Fugitive Beaute

« vautours » (comparaisons avec la femme (colombes) vers 19 … mais le poète s’indique dans ces personnages. --)contemplation et compliments des femmes : « Aux femmes » ; « femmes, vous restez grandes. » ; « Dieu vous a tout donné, femmes » ; « étant la beauté » ; « le vautour frémit sous le bec des colombes » (ici : personnification animale pour comparer les femmes et les hommes) Texte 3 : (Baudelaire, Les Fleurs du mal) --)les sentiments du poète : « douleur majestueuse » ; « crispé comme un extravagant »

l'impression qu'il nous raconte une histoire. Le style apparaît fantastique, climat assez proche du conte, féerique. Sujet essentiel de ce "tableau" : les ponts.      Comme s'il évoquait de manière picturale la ville. Mais image mobile, animée de manière fugitive (opéra, carnaval). Lecture       Des ciels gris de cristal. Un bizarre dessin de ponts, ceux-ci droits, ceux-là bombés, d'autres descendant ou obliquant en angles sur les premiers, et ces figures se renouvelant dans les autres circuits éclairés

l'impression qu'il nous raconte une histoire. Le style apparaît fantastique, climat assez proche du conte, féerique. Sujet essentiel de ce "tableau" : les ponts. Comme s'il évoquait de manière picturale la ville. Mais image mobile, animée de manière fugitive (opéra, carnaval). LES PONTS : Annonce des axes I) Le poème se présente comme un tableau 1.1) Le tableau abstrait Évocation visuelle de la ville. Dès la première phrase, on est plongé dans l'atmosphère de la peinture. (ciels : fonds

insufflé vie et inspiration. Axe 3 : Coup de spleen : 1. Apparition temporaire, fugitive: Cette apparition n’est cependant que temporaire : “Un éclair... puis la nuit !” éclair=> illumination du poète / nuit => solitude et détresse du poète. Le rapprochement de ces 2 termes contraires vient montrer la soudaineté de la rencontre et le caractère brusque de la séparation. champs lexical du temps parcourt le poème : “fugitive”, “soudainement”, “trop tard”,”jamais”, “éternité”. Fugitif / éternité : antithèse

spectaculaire. action d'extrême droite. domination américaine. musculation= culture physique. Pour Mishima, la beauté est physique, plastique, ou elle n'est pas. « La beauté formelle de la réalité. » -> Le Soleil et l'Acier. Autobiographique. Soleil = peau et Acier = muscle. Déchirure vie de l'esprit et vie du corps. Contradiction. « La gloire fugitive de la chair. » La beauté serait exclusivement une affaire de surface. La surface. Exemple : une belle pomme rouge. Le client. Ce sens des

fastueuseSoulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue.Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beautéDont le regard m'a fait soudainement renaître,Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais 

verrai-je. Force du regard. ( éphémère.Une allégorie de l’inaccessible IdéalC- L’accès à l’idéal- oxymore « la douceur qui fascine et le plaisir qui tue » : ambivalence de la femme, porteur de douceur et de danger. ( femme à part.- fugitive beauté : enjambement, beauté à la rime.- Femme ne ranime qu’avec le regard « m’a fait soudainement renaître », le poète était en effet « crispé comme un extravagant ». Renaître à la rime.( mais Idéal inaccessible provoquant le spleen du poète.B - L’échec de l’accès

L'image d'un ballet de fleurs. Ces robes folles sont l'emblème De ton esprit bariolé; Folle dont je suis affolé, Je te hais autant que je t'aime! Eloge amoureux, éloge de la femme, de son corps, tradition du blason, hommage a la beauté féminine Conjuguées au présent de l’indicatif Portrait de haut en bas, finis pas l’esprit et commence par le visage. Du physique au moral Quelquefois dans un beau jardin Où je traînais mon atonie, J'ai senti, comme une ironie

inconnue qui possède pour le poète tous ses critères de beauté. Deux adjectifs laudatifs: ''Longue, mince'' il aime la silhouette fini et gracieuse. ''En grand deuil'', le noir, souligne la minceur et impose le respect: cela fait allusion à l'élégance et la tenue morale. Il y a une césure médiane en hémistiche après ''deuil'' de façon à mettre la deuxième hémistiche en relief. Le poète est un peu perdu car pour lui la beauté est une beauté mélancolique qui exprime une certaine douleur, réflexion

balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, à toi qui le savais