Gengis Khan

toutes les tribus mongoles se réunit à Karakorom, en Mongolie, pour confirmer la création de l’unité mongole sous l’autorité de Gengis Khan, l’«empereur suprême». Les Mongols entamèrent rapidement une série de conquêtes qui aboutirent à la formation du plus grand empire du monde de l’époque. 7 L’invasion mongole et apogée de l’empire chinois. En Chine, Gengis Khan s’empara d’abord de Pékin, la capitale des Jin, en 1215, avant de se rendre maître de tout le nord de la Chine après la reddition

ouverture de routes commerciales dès la fin du xe siècle en Europe (cf. Pierre Riché, le terme Europe n'était pas encore employé), foires de Champagne au xiie siècle, à cette époque, la Chine est florissante sous l'empire Song. les conquêtes de Gengis Khan, commencées en Chine en 1218 et poursuivies par ses descendants, ont conduit à la formation du plus grand empire terrestre contigu de l'Histoire23 ; la Chine lance entre 1405 et 1433 des expéditions vers l'Afrique (Amiral Zheng He) ; la Renaissance au xve siècle s'accompagne

Quelques occidentaux : les compagnies des indes néerlandaise L’ouverture entraîne une fermeture Elle s’est fermé au commerce internationale mais n a jamais été close, mieux _ les Wei (des afghans), des mongols et les YUAN, l’empire de Gengis Khan; Les invasions barbares chinoises se sinisent.La chine digère ses envahisseurs car elle n’est pas une nation mais une civilisation. 1644, la dynastie des quing, prennent pékin et deviennent des sédentaires Pas de racisme, il s’agit pas de

se réunit à Karakorom, en Mongolie, pour confirmer la création de l’unité mongole sous l’autorité de Gengis Khan, l’«empereur suprême». Les Mongols entament rapidement une série de conquêtes qui aboutirent à la formation du plus grand empire du monde de l’époque. 18 Sous les Yuan (Mongols) (1277 (1280)-1367) E n 1279 la Chine passe donc sous la domination des Mongols. Kubilaï Khan fonde la dynastie des Yuan (1279-1368. La Chine s’étend alors des territoires apportés par le vainqueur

et des armements moins performants, Epaminondas parvient à changer les règles de la guerre et à s'assuré une victoire impossible. Il fait partie intégrante des généraux de grand talent qui ont marqué l'histoire, au même titre que Napoléon ou le Gengis Khan. -Selon Xénophon, seule source historique contemporaine des événements, Épaminondas fait partie de l'état-major thébain, et n'est en aucun cas l'unique stratège. D'ailleurs vous remarquerez que Xénophon ne mentionne même pas son nom. -Alors

Richard Coeur de Lion, roi d'Angleterre qui engagea la 3ème croisade et défendit les territoires français détenus par la Couronne d'Angleterre. 1206 : En Mongolie, Gengis Khän est « empereur suprême ». 1214 : bataille de Bouvines, Philippe Auguste se dit « Roi de France. » 1215 : Magna Carta. 1271 : conquête de la Chine par le mongol Kubilaï Khän qui fonde la dynastie Yuan. 1271 : voyage du marchand vénitien Marco Polo. 1302 : Philippe le Bel crée les états généraux. 1314 : chute des Templiers. 1337→1453:

blanc, les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire. Les autres princes qui entendent parler de cette équipée y prennent part, chacun selon son pouvoir, et couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n'en traînèrent à leur suite. Des peuples assez éloignés entendent dire qu'on va se battre, et qu'il y a cinq à six sous par jour à gagner pour eux s'ils veulent être de la partie : ils se divisent aussitôt en deux bandes comme

comme Malte, les Falkland et Sainte Hélène. Le Royaume-Uni a ainsi découvert le Zambèze, avec Livingstone, ou le lac Tanganyika, avec la société royale de géographie de Londres. Cet empire britannique, sans rival dans l’histoire (ni Alexandre, ni Gengis Khan, ni Napoléon n’auront été à la tête d’un si grand empire), permet d’affermir la domination de l’économie-monde britannique. En effet, les colonies sont « mises en valeur » dans le seul souci du commerce d’exportation vers la métropole. De plus

blanc, les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire. Les autres princes qui entendent parler de cette équipée y prennent part, chacun selon son pouvoir, et couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n’en traînèrent à leur suite. Des peuples assez éloignés entendent dire qu’on va se battre, et qu’il y a cinq à six sous par jour à gagner pour eux s’ils veulent être de la partie : ils se divisent aussitôt en deux bandes comme

démolitions barbares ; j’aimerais mieux — et nous sommes quelques-uns dans ce cas — que l’on enseignât dans les écoles la vie d’Eupalinos ou le récit de la construction de Notre-Dame plutôt que la vie de César ou que le récit des exploits astucieux de Gengis Khan. Le bravache a toujours su forcer le civilisé à s’intéresser à son inintéressante personne ; où l’attention ne naît pas d’elle-même, il faut bien qu’on l’exige, et quoi de plus facile lorsque l’on dispose des armes. On ne règle pas ces problèmes