Gaz toxique

pouvoir retrouver sa jeune princesse ,celui - ci envoya une lettre piégée au dragon . Le dragon reçu cette lettre ,à vrai dire ça ne ressemblait pas trop à une lettre mais plutôt à un clown sauteur dans une boîte, sauf que cet objet rejeta un gaz toxique qui fit exploser le dragon !! La princesse était aux anges quand elle vit son sauveur elle tomba sous son charme l’épousa , et ils eurent beaucoup d’enfants et une belle réduction SNCF pour partir en voyage de noce . FIN

Au front, les combats sont violents, meurtriers et difficiles dans les tranchées ou lors des grandes offensives. La première guerre mondiale est aussi une occasion pour moderniser les armes, les moyens de transport… C’est à cette époque que les gaz toxiques sont apparus, ainsi que de nouvelles armes encore plus meurtrières, les premiers avions sont destinés à repérer les tranchées ennemis… Les conditions de combats, et de survie des soldats sont très difficiles : boue, rats, froid, manque de nourriture

mitraillettes dans un univers gris et macabre où les cadavres s’enlisent un peu plus à chaque obus qui s'écrase. Au printemps 1915, une nouvelle arme est utilisée pour la première fois par les Allemands, en Belgique, à Ypres : le gaz. L’obus, en touchant le sol, libère un gaz toxique qui provoque la mort dans les vingt secondes pour celui qui l’inhale (voir image ci-joint). L’année suivante, l’apparition des lance-flammes permet d’atteindre un plus haut degré dans l’horreur. L’aviation, limitée à un simple

réplique des alliés eut lieu le 25 septembre 1915 près de Loos . L’intérêt des armes chimiques fut plus psychologique que proprement militaire car aucune offensive ne triompha par ce moyen. Les deux camps mirent au point des armes de plus en plus toxiques et des mécanismes de dispersion de plus en plus efficaces. Pendant la bataille de Verdun, les obus chimiques ne dépassent pas 1 % du total ; dans les derniers mois de la guerre, ils atteignent 25%. L’année 1917 voit l’apparition d’un nouveau genre

dihydrogène : gaz explosif - ammoniac : gaz toxique et explosif - oxydes d'azote : gaz toxiques - nitrate d'ammonium : solide comburant Ce tableau montre les étapes de fabrication du nitrate d'ammonium ainsi que leurs danger, la substance qui a explosé dans le hangar 221 Un cas particulier : l’explosion de l’usine AZF Commentaire : (Présentation du document : source, auteur, nature du document)………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… (

chimiques du monde. Elle produit principalement des produits chimiques et polymères qui subissent une ou plusieurs conversions. Ses produits répondent à la demande de plusieurs marchés tels que les produits pharmaceutiques, les emballages, l’automobile, le gaz, le pétrole et l’agriculture. Avant la catastrophe de 1984 la compagnie a eu une opportunité de marché en Inde. Sa présence est du au fait que cette population visait une révolution verte donc atteindre l’autosuffisance alimentaire par l’agriculture

que ceux-ci consomme beaucoup moins d’énergie et cela réduira en même temps l’émission de gaz comme le méthane et le dioxyde de carbone. La limite de la science est principalement le financement des recherches c’est le principale problème pour les nouvelles technologies sur l’exploitation des sables bitumineux. Or, les avantages scientifiques jusqu’à présent ont réussi à réduire l’émission des gaz toxiques, à trouver de nouveaux moyens plus efficace pour reconstruire les écosystèmes détruits par

soldat monte au front (on remarquera d’ailleurs la technique a tempera utilisée pour la brume). -Après, sur le panneau central, on peut constater le champ de bataille dévasté, véritable charnier, on distingue également un survivant avec un masque à gaz. On peut donc penser que les soldats montés au front se sont faits massacrés. -Ensuite, sur le volet de droite, on peut voir l’autoportrait d’Otto Dix en train de sauver les blessés en les ramenant du front. -Pour finir, la prédelle représente les

- Une guerre de position 1915-1917. Il a fallut s'adapter pour la plupart aux nouvelles conditions de guerre. Les hommes s'enterrent dans les tranchées, le matériel évoluent, les chars font leur apparition mais également l'emplois de gaz toxiques ( gaz moutarde ). Ce maintien des positions s'accompagnent de façon ponctuelle d'offensives dont la portée est limitée. Les offensives françaises en 1915 coûtent la vie à 350000 soldats. La bataille de Verdun menée par les allemands fait 300000

plus à chaque obus qui s'écrase. La mortalité effrayante sera aggravée par l’utilisation d’arme nouvelle. Au printemps 1915, une nouvelle arme est utilisée pour la première fois par les Allemands, en Belgique, à Ypres : le gaz. L’obus, en touchant le sol, libère un gaz toxique qui provoque la mort dans les vingt secondes pour celui qui l’inhale. L’année suivante, l’apparition des lance-flammes permet d’atteindre un plus haut degré dans l’horreur. L’aviation, limitée à un simple rôle d’observation