Gavroche

Ritz Carlton qui conduit à une telle fidélisation des employés ? Grâce à l’étude de Raub, Alvarez et Khanna(2006), de l’interview de Dave Kieffer paru dans le BusinessWeek en décembre 2002, ainsi qu’à travers une comparaison avec le restaurant « Le Gavroche » nous allons répondre à cette question en identifiant et analysant les points forts et points faibles de la gestion des ressources humaines de la chaine hôtelière Ritz-Carlton. Nous finirons enfin par des propositions d’amélioration de la GRH.

« tintamarre » (l.36) ; « sonnaient » (l.37). Toute cette animation semble justifiée par cette phrase exclamative au discours indirect libre : « Puisqu’on étaient victorieux, ne fallait-il pas s’amuser ! » (l.29). On peut également désigner la description de Gavroche dans le texte A de péjorative du fait de son agitation qui agace signalée dans la phrase  « piquait un étudiant, mordait un ouvrier » (l.8-9) et la gradation « murmurait, bourdonnait, et harcelait » (l.10). Une intertextualité avec la fable « Le

femme devient une allégorie (un symbole) de la liberté. A droite figure un jeune garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice, prêt à se sacrifier pour la liberté. Il cri (le seul), on peut mettre ce jeune personnage en relation avec le gavroche des Misérables de V.Hugo*. A gauche de la femme qui symbolise la liberté se tient un homme coiffé d’un chapeau haut de forme sans doute « un bourgeois éclairé ». A l’extrême gauche du tableau un homme porte la cocarde blanche des monarchistes. C’est

Hugo, en développant les axes de lecture suivants : • le jeu • le suspense et le drame • Gavroche, un personnage surhumain Texte : Gavroche, le fils des Thénardier, a rejoint les insurgés de la barricade de la rue de la Chanvrerie: il récupère les cartouches sur les corps des soldats tombés sous les balles. Il est visé par les gardes nationaux. Le spectacle était épouvantable et charmant. Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade. Il avait l'air de s'amuser beaucoup. C'était le moineau becquetant

donnait une piche­nette [3]. Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l’enfant feu follet [4]. On vit Gavroche chanceler, puis il s’affaissa. Toute la barricade poussa un cri ; mais il y avait de l’Antée [5] dans ce pygmée ; pour le gamin toucher le pavé, c’est comme pour le géant toucher la terre ; Gavroche n’était tombé que pour se redresser ; il resta assis sur son séant, un long filet de sang rayait son visage, il éleva ses deux bras en l’air, regarda

Victor Hugo son personnage de Gavroche: on remarquera que le garçon porte en bandoulière une sacoche de munitions ou de grenades, très certainement volée à un soldat : tout comme dans le chapitre Des Misérables où il vole les cartouches pour les "résistants" de la barricade avant de se faire tuer...Dans Les Misérables qui a été écrit trente ans plus tard, le personnage au chapeau y est également représenté comme un fils d'aristocrate, révolutionnaire et ami de Gavroche et de Jean Valjean. C'est l'un

reflet d’une époque ? Objectifs : Percevoir les évolutions de la notion de héros Comprendre comment s'articulent personnage et héros (deux notions qui ne coïncident pas toujours) Lectures analytiques Texte 5 : V. Hugo, Les Misérables, 1862, la mort de Gavroche. Texte 6 : L-F. CELINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, la guerre. Textes et documents complémentaires -FLAUBERT, Madame Bovary, 1857, mort d’Emma -ZOLA, arbre généalogique des Rougon-Macquart Synthèses -Notions de narration : -les caractéristiques

sur le sort des enfants en organisant des bals pour récolter des fonds pour les pauvres et lors de la publication de son œuvre Les Misérables. Il a su faire ressortir les différents aspects que pouvait avoir l’enfance au XIXème siècle, à travers Gavroche, Eponine, Azelma et surtout Cosette. Son influence fut grande. LES ENFANTS EN GÉNÉRAL: CEUX DE RICHES ET CEUX DE PAUVRES Dans ce siècle, on investit de plus en plus dans les enfants. Peu à peu, à l’époque des Misérables, avec le contrôle progressif

ainsi le grand désespoir de ce dernier, qui veut mourir, et quand elle l’envoie sur la barricade. Éponine martyr de l’amour quand elle intercepte la balle qui allait tuer Marius et meurt dans ses bras en lui donnant la lettre qu’elle avait caché. Gavroche, garçon des rues, aimé de tous et fils des Thénardier uniquement par le sang, meurt tué par les soldats pendant que, en chantant, il ramassait les cartouches des morts. Marius est blessé quand Jean Valjean l’emmène après avoir libéré Javert fait

râler autour d'elle. Par moments s'élevaient des larmes de femmes, des plaintes de mioches affamés. (Emile Zola) …………………………………………………………………………………. 4) Gavroche rampait à plat ventre, prenait son panier aux dents, glissait d'un mort à l'autre et vidait la cartouchière. Cela continua ainsi quelque temps. Une balle finit par atteindre l'enfant. On vit Gavroche chanceler, puis il s'affaissa. Un long filet de sang rayait son visage. Il éleva ses deux bras en l'air. Une seconde balle l'arrêta court. Il s'abattit