Gangrène

sont : - Louis XIV le Grand ou le Roi-Soleil : Devient roi de France et de Navarre à la mort de son père Louis XIII, le 14 mai 1643. Est sacré à Reims le 7 juin 1654 Ne commence à réellement gouverner qu'après la mort de Mazarin, en 1661. Meurt de la gangrène le 1er septembre 1715. - Louis XV le Bien-Aimé : Devient roi de France et de Navarre à la mort de son arrière-grand-père Louis XIV, le 1er septembre 1715. Est sacré à Reims le 25 octobre 1722. Meurt de septicémie le 10 mai 1774. - Louis XVI :

143 tableaux, 55 sont des autoportraits. Elle doit subir de nombreuses interventions chirurgicales qui l'obligent à rester couchée sur un lit d'hôpital. Une fin difficile En août 1953, on lui ampute la jambe droite jusqu’au genou à cause d'une gangrène. Cette opération apaise ses souffrances, mais la plonge dans une profonde dépression : « On m’a amputé la jambe il y a six mois qui me paraissent une torture séculaire et quelques fois, j’ai presque perdu la tête. J’ai toujours envie de me suicider

s'enfuir des plantations. Le code noir promulgué en 1685 par Louis XIV prévoit ce type de sanction. « Quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe » → Lorsqu'un esclave avait un accident au travail on l'amputait pour éviter tout risque de gangrène et d'infection. - Autre allusion au code noir : Obligation de fournir un habit de toile deux fois par an. * La dégradation sur le plan social : Privation d'identité, de statut social, pas de nom → Nommé « le nègre ». * La dégradation sur le plan

Louis de France. En 1663, le Roi épouse secrètement Madame de Maintenon qui succède à ses premières favorites, Mademoiselle de La Vallière et Madame de Montespan, avec qui il eut plusieurs descendants légitimé. En août 1715 Louis XIV agonise d'une gangrène à la jambe et meurt. Son arrière petit fils lui succède. C’est la fin du règne de Louis XIV et le début du règne de Louis XV. Portrait dur Roi Louis XIV dit «le Roi soleil » : c) Louis XIV demande la construction du château de Versailles

vert paradis des amours enfantines3 ». Giono nous y révèle sa nostalgie de l’enfance. Mais alors que la sienne fut pauvre, il la poétise en un âge d’or prodigue. Dans Un Roi sans divertissement, le monde des adultes est froid, triste, désespérant, gangrené par le Mal. Giono, pour achever son récit, vient se ressourcer au trésor de son enfance, période bénie de joie et d’innocence, en quelque sorte, un paradis perdu.

Marescot (…) toujours le mot d’expulsion à la bouche », ces éléments amènent le lecteur à avoir de la pitié pour les Coupeau sur lesquels le sort semble s’acharner. Le tableau pathétique ne s’applique pas seulement à ces derniers, tout l’immeuble est gangréné par la misère « On pleurait à tous les étages » montre la peur sans doute de ne pas pouvoir payer le terme et de se faire expulser, la phrase « une musique de malheur ronflant le long de l’escalier et des corridors » comme si le malheur les guettait

et dégager les enjeux mémoriels qui accompagnement ces œuvres  Un support qui favorise la libération de la parole et le questionnement pour dépasser les difficultés que rencontrent les historiens Bibliographie recommandée • Stora Benjamin, La gangrène et l’oubli, La Découverte poche, 2005 • Harbi Mohammed , Stora Benjamin , La guerre d'Algérie, 1954-2004 La fin de l'amnésie, Robert Laffont, 2004 • Hureau Joëlle, La mémoire des Pieds-Noirs, Coll. Tempus, PERRIN, 2010. • Pervillé Guy, Pour une histoire

férocité qu’ils devaient subir, les détenus n’avaient ni droit à un lit correct, ni à du chauffage, ni aux douches (ou très rarement) et encore moins à une brosse à dent. Ce développait donc différentes infections et maladies comme les caries, les gangrènes, la tuberculose, le choléra… que les poux véhiculaient. L’hiver et la faim étaient les pires ennemis des détenus. « L’hiver se déroula, aussi atroce que les précédents. C’était le besoin fréquent d’uriner, surtout la nuit, dans des conditions que

 contre  le   chômage,  c’est   de  travailler   »  Raymond  Barre.   Le   travail   est   effec@vement   la   meilleure   solu@on   pour   lu0er   contre  le   chômage   qui  gangrène   les   sociétés  modernes.  Seulement,  la  réalité  est   différente.  A  défaut  de  pouvoir  proposer  un  travail  à   chaque  citoyen,  la  protec@on  contre  le  chômage

sont ambigus. D'une part, il s'agit de menacer/de faire peur afin d'empêcher l'esclave de s'enfuir. D'autre part il faut préserver à tout prix l'outil de travail : voilà pourquoi on préfère couper la main de l'esclave plutôt que le voir mourir de gangrène ou être déchiqueté par la machine. Ce n'est jamais l'intérêt de l'esclave qui est pris en compte, mais celui du maître. Dans quel état d'esprit se trouve l'esclave ? Le nègre semble résigné puisque les mutilations qu'il subit ne le choquent pas