Gabelle du sel

percevoir ensuite et pour leur propre compte le montant des nombreux impôt royaux. Il peuvent faire des bénéfice et s’enrichisse parfois scandaleusement. D’autant que les impôts sont très nombreux, le plus important est la « gabelle » impôt forcé sur la consommation du sel. Il y a aussi des impôts sur la circulation des céréales et des autres marchandises entre les provinces se qui correspond à un système d’octroi et de douane. L’effet est d’autant plus désastreux que l’assiette de l’imp. Ne repose

démesurées aux Etats (sidérurgie) : les impôts vont augmenter et devenir la plaie des populations o Impôt direct : la taille o Impôts indirects : o Droits de passage de régions : traites o Taxes à la consommation de boissons : les aides o Taxes sur le sel : la gabelle Ces impôts pèsent essentiellement sur le monde rural, déjà le plus affecté par les conflits Pour se nourrir, les paysans se trouvent en grave difficultés o 17e siècle endettement paysan : désappropriement, expropritaion Met en péril l’agriculture

 :  usine  qui  a   pour  but  de  récolter   le  sel.  Le  sel  arrivait   par  des  canaux,  on   ébouillantait  le  sel   dans  l’eau  et  on   l’exportait  car  elle   était  très  important   pour  saler  la  viande   pour  la  conserver.  La   taxe  sur  le  sel   s’appelait  la  gabelle.     -­‐En  1771,  il  est   nommé  commisaire   des

en exerçant une pression sur les carotides), - une hypoglycémie (par injection d'insuline), des troubles digestifs par administration dissimulée de substances émétisantes, - une falsification des prélèvements sanguins et urinaires par adjonction de sel, de sucre, d’albumine ou de toxique divers, etc. 16 C - L’attitude des parents - Peu d'inquiétude chez le parent responsable, souvent la mère. - Celle-ci manifeste en même temps beaucoup de dévouement pour son enfant et même parfois pour les

coutent de l’argent, de plus la famine sévit dans une partie de la France et d’autre part, on assiste a une condition inégalitaire de traitement du peuple, certains paient beaucoup d’impôts (une partie seulement de la population,ex:la gabelle qui est une taxe sur le sel). Le clergé extrêmement riche(car possédant d’immenses terres)est dispensé de payer certains impôts. Une partie de la Noblesse est aussi exempte d’imposition. A cela s’ajoute les privilèges, toute une série d’avantage ou d’honneur

le philosophe Ibn Sabin à Frédéric II de Hohenstaufen ; Al-Idrisi nous a légué son "Livre de Roger ", ouvrage de géographie écrit pour Roger deuxième du nom et roi normand de Sicile (1105-1154). La littérature orientale donne de véritables "best-sellers" à l’Occident médiéval, comme le "Livre de l'Échelle de Mahomet ", ou l'avatar persan du roman d'Alexandre le Grand, l'Iskandarname. Mais c’est dans le domaine des sciences que l'apport arabo-musulman fut particulièrement flagrant, et d’abord en

plusieurs catégories de paysans, ils n’ont pas tous les mêmes conditions de vie : serfs, alleutiers, tenanciers… A cette époque aussi, les paysans paient des impôts comme le cens, le champart, la dîme ( versée à l’église ) ou encore la gabelle ( impôt sur le sel ). Les femmes travaillent autant que les hommes. Pour les enfants, la journée est longue. Ils se lèvent tôt pour aider leurs parents. Dès 7-8 ans, ils gardent les bêtes. L’école est inexistante. Les paysans profitent des fêtes religieuses

sortes de contributions : * La taille, perçu sur les personnes ou les biens, ce sont des impôts directs * L’aide, c’est un impôt indirect c’est à sire que ce sont des taxes * La gabelle, impôts sur le sel qui sert à conserver des aliments. Les pays producteurs de sel en général on ne paie pas la gabelle car ils produisent donc ils n’ont pas à payer. * Les corvées, comme le logement de l’armée C’est un système qui est très mal vécut, c'est-à-dire que les français au XVIIe et XVIIIe

La tendance actuelle alors veut que Corbilo eût été le nom donné à un ensemble de petits ports allant de l’embouchure de la vilaine jusqu’au fond de l’estuaire ligérien. Là, des bateaux pratiquant un cabotage atlantique seraient venus chercher le sel et les métaux. Mais ce schéma d’un port éclaté ne correspond guère à l’idée d’emporium que nous définissions comme étant un comptoir4. Cependant un autre géographe grec, ptolémée (mort en 168 de notre ère)5 émit l’idée de l’existence d’un certain port

d’origine Florentine, les Arighetti ayant francisé leur nom en Riquetti puis Riquet. Après des études classiques chez les Jésuites (bien que préférant les sciences et les mathématiques, et la langue d’Oc au français, il devient fermier de la gabelle (impôt sur le sel, et donc percepteur), puis fermier général du Languedoc et acquiert ainsi une fortune personnelle qui s’ajoute à celle héritée de son père et à la dot de son épouse, fortune qui sera engloutie dans le canal. (cf. Annexes) A une époque