Gengis Khan

Zugleich eine Einfuhrung in die Instrumentenkunde. Document 4 : 1984, Lewis Rowell, Music and musical thought in early India. Document 5: 1984, Jacques Chailley, Précis de Musicologie. Document 6 : Fevrier 1993, Compact Disc, Inde du Nord, Amjad Ali Khan. Document 7 : Décembre 1993, Compact Disc, L’art de la Vichitra vina, Gopal Krishan. Document 8 : 1994, A.H. Fox Strangways, The music of Hindostan. Document 9 : Mars 1995, Alain Daniélou, La musique de l’Inde du Nord. Document 10 : 2008, Mireille

of chaos in Kabul, the Hindus had already taken Peshawar in 1834 and are now dangerously advancing towards Kabul. The situation became sensitive to the ruler of Afghanistan and he had to react. In 1836 he sent a detachment led by his own son, Akbar Khan, in an attempt to stop them. Although he was only nineteen years old, Akbar managed to defeat the Sikhs and killed their commander, Hari Singh Marwa, near Jamrud (a town west of Peshawar). But after this victory, Dost Mohammed did not launch an offensive

notament architecte en chef des monuments en ALGERIE de 1965 à 1971 il a vécu plusieurs années au m'zab ou il a non seulement construit mais encore créé des ateliers. il a reçu en 1980 pour le centre médico social de MOPTI au MALI le prestigieux prix AGA KHAN d'architecture destiné a encourager la renaissance de cet art en pays d'islam et en 1982 la grande médaille d'argent de l'urabanisme décernée par l'académie d'architecture pour l'ensemble de son oeuvre  (le m'zab une leçon d'architecture) le livre

[13: BAJLON, J.M.S, « Sir Sayyid ahmad Khan», in Encyclopédie de l’islam, 2010. URL: http://dx.doi.org/10.1163/9789004206106_eifo_SIM_0410. ] Puis, c’est au XVIIIe siècle que le concept d’orientalisme naît en Europe. Edward Said (1935-2003) participe à ce courant littéraire. Il a l’idée

blanc, les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire. Les autres princes qui entendent parler de cette équipée y prennent part, chacun selon son pouvoir, et couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n'en traînèrent à leur suite. Des peuples assez éloignés entendent dire qu'on va se battre, et qu'il y a cinq à six sous par jour à gagner pour eux s'ils veulent être de la partie : ils se divisent aussitôt en deux bandes comme

et non quelqu’un de noble et de juste. Le « prince » ici décrit par Voltaire se voit être lâche, prétentieux, avare de pouvoir et sans cœur. Pour appuyer cette description le « prince » est comparé à des monstres sanguinaires et cruels tels que Gengis Khan, Tamerlan et Bajazet. Les marques de l’indétermination L’écrivain dans une continuité du conte repris l’indétermination qui permet de sortir de la réalité. « Il y a trois ou quatre cents ans » rappel le « il était une fois » et « une maison

Asie. En effet l’Empire mongol de Gengis Khan s’étendait à l’ouest vers l’Europe et à l’est vers la Chine, les tibétains decidèrent conclurent un accord avec les chefs mongols afin d’éviter la conquête du Tibet. Le dalaï Lama promit loyauté politique, bénédiction et enseignement religieux en échange d’un parrainage et d’une protection. En 1271, Qubilai Khan, descendant de Gengis Khan, fonda en Chine la dynastie des Yuan (1271-1368). Selon les Chinois, le Khan donna alors le contrôle du Tibet

rythmé ou chacun change de partenaire comme il l'entend : « tantôt […] cinq ». → Presque oubli de la vie de « multitudes » si Voltaire ne rappelait pas les horreurs de la guerre. → Princes et leurs troupes sont des « meurtriers » comme « Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet » = avec leurs crimes (« s'acharnent », « le plus de mal possible »), leur mépris de la valeur chrétienne (« exterminer son prochain ») → commentaire faussement admiratif de V. : « Le merveilleux de cette entreprise infernale

blanc, les fait tourner à droite et à gauche et marche à la gloire. Les autres princes qui entendent parler de cette équipée y prennent part, chacun selon son pouvoir, et couvrent une petite étendue de pays de plus de meurtriers mercenaires que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n’en traînèrent à leur suite. Des peuples assez éloignés entendent dire qu’on va se battre, et qu’il y a cinq à six sous par jour à gagner pour eux s’ils veulent être de la partie : ils se divisent aussitôt en deux bandes comme

meurtriers que Gengis Khan, Tamerlan, Bajazet n’en traînèrent à leur suite ». Gengis Khan (v.1162 – 1227) fut le premier empereur mongol. Il utilisa son génie politique et militaire pour unifier les tribus turques et mongoles de l’Asie centrale et ainsi fonder son empire, le plus vaste de tous les temps. Il mena pour cela la conquête de la majeure partie de l’Asie, incluant la Chine, la Russie, la Perse, le Moyen-Orient et l’Europe de l’Est. Tamerlan (1336- 1405), parent éloigné de Gengis Khan, se considéra