Gdańsk

14 13/09/2012 ERASMUS Pour les étudiants UCBN, accords d’échange suivants : ERASMUS : Allemagne (Halle Wittenberg), Espagne (Grenade, Rioja Logroño, Valence), Finlande (Joensuu), Grèce (Thessalonique), Italie (Bologne, Milan), Malte, Pologne (Gdansk), Roumanie (Arad, Bucarest), RoyaumeUni (Birmingham). Echange avec des Universités hors Europe : Canada : Sherbrooke, UQAM Montréal. Pour l’UFR de Psychologie : 2007/2008 : 22 étudiants partis, 6 étudiants entrants accueillis 2008/2009 : 12 étudiants

germano-soviétiques (août) et germano-polonais (décembre), symboles de l'Ostpolitik de Willy Brandt qui s'agenouille à Varsovie devant le monument à la mémoire de l'insurrection du ghetto juif.- décembre : suite à une annonce de hausse des prix, des ouvriers de Gdansk en Pologne se mettent en grève. Gomulka utilise la force contre eux.1971- février : traité sur la dénucléarisation des fonds marins.- octobre : la Chine populaire admise à l'ONU1972- février : visite de Nixon en Chine- mai : accord SALT I, limitation

des Jeux olympiques d'été de 1980 à Moscou — Une cinquantaine de nations (dont les États-Unis) refusent d'envoyer des athlètes suite à l'invasion de l'Afghanistan par l'Union soviétique. 31 août : Accord de Gdańsk en Pologne — À l'issue de 14 jours de grève au chantier naval Lénine de Gdansk, le vice-Premier ministre Mieczyslaw Jagielski cosigne avec Lech Wałęsa un accord qui ouvre la voie à la constitution des syndicats indépendants. Ronald Reagan1981[modifier | modifier le wikicode]20 janvier

Vienne, Odessa; 3) Lyon, Milan, Trieste, Belgrade, Bucarest. A partir de quelques villes, se dessinent dans l'autre sens les directions complémentaires: 1) Madrid, Bordeaux, Paris, Hambourg, Copenhague Stockholm; 2) Barcelone, Lyon, Stuggart, Berlin, Gdansk; 3) Trieste, Vienne, Varsovie. * Les portes de l'Europe, essentielles dans les échanges mondiaux étaient traditionnellement les ports et surtout les ports méditerranéens. Aujourd'hui ce sont de plus en plus les aéroports internationaux .                                       

pouvoir de Solidarnosc, pour la défense des droits civiques, des droits sociaux et revendication de souveraineté nationale. Le gouvernement commence à reculer sur des points importants et le syndicat commence à se faire connaître (1980). Accords de Gdansk : reconnaissance de la liberté syndicale, droit de grève et liberté d’opinion. Jawzelsky en 1981 déclenche l’Etat d’urgence, un couvre feu et le contrôle des communications. Il faut reprendre le pouvoir en main mais pas d’intervention de l’armée rouge

Syndicat polonais indépendant et auto-géré qui refuse le contrôle de l’Etat. Mouvement qui va prendre un essor considérable : 10 millions de salariés vont y adhérer. Mouvement fondé en 1980 sur un mouvement de grève dans les chantiers navals de Gdansk. Essor à partir de 1975 (accords d’helsinki), contexte éco et social de faible croissance et de pénurie sociale Objectifs : améliorer la condition de vie des ouvriers, démocratisation : être respecté politiquement, libéralisation politique Révolte

de Gdansk (anciennement Dantzig) Un syndicat prend le nom de Solidarité et celui qui va l’incarner est Lech Walesa. Il propose un cahier de 21 revendications. Grands thèmes : reconnaissance des syndicats libres, respect du droit de grève, liberté d’expression, responsables des entreprises soient nommées en fonction de leur compétence, le marché intérieur soit approvisionné (fin pénuries). Aucune revendication directe contre PC et sa structure. 31 août 1980 : signature des accords de Gdansk. Le

Brejnev envoie 5000 chars + 200 000 hommes pour reprendre Tchécoslovaquie. Résistance passive. • Le cas de la Pologne : 1970 : « émeutes de la faim » en Pologne. Se traduisent par révoltes ouvrières dans chantiers navals de Gdansk. Vivement réprimées par autorités. • Les protestations d’intellectuels : Tchécoslovaquie Charte 77 : pétition des dissidents intellectuels. 1957 : publication en Italie « Le docteur Jivago » par russe Boris Pasternak 1969 :

nationalistes slovaques de Mgr Tiso, qui créent un état slovaque indépendant, de la Hongrie et de la Pologne qui récupèrent chacun des territoires. Hitler s’empare également de Memel en Lituanie. Cependant, le corridor de Dantzig (aujourd’hui Gdańsk), ancienne ville prussienne détachée de l’Allemagne après 1918, constitue un élément important d’instabilité. En effet, Berlin revendique ce corridor qui sépare la Prusse orientale du reste de l’Allemagne. Quant à la Pologne, elle rejette les revendications

à l’URSS, la Pologne reçoit : la partie sud de la Prusse orientale, les provinces allemandes de Poméranie et de Silésie jusqu’à la ligne formée par le fleuve Oder et son affluent, la Neisse (ligne Oder-Neisse). La Pologne récupère aussi Dantzig et Gdansk mais ces frontières ne sont pas reconnues par les alliés. Résulat, la Pologne est plus petite qu’avant (310 000 km2 contre 366 000) mais elle est beaucoup plus ramassée. Elle a glissé à l’Ouest et au nord au détriment de l’Allemagne mais dispose d’une