Gant médical

couler de l’eau au robinet, j’ai fait vérifier la température par la résidente, enfilé les gants à usage unique, un gant de toilette et l’ai passé sous l’eau avant de le savonner pendant que Madame V retirait sa chemise de nuit. J’ai commencé par son dos, couvert son torse avec la chemise détachée, et lavé en prenant soin de ne pas oublier les flancs et la nuque, et rincé mon gant pour repasser une nouvelle fois sur la peau savonneuse. La première serviette servait à ne pas tremper la chaise, tandis

l’aide. Lorsqu’elle a fini, je la guide vers le lavabo, tout en le lui disant (en effet je lui décris chacun de mes gestes). Et là, je commence la toilette : tout d’abord je lui demande de laver le visage seule, elle accepte, je lui mets donc le gant dans la main et elle le fait. Pendant ce temps, je commence à laver le dos, les bras et le buste, je rince, et je la sèche avec une serviette. J’essaye de discuter avec elle en lui demandant si elle a bien dormi, elle me répond aisément. Elle est souriante

Jack. C’est vrai si on y réfléchit bien le cinéma n’est pas très loin du musée. De plus l’homme qui m’a percuté était vêtu de noir comme le cambrioleur sur la vidéo-surveillance du musée, il filait à toute vitesse une main sur le visage et quand son gant est tombé, j’ai très bien vu son tatouage. - Tu es focaliser contre l’homme qui t’a bousculé, et moi, je pense que ton jugement se fait trop vite, et je te rappel qu’il faisait noir je ne crois pas que tu aies bien vu le tatouage. Tu serais prêt à

[pic] |Sandra effectue sa PFE dans un centre de réadaptation fonctionnelle. Les résidents sont des personnes de tout âge qui souffrent d'un handicap moteur, acquis à la suite d'une maladie ou le plus souvent d'un accident. Sandra doit, dans ses tâches professionnelles et par son savoir-être, veiller au bien-être, au confort et à la sécurité des résidents qui sont fragilisés et le plus souvent en fauteuil roulant. Ce matin, sa tutrice lui demande de prendre connaissance du protocole

un peigne, lotion après rasage, eau de toilette, bain de bouche, deux serviettes et deux gants pour le haut et le bas du corps). Pour moi, je prends sur mon chariot le matériel que j’ai pris soin de préparer au préalable (une blouse, une paire de gant et essuie mains à usage unique, savon liquide, une bassine pour le linge sale, un sac poubelle pour jeter mes gants et autres déchets souillés.) Je commence par me laver les mains en respectant le protocole puis je fais couler de l’eau chaude dans

et le cou du patient, sans savon comme il me l’avait demandé. J’ai ensuite, en changeant de gant, commencé par laver les bras, les aisselles puis le torse sans me soucier du côté par lequel je commençais. L’aide soignante m’a repris à ce niveau là en m’expliquant que je devais d’abord commencer par le côté le plus éloigné. J’ai ensuite séché le patient. Je me suis ensuite occupée, après avoir changé de gant, des jambes du patient, en oubliant de couvrir la partie supérieure du corps, l’aide soignante

pompe hydro-alcoolique qui se trouvait sur mon chariot. J’ai effectué le lavage de mes mains en respectant les différentes étapes et le temps de friction. Cependant, j’ai remarqué qu’il restait sur mains des résidus de talc déposés lors du port de gant de la première toilette. Ne pouvant aller jusqu’à l’office, je me suis lavée les mains dans la chambre du patient avant de commencer la toilette. On constate un écart entre le référentiel et la pratique observée qui se traduit par le respect de

les mains, puis je prépare la bassine d’eau avec le gant et la serviette du haut, le savon, une protection, un sac poubelle, des gants en vinyle et du linge propre. Je monte le lit médicalisé et je commence par lui laver le visage. Avant de terminer, la patiente repousse mon gant avec ses mains et me dit « assez, assez ! » Je n’insiste donc pas. Je passe ensuite à la toilette du bas, pour cela je préviens Mme V que je vais changer l’eau, le gant et la serviette. Je lui remets les barrières du lit

la regardait lorsque, passant devant un réverbère, une courte lueur courait puis s'éteignait sur sa voilette2. Elle lui semblait agitée et nerveuse sous des dehors muets. Il lui prit la main qu'elle ne retira pas, mais il la sentait glacée sous son gant et ses cheveux blonds lui parurent, ce soir-là, en révolte et moins fins que d'habitude et secs. Nous approchons, ma chère amie ? — Mais, d'une voix angoissée et basse, elle lui dit : — Non, ne parlez pas. — Et, très ennuyé de ce tête-à-tête taciturne3

Dérouler les manches et bas de pantalons - Vérifier les étiquettes d’identification du linge - Vérifier l’hygiène du local ou le linge est stocké (propreté,aération…) - Pas de contact linge sale / tenue professionnelle - Pas de linge au sol - Port de gant si linge souillé - Pré-tri dans le couloir à l’aide d’un chariot collecteur qui n’entre pas dans la chambre. - Sac rempli au 2/3 et fermés hermétiquement. Le but est de limité le tri en blanchisserie et d’assurer la sécurité du personnel. Le linge