Félicité Héroïne

apporterait de la félicité. Elle croyait aussi avoir de l’amour pour son mari, pourtant comme elle nous le dit à la page 84 lignes 24 à 30, le bonheur qui devait résulter de son mariage n’est pas venu. C’est donc depuis ce moment-là, que Mme Bovary recherche ce que « les mots de félicité, de passion, et d’ivresse » signifient. Cette recherche du bonheur est aussi visible tout au long du roman, par son choix d’avoir des amants. Elle pense qu’en prendre un la fera ressembler à ses héroïnes de romans qui

parut »l.2 ; « eut »l.34 « maudit »l.33 ; « fut »l.40) et récit descriptif, révélé par la prédominance de l’ imparfait (l.1à15 chez Claudel et l.6-40 notamment chez Flaubert). Les paragraphes descriptifs chez Flaubert, dévoilent les regrets de son héroïne suite au resurgissent de ses souvenirs passées auprès de son soupirant, Léon. La focalisation zéro puis interne nous propulse au cœur des pensées d’Emma, la scène nous étant relatée à travers ses yeux. De plus, la fiction, créée par Claudel, est vécue

suit son histoire et celle de ses demi-frères et sœurs dans la conquête de Plassans . Il garde tout l’héritage d’Adélaïde en ayant marié Ursule à un chapelier : Mouret, et en ayant expulsé Antoine de chez lui. Il se marie à Félicité Puech avec qui il aura cinq enfants : Eugène, Pascal, Aristide, Sidonie et Marthe. Grâce à son fils, devient chevalier de la légion d’honneur. Quand Antoine se rend compte que Pierre ne lui donnera pas sa part de l’héritage, il devient un républicain

tragique d’une malheureuse héroïne victime de son imagination romanesque. Déconnectée de la réalité, Emma aspire vivre dans le monde de rêve dont parlent les romans qu’elle a lus dans sa jeunesse. À travers le personnage romantique d’Emma Bovary, nous montrerons comment Flaubert réagit sévèrement contre les excès et l’aveuglement du sentimentalisme romantique. Dans les lignes qui suivent, nous montrerons comment le personnage d’Emma Bovary incarne l’image d’une héroïne romantique. En premier

Pour Emma la lecture est plus qu’une occupation temporaire. Dans son mariage elle cherche l’amour comme il est décrit dans les romans romantiques. Plutôt que rester heureux et contente dans sa vie avec son mari, Emma cherche amour par des mots de félicité, passion et ivresse. Elle rêve d’un mari habille élégamment, comme les héros de ses romans. Ses idées romanesques l’amène plus loin de Charles. La lecture romanesque est souvent désignée comme étant la vraie raison de la mort d’Emma. Emma trouve

sur les sinuosités de la Toucques. Des boeufs, étendus au milieu du gazon, regardaient tranquillement ces quatre personnes passer. Dans la troisième pâture, quelques-uns se levèrent, puis se mirent en rond devant elles. - « Ne craignez rien ! » dit Félicité ; et, murmurant une sorte de complainte, elle flatta sur l'échine, celui qui se trouvait le plus près ; il fit volte-face, les autres l'imitèrent. Mais quand l'herbage suivant fut traversé, un beuglement formidable s'éleva. C'était un taureau que

dessus. À la fin du roman, il a atteint son but : il obtient le poste convoité et est même décoré de la Légion d’honneur. - Félicité Rougon Félicité est l’épouse de Pierre Rougon. Vive et déterminé, c’est réellement elle la tête pensante du couple. Avec son phisyque méditerranéen, elle ne se remarque pas et peut mener ses affaires en toute discrétion : « Félicité était une petite femme noire comme on en voit en Provence. (…) Il y avait une ruse de chatte au fond de ses yeux noirs (…). »

que ce Cœur simple, histoire d'une servante qui s'est, à dix-huit ans, mise au service d'une bourgeoise de Pont-l'Evêque et qui a vécu là une vie de cinquante années, s'incrustant dans la petite maison comme le mollusque au rocher ! Les heures pour Félicité, toujours semblables les unes aux autres, se passent dans les soins de la cuisine et du ménage. Si un instant elle est inoccupée, elle prendra son aiguille ou se mettra à son rouet. Tous les mois, elle coule la lessive, et chaque dimanche elle va

 «zozées» fait  probablement  référence à son propre nom : «Zazie». Les deux mots sonnent à peu près de la  même  façon,   en  laissant  penser  à  un  jeu  de  mots  de  la  part  de  l’auteur.  Ensuite,  quelques   lignes  plus  loin,  la  jeune  héroïne  tourne  encore  une  fois  les  actes  malsains  de  son  père  au  ridicule   en  décrivant  la  scène  comme  si  elle  y  assistait  sur  un  grand  écran  lorsqu’elle  dit  :  «tout  à  fait  comme  au cinéma,  c’était  du  tonnerre.».  L’auteur 

La religion de Félicité, une vision populaire et simple dans Un cœur simpleMAGNIN LauraMaster 1 Littérature française et comparée Gustave Flaubert est né à Rouen en 1821 d’un père chirurgien-chef à l’Hôtel-Dieu. Dès l’âge de l’adolescence il sera attiré par l’écriture. À vingt ans , il s’installe à Paris et commence, contre son gré, des études de Droit. C’est pendant son séjour à Paris qu’il rencontre de grandes personnalités de l’époque. En 1844, il quitte Paris pour aller vivre à Croisset