Genévrier

coq, l'épervier la corneille, le griffon, le cygne, la cigale ; parmi les arbres, le laurier, en souvenir de Daphné, et dont il fit la récompense des poètes, puis l'olivier, le palmier ; parmi les arbrisseaux ou les fleurs, le lotus, le myrte, le génévrier, la jacinthe, le tournesol, l'héliotrope, etc. Les jeunes gens arrivés à la puberté lui consacraient leur chevelure dans son temple. On le représente toujours jeune et sans barbe, parce que le Soleil ne vieillit point. L'arc et les flèches qu'il

coq, l'épervier la corneille, le griffon, le cygne, la cigale ; parmi les arbres, le laurier, en souvenir de Daphné, et dont il fit la récompense des poètes, puis l'olivier, le palmier ; parmi les arbrisseaux ou les fleurs, le lotus, le myrte, le génévrier, la jacinthe, le tournesol, l'héliotrope, etc. Les jeunes gens arrivés à la puberté lui consacraient leur chevelure dans son temple. On le représente toujours jeune et sans barbe, parce que le Soleil ne vieillit point. L'arc et les flèches

❑ autres espèces végétales utilisées : les bambous qui en plus de l'effet décoratif servent de canalisation et de balancier pour de faible flux d'eau, les camélias recherchés pour la floraison colorée voire parfumée, les cryptomerias et les genévriers pour les formes architecturales, les azalées pour les coloris, les mousses formant d'épais tapis. Les bonsaïs ou arbres nains, cultivés en récipient sont obtenus par la taille particulièrement rigoureuse de la partie aérienne et des racines

(espèce non connue). - Le dernier cas remonte à septembre 2000 dans le port de l’île des Embiez dans le Var. Il s’agit d’un jeune dauphin bleu et blanc (stenella) qui avait ingéré des morceaux de plastique, des feuilles de posidonies, des feuilles de genévriers… Il n’est pas forcément mort à cause de ces plastiques mais il avait visiblement un comportement alimentaire perturbé. • Leurs mouvements incessants. Les macrodéchets de faible densité sont transportés par les courants et la houle. Ils exercent

interjections et les cris, la petite troupe finissait par gravir la montée en silence, les chiens décrivant tout autour d’inlassables lacets. (…) Au bout d’une heure enfin, on débouchait au bord d’un immense plateau couvert de chênes nains et de genévriers, aux vallonements peu accusés et sur lequel un immense ciel frais et légèrement ensoleillé étendait ses espaces. (…) Les chiens, comme avertis, revenaient se grouper autour des hommes. On convenait de se retrouver pour le déjeuner à deux heures

il pouvait se croire transporté dans le temps. Où que se pose son regard, il y avait de vastes places et des rues embouteillées. Des jardins publics émaillaient la ville, plantés d’un assortiment d’arbres étonnant : des palmiers, des pins, des genévriers et des oliviers, à croire que Rome n’arrivait pas à choisir à quelle partie du monde elle appartenait – ou 723/1102 qu’elle croyait encore que le monde entier lui appartenait. La ville donnait l’étrange impression de connaître le rêve de Gaïa

Eragon s’appuya contre l’encolure de Feu-de-Neige, heureux d’avoir mis une telle distance entre Gil’ead et eux. — Trouvons une ravine ou un vallon où nous pourrons dormir sans être dérangés ! lança-t-il. Ils s’arrêtèrent au pied d’un bosquet de genévriers, et y installèrent leur campement. Patiemment, Saphira attendit qu’ils détachassent l’elfe. — Je prends le premier quart. Je te réveillerai à la mi-journée, proposa Murtagh en posant son épée nue sur ses genoux. Eragon grommela et s’enroula

antichambre aux armures, cause de ses terreurs nocturnes, et ne la trouva du tout si lugubre aux vives clartés du jour. Une lumière pure tombait des hautes fenêtres que n'aveuglaient plus les volets fermés. L'air avait été renouvelé. Des fagots de genévrier et de bois odorant, brûlés à grande flamme dans les cheminées, avaient chassé l'odeur de relent et de moisissure. Par la présence du maître, la vie était revenue à ce logis mort. La salle à manger ne se ressemblait plus, et cette table, qui la veille

antichambre aux armures, cause de ses terreurs nocturnes, et ne la trouva du tout si lugubre aux vives clartés du jour. Une lumière pure tombait des hautes fenêtres que n'aveuglaient plus les volets fermés. L'air avait été renouvelé. Des fagots de genévrier et de bois odorant, brûlés à grande flamme dans les cheminées, avaient chassé l'odeur de relent et de moisissure. Par la présence du maître, la vie était revenue à ce logis mort. La salle à manger ne se ressemblait plus, et cette table qui la veille

antichambre aux armures, cause de ses terreurs nocturnes, et ne la trouva du tout si lugubre aux vives clartés du jour. Une lumière pure tombait des hautes fenêtres que n'aveuglaient plus les volets fermés. L'air avait été renouvelé. Des fagots de genévrier et de bois odorant, brûlés à grande flamme dans les cheminées, avaient chassé l'odeur de relent et de moisissure. Par la présence du maître, la vie était revenue à ce logis mort. La salle à manger ne se ressemblait plus, et cette table, qui la veille