Génome mitochondrial

métal enrobés d'ADN ( bille d'or ou de tungstène de un micron). Elle sont projetées a très grande vitesse sur les cellules a transformé afin de traverser leur parois. Certaines cellules atteintes vont alors insérer spontanément le transgenes dans leur génome. Techniques consistant a propulser des billes par air comprimé contenant des gènes donnés dans des cellules végétales. la micro injection= Elle se réalise sur des protoplastes. Elle consiste a introduire directement le gène étranger dans la

germer sur un lieu géographique inconnu et donc non contrôlé.Les phénomènes de dissémination des transgènes peuvent aussi s'expliquer par les micro-organismes du sol qui ont la capacité naturelle d'intégrer des fragments d'ADN d'une plante dans leur génome, avec certes une probabilité faible, et donc d'en transférer à leur tour. La réglementation doit donc statuer sur le phénomène dit de contamination, considérant que l'expression du transgène par une plante voisine après croisement ou après diffusion

numérotées de 1 à 3. Partie I : Restitution de connaissances STABILITÉ ET VARIABILITÉ DES GÉNOMES ET ÉVOLUTION D'après sujet Pondichéry, juin 2006. La connaissance du génome des espèces montre une grande complexité tant du point de vue du polymorphisme que de la multitude des gènes. Présentez les différents types d'innovations génétiques et montrez qu'elles permettent d'expliquer la complexité du génome. La réponse sera structurée et illustrée d'un schéma d'innovation génétique à l'échelle de l'ADN

tant que possible de rétablir la viabilité d’une cellule. - Quand l’erreur n’est pas réparée, si les modifications n'empêchent pas la survie de la cellule, il apparaît une mutation, qui sera transmise si la cellule se divise ; les modifications du génome sont le plus souvent des mutations ponctuelles : des additions et des délétions qui correspondent à des ajouts ou à des pertes de bases, des substitutions qui correspondent au remplacement d’une base par une autre. 2.2. L’expression génétique et les

méiose aboutit à deux cellules à 3 CHR à deux chromatides (Remarque du professeur Manumanu : la figuration d’un crossing-over n’était pas cruciale au vu du sujet où l’on vous demandait surtout d’insister sur la stabilité et non sur la variabilité des génomes : pas d’inquiétude donc si vous n’avez pas représenté de crossing-over) Schéma n° de la deuxième division de méiose : elle aboutit à quatre cellules à 3 4 CHR à une chromatide. Ces quatre cellules ont donc récupéré un caryotype haploïde à 3 CHR

protéines). PS : voir les acquis page 85 II. Le polymorphisme génique Tous les individus d’une même espèce partagent le même génome : - même nombre de chromosomes - même structure générale des chromosomes (visibles lors du caryotype), - mêmes gènes, localisés aux mêmes endroits sur les chromosomes. Cependant, la séquence d’ADN correspondant à un gène peut-être différente

3 Protocole:   |ETAPE 1 : Prélevez 1 cuillerée à soupe de broyat |ETAPE 2: Préparez le milieu d'extraction dans un erlen: | |d'oignon sur la paillasse du professeur et déposez la |dissoudre 1 cuillerée à café de chlorure de sodium dans 50 mL d'eau déminéralisée. Ajoutez ce milieu au broyat | |dans un mortier. |d'oignon.

Conclusion Introduction : La première tentative de transgénèse est bactériennes , elle est faite par l’américain Paul Berg et ses collaborateurs en 1972,elle consistait en l’intégration d’un fragment d’ADN du virus SV40 cancérigène dans le génome de la bactérie E. Coli ( présente dans le tube digestif humain ), ce premier essaie avait pour but de prouver qu’il était possible de recombiner , in vitro deux ADN d’origines différentes , ce fut un échec et la bactérie ne put être répliqué mais

sa protéine GP120. En même temps le correcepteur CCRS de la cellule s'associe à la P41 du virus. Le virus peut alors pénétrer dans la cellule. La capside s'ouvre et libère l'ARN du virus qui est retranscri en ADN. L'ADN proviral s'intègre alors au génome cellulaire. La machinerie cellulaire est alors asservie et produit des éléments viraux (ARN, proteines dont la trascriptase inverse) Les capsides virales se reforment en enfermant les brins d'ARN génomique et les enzymes virales (transcriptase inverse

clade monophylétique (Figure 1) inclus dans la famille des Solanaceae, parmi lesquelles on trouve aussi la pomme de terre (Solanum tuberosum), le poivron (capsicum), le pétunia ou le tabac. La tomate a été choisie comme système modèle pour l’étude du génome des Solanaceae, du développement des fruits et l’analyse des conséquences de la domestication des espèces sauvages. De nombreux efforts ont été faits pour caractériser la diversité génétique des espèces de tomate. En conclusion, le clade de Solanum