Fugitive Beaute

balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! Trop tard ! Jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais

l´ourlet; 5. Agile et noble, avec sa jambe de statue. 6. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, 7. Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, 8. La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. 9. Un éclair... puis la nuit! — Fugitive beauté 10. Dont le regard m'a fait soudainement renaître, 11. Ne te verrai-je plus que dans l'éternité? 12. Ailleurs, bien loin d'ici! trop tard! jamais peut-être! 13. Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, 14. Ô toi que j'eusse

elle était décoiffée » (p.19), présentent le thème de l’amour sous des angles très différents. La discussion entre Nihan et Kamal dans le film turc « Kara Sveda (l’amour éternel) » durait depuis quelques heures concernant ce sujet d’une beauté inexplicable, mais d’une complexité infernale. L’amour, ce sentiment

peinture moderne, ainsi, Baudelaire essai de définir dans son texte les principes de la nouvelle esthétique. A cet égard, il choisit un dessinateur et aquarelliste de la vie parisienne, Constantin Guys, pour cristalliser une nouvelle esthétique, une beauté du « transitoire » qui avait déjà été affirmé dans le Salon de 1846. Cependant, celui-ci ne sera jamais nommé dans son essai, autrement que par les initiales M.G., en effet, dans L’Art romantique, une note due à Asselineau ou à Banville prévenait

=rythme s'alonge =imiter la marche de la f vers le poete V4=tres rythmé:3,3,3,3 syll effet de balancemt poete : il est medusé =comparaison « crispé comme un extravagant » V6 =un fou « je buvais » V6/ « fascine » V8 =poete devisageant la f il admire la beauté c)la fulgurance de la rencontre image de l'eclair au V9 : sur un hemistiche lumiere diff obscurité adv « pui »=succes° rapide de ces etat/... sugerent l'eblouissemt du poete h cô le!=intensité farce des sentiment ainsi devoilé le tiret =isole

rang céleste. Il lui accorde des pouvoirs surnaturels, tel que le pouvoir de vie et/ou de mort «Dont le regard m'a fait renaitre: v.10 ou «le plaisir qui tue» et ciel livide ou germe l'ouragan (v.6)» et ne trouve d'égal à sa beauté qu'il qualifie de «mirage» («fugitive beauté»). Cet idéal féminin est lié à une rencontre exceptionnelle, de part la violence des sentiments, le coup de foudre, exprimée par une ponctuation expressive et un oxymore percutant «Un éclair...puis la nuit! (v.9) et de part

observation du monde qu’il entoure -> vie urbaine -> cherche source d’inspiration dans Paris + Cherche Beauté -> obsession du poète et source d’inspiration + but : atteindre la beauté dans les textes -> atteindre ordre supérieur -> concerne notre poème - Sujet : - Parle d’une femme (passante dans les rues agitées) -> Baudelaire, terrasse de café ?, observe et voit la femme : frappé par sa beauté -> véritable coup de foudre -> pas de contact autre que visuel -> s’en va -> déception de Baudelaire Plan :

ont des rimes différentes ; les T reprennent une rime de Q1)Il nous donne sa vision de la beauté féminine tout en dressant un portrait de lui-même. Il raconte un coup de foudre sans suite, une rencontre manquée, qu’il prolonge par la poésie.I/ LA BEAUTE FEMININE SELON BAUDELAIRE1/ La beauté, la grâceChamp lexical de la noblesse « fastueuse, noble, majestueuse »Associée à l’art « jambe de statue », à la « beauté », au luxe.Impressionnante, par les mots qui évoquent la grandeur « longue, grand, majestueuse »

l’ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l’ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l’éternité? Ailleurs, bien loin d’ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimée

tel « un éclair » (poème « A une passante »), fait entrer le poète dans un état second, « le fait renaître ». Le poète se trouve en quasi apoplexie devant cette beauté, devant cette femme. Ce « coup de foudre » est notamment présent dans le poème « A une passante », où le poète est complètement abasourdi devant cette « fugitive beauté ». Il faut ensuite parler de la façon dont le poète voit la femme après cette sublime vision car, après ce choc, celui-ci a vu sa curiosité s'attiser. En effet, il