G Vedel

 11 Octobre 2013 G. GRUNBERG : Vers un espace politique Bipartisan ? L’auteur de ce texte, G. GRUNBERG, est directeur de recherche au CNRS et au Centre d'études européennes de Sciences Po. Spécialiste en sociologie politique et électorale, il se concentre ici sur le système des partis politiques en France. Publié en 2008 dans Le vote de rupture, l’auteur évoque le bipartisme. En traitant les aspects institutionnels, les aspects électoraux et la présidentialisation, il propose une

Gualino, 2002. ARDANT Ph., MATHIEU B., Institutions politiques et Droit constitutionnel, L.G.D.J., 2010. BARANGER D., Le droit constitutionnel, P.U.F., 2002. BORELLA F., Eléments de droit constitutionnel, Paris, Presses de Science Po, 2008. BURDEAU G., HAMON F., TROPER M., Droit constitutionnel et institutions politiques, LGDJ, 2009. CABANIS A., MARTIN M.-L., Histoire constitutionnelle de la France de la Révolution à nos jours, L.G.D.J., coll. Systèmes, 2000. CHAGNOLLAUD D., Droit constitutionnel

Institution politique de la Vème république Plan: I-DESCRIPTION II-CONSEQUENCES G. Vedel (1910-2002) fut un professeur de droit public. Dans son œuvre parut en 1961, il critique l’inexpérience constitutionnelle de la France en partie du à l’échec de la IIIème République et de la IV ème République. En effet, la IV ème République laisse le souvenir d’une période marquée par les divisions et une instabilité ministérielle chronique. Le général de Gaulle n'entend pas lui-même assumer l'héritage

Introduction : Le Conseil Constitutionnel est d'après G. Vedel l'incarnation du gouvernement de la Constitution, il fut instaurer en 1958, il est une création de la Vème république, avant sa mise en place il n'y avait pas de juridiction constitutionnelle, c'est la première fois qu'en France il y a un véritable contrôle de constitutionnalité des lois. Avant 1958, on pouvait parler d'une souveraineté absolue de législateur, la mise en place du Conseil Constitutionnel marque donc une rupture, on

devenir indépendantes de la volonté nationale, mais parce que les corps qui existent et agissent pour elles ne peuvent point y toucher. Dans chaque partie, la constitution n’est pas l’ouvrage du pouvoir constitué, mais du pouvoir constituant », cité in D.-G. LAVROFF, Le droit constitutionnel de la Vème République, 3ème édition, Dalloz, 1999, p. 107. 1 I – Des limites imposées au pouvoir de révision Il convient ici de réfléchir à « l’utilité » des limites sans laquelle il n’y pas d’intérêt ou d’enjeu

2002-2003 in http://doc-iep.univ lyon2.fr/Ressources/Documents/Enseignements/Cours/ComPolitique, consulté le 15 février 2012. 5. LARSONNEUR (R.), Communication et Politique, in www.jecommunique.com , 2009, consulté le 21 février 2012. 6. MPAGA (G.) (Ph), « La démocratie  gabonaise à l’épreuve : Elections, réformes démocratiques, rôle et implication de la société civile », in koaci.com, consulté le 15 juin 2012. 7. NICOLAS (F). Cours de communication politique Master 2 Sociologie politique

Institutions politiques et Droit constitutionnel. - P. Blacher, Droit constitutionnel. - P.-H. Chalvidan, Droit constitutionnel. - B. Chantebout, Droit constitutionnel. - V. Constantinesco et S. Pierré-Caps, Droit constitutionnel. - G. Burdeau, Traité de Science politique. - G. Burdeau, F. Hamon, M. Tropper, Droit constitutionnel et institutions politiques. - C. Cadoux, Droit constitutionnel et Institutions politiques. - D. Chagnollaud, Droit constitutionnel contemporain. - C. Debbasch, J.-M. Pontier

techniques constitutionnelles relèvent de ce que l’on appelle le parlementarisme rationalisé. Ainsi, à l’examen de la Constitution, mais encore du rapport (doc 1) de Coste Floret, on pourrait se dire que la IVème est un régime équilibré. G. Vedel dit d’ailleurs (doc 5) : « Finalement, la Constitution était, sous cet angle-là, assez cohérente : un régime parlementaire moderne reléguant au second plan la séparation des pouvoirs comme en Grande-Bretagne ; un régime reconnaissant la toute-puissance

Pour ou contre l’article 16 en avril 1961 ? Et dans l’absolu ? Introduction : L’article16 est, pour le Doyen Vedel, une prérogative « mystérieuse et redoutable » du chef de l’état. Largement inusité, il est l’objet de multiples fantasmes, ses détracteurs y voyant une incitation au « coup d’État légal », et ses plus fervents partisans l’ultime rempart de la république dans un monde sans cesse plus dangereux. S’il s’agit bien évidemment de relativiser ces positions extrêmes, de nombreuses questions

evolution droit ds soct J Carbonnier disait à ces etudiant « Ne tjs pas savoir ce qu’était le droit » « Dite vous déjà que le droit est un metier et que ce metier vous le definirez vous en le faisant, vous ferrez vivre le droit et votre metier. » Georges Vedel, prof de droit, devt un convoi de deporté «  je ne sais tjs pas ce qu’est le droit, mais je sais desormais ce qu’est un Etat ss droit » Gerard Cornu, droit de la famille + ; y met sa morale « Si tjs et en tt tt le monde était bon, le droit existerait