afrique du Sud de l’Apartheid. La fin de la coopération militaire aura lieu en 1991, suite à un accord entre l’Afrique du Sud, les USA, l’Angola et Cuba. Le retrait des troupes d’Afrique

Sénégal ou au Ghana, mais parfois l’indépendance a été obtenue par la guerre menée par les branches armées des partis politiques. C’est le cas du Front de Libération Nationale (F.L.N.) en Algérie, le Mouvement Populaire de Libération de l’Angola (M.P.L.A.) et l’Union Nationale pour l’Indépendance Totale de l’Angola (U.N.I.T.A.) ou le Front de Libération du Mozambique (FRELIMO). Conclusion Dès la fin de la seconde Guerre Mondiale, les réalités dans les colonies, à savoir les abus et frustrations

Jean-Pierre Raison, l’Afrique subsaharienne, Armand Colin, 2003 Marie Françoise Durand, Jacques Lévy, Denis Retaillé, Le monde, Espaces et systèmes, Presses de la Fondation nationale des sciences politiques & Dalloz, 1993 Maryse Fabriès-Verfaillie, L’Afrique du Nord et le Moyen-orient dans le nouvel espace mondial, PUF, 1998 Michel Foucher, Fronts et frontières, un tour du monde géopolitique, Fayard, 1991 Georges Mutin, L’eau dans le monde arabe, Ellipses, 2000 Collectif : Le monde méditerranéen, Thèmes et