Gammapathie monoclonale

Paraprotéinurie de surcharge[modifier | modifier le code] La paraprotéinurie de surcharge est due à la production d'une paraprotéine en excès. L'exemple typique est la protéinurie de Bence-Jones accompagnant les gammapathies monoclonales, où la protéine est la chaîne légère d'anticorps monoclonaux. Protéinurie orthostatique[modifier | modifier le code] Elle est présente surtout chez la personne jeune, la protéinurie ne survenant alors que lors d'une position debout prolongée. Le diagnostic est suspecté

Laboratoire de Biochimie-Immunologie Filière SVI Module de Biochimie – Immunologie (M22) Elément : Immunologie SEMESTRE 6 TD : TECHNIQUES IMMUNOLOGIQUES Pr : BELLAOUI Hicham Année universitaire : 2010-2011 I / TECHNIQUE DE PRODUCTION DES ANTICORPS MONOCLONAUX II/ IMMUNODOSAGE SANS MARQUEUR A. LA RÉACTION D’AGGLUTINATION B. LA RÉACTION DE NEUTRALISATION C. LA RÉACTION DE PRÉCIPITATION 1- EN MILIEU LIQUIDE : -IMMUNO NÉPHÉLÉMÉTRIE -IMMUNO TURBIDIMÉTRIE 2- EN MILIEU GÉLIFIÉ : - IMMUN DIFFUSION DOUBLE (OUCHTERLONY)

qlq dents mais n'a pas de prothèse dentaire. Elle communique facilement avec les soignants . corpus Elle présente comme antécédents un OAP avec un diurétique en traitement préventif,une ACFA traité par anticoagulant et digitaline une Gammapathie monoclonale de signification indéterminée (non traité)(survéillé) une hypercalcémie iatrogène(surveillance de la calcémie) arret du traitemnt ce jour car calcémie a 2,69mmol. Une ostéoporose fractuaire traité par suplémentation en calcium , une dénutrition

n a pas réellement d’autonomie physique pour touts les actes de la vie quotidienne. Elle n’a pas d’autonomie psychique sociale ou juridique. Antécédents médicaux Retard mental majeur Troubles obsessionnels compulsifs Epilepsie Gammapathie monoclonale (anomalie qualitative ou quantitatives des globulines : protéines sanguines qui joue un rôle dans le système immunitaire) Atrophie rénale droite (néphropatie rénale) Syndrome lombosciatique Antécédents chirurgicaux PTHG en 2011

diagnostic des maladies rhumatismales autoimmunes Nicole Fabien Service d’Immunologie UF Autoimmunité CHLS DIU Rhumatologie Pédiatrique 16/12/2010 Autoanticorps et Maladies autoimmunes Maladies Neurologiques Neuropathies sensitives Gammapathies monoclonales IgM Syndrômes paranéoplasiques Neuropathies motrices Encéphalomyélite Syndrome paranéoplasiques Troubles de la Jonction Neuromusculaire Myasthénie Maladie du Stiff-man Maladie Lambert-Eaton Anticorps Anti-myéline Anti-neurones Anti-gangliosides

des patients à fortement retenu mon attention. Monsieur JC arrivé dans le service depuis 1 an est un homme avec une démence type Alzheimer et des troubles cognitifs assez importants. Il souffre aussi de diabète insulinodépendant (DID) de Gammapathie monoclonale qui est une anomalie qualitative ou quantitative des globulines et dans les cas de ce patient des immunoglobulines G, de silicose, qui est une maladie pulmonaire provoquée par l’inhalation de poussière de silice dans les mines, et de problème

concencentration de l’albumine, donc du transporteur du calcium. Mais, il y a augmentation importante des globulines, donc la diminution de l’un est compensée par l’augmentation de l’autre. Il n’y a donc rien à recalculer dans ces cas là, gammapathie monoclonale myélomateuse ou grandes hypergammaglobulinémies des hépatites auto-immunes, infection au VIH, Kalaazar etc... • http://www.labocoach.ch/spip.php?article41

non permissives b. Aboutit à des modifications morphologiques, biochimiques et antigéniques de la cellule c. Sont capables de se diviser individuellement d. Elle peut être la conséquence de l’activation d’un oncogène cellulaire bcd 64 Gammapathie monoclonale dite bénigne a. Douleur osseuse b. VS peu augmenté c. Taux pondéral inférieur à 20 g/l s’il s’agit d’IgG d. Hyperlymphocytose au myélogramme e. Biopsie osseuse normale ce 65 Jouent un rôle dans la défense contre les bactéries intracellulaires

continuer à produire le même type d’anticorps. Il y a donc une surabondance d’anticorps dont l’organisme n’a pas besoin. Le myélome est donc caractérisé par la prolifération des plasmocytes dans la moelle et la sécrétion inappropriée d’une Ig monoclonale (paraprotéine) qui va déterminer les différents types de myélome. La structure particulière de chaque Ig est basée sur deux composantes principales :  2 chaînes lourdes : G, D, A, E, M  2 chaînes légères : kappa (k) et lambda () Chaque Ig

faible taux augmente les risques de développer des infections virales ou parasitaires ainsi que de l’anémie (Oxygem, 2013). Son taux de polynucléaires neutrophiles est également sous les normes. Cela peut créer des infections virales, des gammapathies monoclonales, des aplasies médullaires, des crises d’anémie et une hyperthyroïdie (Pelletier, 2012). Le taux de plaquette sanguine de notre patient n’est pas anormalement bas. Par contre, nous savons que les traitements de chimiothérapie peuvent diminuer