Gautier Baudelaire Apollinaire

d’État de Napoléon III, Second Empire (jusqu’en 1870). Lautréamont Villiers de l’Isle-Adam Huysmans Le Parnasse, « l’art pour l’art » Théophile Gautier Théodore Banville de Leconte Lisle de 1870 : Guerre francoprussienne, Le symbolisme chute du Second Empire, IIIe République. Charles Baudelaire 1871 : Défaite contre l’Empire allemand. La Paul Verlaine Commune. Arthur 1886-1889 : Le « boulangisme » Rimbaud menace République.

jetant en pluie aux eaux de la fontaine,  De débris embaumés couvrent leur souveraine,  Qui, de ses doigts distraits touchant la lyre d'or,  Pense au jeune Consul, et, rêveuse, s'endort. A deux beaux yeux (GAUTIER) Vous avez un regard singulier et charmant ; Comme la lune au fond du lac qui la reflète, Votre prunelle, où brille une humide paillette, Au coin de vos doux yeux roule languissamment ; Ils semblent avoir pris ses feux au diamant ; Ils sont

simplement à la beauté harmonieuse associée à une certaine sentimentalité. L’expression poétique offre cependant au cours de l’Histoire des orientations variées selon la dominante retenue par le poète. [modifier] Le vers Calligramme ; Guillaume Apollinaire La mise en page du texte poétique est traditionnellement fondée sur le principe du retour et de la progression dans la reprise que figure l’utilisation du vers (régulier ou non), même s’il existe des formes métissées comme le poème en prose ou

ravages du temps, celui très connu de Baudelaire, l’auteur des Fleurs du mal, publié à l’orée du symbolisme ; enfin le poème de Raymond Queneau, illustre représentant de l’OULIPO, est une ironique variation en prose, sur le thème du vieillissement de la muse jadis inspiratrice toute puissante. Malgré la forme lyrique et traditionnelle qui domine (le sonnet pour trois poèmes sur quatre), ces quatre poèmes n’ont pas tous la même vocation ; le sonnet de Baudelaire vise, paradoxalement, malgré son champ

1832. 2/ A une passante, Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Tableaux parisiens, XCII, 1857. 3/ Mon rêve familier, Verlaine, Poèmes saturniens, 1866. 4/ La Loreley, Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 5/ « La courbe de tes yeux… », Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926 6/ Femme noire, Léopold Sédar Senghor, Chants d’ombre, 1945. Textes complémentaires : Fantaisie, Gérard de Nerval, Odelettes, 1832 (Bordas, Textes et perspectives, p.127) Carmen, Théophile Gautier, Emaux et camées, 1852 (Bordas

Quelques films de Prévert : Le crime de Monsieur Lange (1935 ), Quai des brumes (1935), Drôle de drame (1937), Le jour se lève (1939), Les visiteurs du soir (1941), Les enfants du paradis (1944), Les portes de la nuit (1946). Guillaume APOLLINAIRE Guillaume Apollinaire , de son vrai nom Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Wąż-Kostrowicki, est un écrivain, né polonais, le 26 août 1880 à Rome et meurt le 9 novembre 1918 à Paris. Il est naturalisé français en décembre 1914, lorsqu’il veut s’engager

Vigny évoque le conflit entre créateur incompris et société matérialiste. On pense aussi à l’autodérision des poètes qui souvent se présentent comme des “arrangeurs de syllabes” (Racan), comme des saltimbanques, des pitres, des amuseurs (Mallarmé, Baudelaire, Verlaine) (cf. Portrait d’artiste en saltimbanque de Starobinski). Voltaire, représentant de tout l’âge classique, en fait “l’ornement de la raison”, ou encore une “éloquence harmonieuse“. La poésie est alors une simple rhétorique, une versification

l’association de mots heureusement choisis on parvient à provoquer un effet presque magique, incantatoire, sur la sensibilité humaine : cet effet n’est ni rationnel, ni sentimental, il est spécifique, propre au vers. Dans cette lignée nous pouvons convoquer Baudelaire, Mallarmé, Valéry, ... - ensuite à la conception de ceux pour qui le poète est le prêtre d’un art quasi divin, chargé de révéler aux hommes des vérités essentielles sur le monde et sur eux-mêmes : les romantiques tels Hugo, Vigny, certains

d'un poète), se concentrant sur un lieu en particulier dans lequel les hommes vivraient en harmonie entre eux (San Francisco, Imagine) ou simplement sur un lieu où ils se sentent en accord avec eux même (Au cabaret vert). (Partie III) Partie I BAUDELAIRE, L'idéal Ce ne seront jamais ces beautés de vignettes, Produits avariés, nés d'un siècle vaurien, Ces pieds à brodequins, ces doigts à castagnettes, Qui sauront satisfaire un coeur comme le mien. Je laisse à Gavarni, poète des chloroses, Son troupeau

qu'il est intéressant de voir à travers les œuvres de plusieurs auteurs la perception commune d'une même société. (Horace (-65 à -8), Odes ; Lamartine, Les Méditations poétiques ; Victor Hugo, Les Contemplations ; Alfred de Musset, Les Nuits ; Apollinaire, Alcools ;…) La poésie engagée à elle aussi de tous temps exister mais elle s'est plus concrètement manifester lors de l'apparition de guerres civile, militaires, philosophique et surtout politique dans la fin des années 1800, le but de cette dernière