Gary Sinise

rejoindre Lennie au point de rendez-vous. Les deux amis discutent mais pendant que Lennie parle avec enthousiasme... George le tue d'un coup de revolver dans la nuque. Pour visionner la bande annonce du film tourné en 1992, réalisé et produit par Gary Sinise (les experts Manhattan), avec lui, John Malkovich, Sherilyn Fenn... : http://www.cinemovies.fr/bande-annonce-5391-32455.html

cet univers lointain, d'une autre époque. Un texte vif, court et bouleversant, séduisant du début à la fin, qui se lit d'une traite. A noter que plusieurs adaptations pour le cinéma ont été réalisées en 1939, 1971 et la dernière en 1992 par Gary Sinise.

de Lennie, ce grand balourd simplet que l'on aurait envie de défendre. Dès sa publication en 1937, ce roman a connu un vif succès. Il a été adapté au théâtre la même année, puis au cinéma en 1939 par Lewis Milestone et plus récemment en 2003 par Gary Sinise avec John Malkovich dans le rôle de Lennie.

Intérêt du texte On rapprochera Zazie de La vie devant soi, de Romain Gary, avec lequel l’œuvre de Queneau partage une image non-conventionnelle de l’enfance, une vision du Paris interlope, et l’évocation d’une insolite parentalité déléguée. La relation de la filiation de Zazie sera pour nous éducateurs le prétexte d’un dossier pédagogique mêlant les joyeusetés hellènes (petits meurtres familiaux, inceste et tutti quanti) et les coupures de presse scabreuses sur l’affaire d’Outreau. Pour l’analyse

puisque Romain Gary l'avait déjà reçu auparavant en 1956 pour Les Racines du ciel et que le prix ne peut être décerné deux fois au même auteur. Cependant, ce roman fut publié par Gary sous un nom d'emprunt, Émile Ajar, et avec une personne complice jouant le rôle de l'auteur pour les médias, Paul Pavlovitch, un parent de Gary. L'affaire fut révélée seulement à la mort de Romain Gary en 1980, bien que des doutes sur l'identité réelle de l'auteur aient été émis précédemment. Romain Gary a pris ce pseudonyme

tiré de La Vie devant soi de Romain Gary (pages 76| |à 80). | Sujet 2 |Tout est triste dans l’amour; mais triste et tout ce que vous voudrez, c’est la meilleure chose qui puisse exister. Illustrez cette | |affirmation, dans un texte de 800 mots, à l’aide de l’épisode de l’ambulance, tiré de La Vie devant soi de Romain Gary (pages 224 à 229). | Sujet 3

avoir divorcé en 1926, elle vit quelque temps chez ses parents à Święciany (Švenčionys), puis s'installe avec son fils dans sa famille à Varsovie, qu'ils quittent en 1928 pour la France. Romain Kacew (plutôt Roman à cette époque, mais pas encore Gary) arrive avec sa mère à Nice, à l'âge de 14 ans, dans un climat d'antisémitisme et de xénophobie croissant dans la France des années 1930[2]. Sa mère finit par prendre la direction d'un hôtel respectable, la pension Mermonts. Romain fait des études

- Exhibition, de Michka ASSAYAS - Germinie Lacerteux, de Jules et Edmond de GONCOURT - L'Africain, de Jean-Marie Gustave Le Clézio - La condition humaine, d'André MALRAUX - La femme qui attendait, d'Andreï MAKINE - La vie devant soi, de Romain GARY (Emile AJAR) - Le Grand Théâtre du monde, de Pedro CALDERON DE LA BARCA - Les Alexandrins, de François SUREAU - Les Aventures de Loufock Holmès, de CAMI - Les Fleurs du Mal, de Charles Baudelaire - Les Oeufs, de Charles GANCEL - Les rois maudits

Le Roman, quelle vision de l’Homme et du monde ? Texte n°4 : Le retour d’Ambroise, p°367-368 Les cerfs-volants, Romain Gary Introduction : Romain Gary était un auteur et diplomate français de la seconde moitié du 20° siècle qui participa à la 2GM en tant que pilote dans l’aviation anglaise. Il était pour le moins original. Menteur invétéré, il reçut deux fois le prix Goncourt dont une fois sous le pseudonyme d’Emile Ajar. Il accordait une importance primordiale à l’art romanesque et

d’identité, l’espace d’un livre. » Romain Gary « L’oeuvre ajarienne, par sa dimension énigmatique, a depuis toujours suscité la curiosité du monde littéraire, subjugué un large public. Elle présente donc un intérêt particulier, voire même exceptionnel, pour qui voudrait étudier le phénomène du dédoublement auctorial. » Guérin, Raymonde, Le Mythe de Protée dans l’oeuvre d’Émile Ajar, 1994 La vie devant soi est donc un roman d’Émile Ajar (Romain Gary) publié le 14 septembre 1975 au Mercure de