Génotype

moustique possédait un gène codant une molécule (enzyme), sous deux allèles : • l’allèle R (résistance) conférant la capacité de résister aux insecticides ;• l’allèle S (sensible).On observe que la quantité de cette enzyme produite dépend du génotype du moustique. On constate que la quantité de celle-ci est ainsi 500 fois plus importante chez un moustique résistant que chez un moustique sensible.Document 2 : action de l’enzyme sur un insecticide, le parathion.Le parathion est, comme tous les

Thème 1 : Du phénotype au génotype, applications biotechnologiques Les acquis du collège Chaque individu présente les caractères de l’espèce avec des variations qui lui sont propres. C’est le résultat de l’expression de son programme génétique et de l’influence des conditions de vie. _ Les caractères qui se retrouvent dans les générations successives sont des caractères héréditaires. _ Les conditions de vie peuvent modifier certains caractères. Ces modifications ne sont pas héréditaires. _

le gène responsable de cette maladie est hétérosomal (lié au sexe) ou autosomal. 3) Expliquez la probabilité de rencontrer une fille malade. 4) a- Expliquez le fait qu’un seul des jumeaux (26 𝑒𝑡 27) soit malade. b- Ecrivez leur génotype. 5) Donnez la probabilité pour que l’enfant de madame A soit sain. Page 2 sur 7 Page 3 sur 7 EPREUVE DE CULTURE GENERALE OPTIONS : Toutes DUREE : 2 heures COEF : 01 SUJET : Après avoir montré

de fleurs sont des lignées pures. Les parents sont donc homozygotes pour le caractère considéré. Soit le génotype de P1 à fleur rouge (R//R). P1 produit 100% de gamètes ayant pour génotype (R/). Soit le génotype de P2 à fleur blanche (r//r). P2 produit 100% de gamètes ayant pour génotype (r/). F1 correspond aux croisements des gamètes de P1 et P2. Tous les individus de F1 sont donc de génotype (R//r) et ont un nouveau phénotype (rose). On en déduit que les deux allèles sont codominants et l'expression

indexés et intégrés dans une grille de qualification. 233 Une sélection réorientée Non épargnée, la France se voit dans l’obligation de lutter contre les épidémies de tremblante apparue en juin 1996. Par chance, il s’est avéré que certains génotypes de moutons étaient résistants à cette maladie. Ainsi, un programme d’éradication de la tremblante a été mis au point au cours de 2002 par le Ministère de l’Agriculture, pour lutter et faire disparaître la maladie. Ce programme prévoit donc le génotypage

Relation entre phénotype et génotype Il y a toujours un phénotype moléculaire (ne concerne que la protéine) à l’origine d’un phénotype macroscopique (ne représente qu’une partie des caractères observables) A l’échelle d’une population il peut y avoir plus de 3 phénotypes alternatifs ; un même caractère peut varier au sein de l’espèce humaine grâce à la polyallélique → donc un caractère phénotypique peut être polygénique Le phénotype moléculaire dépend du génotype de l’individu, les protéines

de vérifier qu’a partir de deux parent de race pur (2 allèles identiques -> homozygote) on obtient des F1( enfant de première génération tous identique( même génotype et même phénotype). - 2e loi :Si on croise les F1 entre eux, on obtient 2 types de F2 différents : - types parent : génotype homozygote - types de recombines : génotypes hétérozygote I-1-2. 3è loi de Mendel : poly hybridismeOn étudie ici 2 gène indépendant a 2 allèles.- 3e loi : Loi d’indépendance des allèles. C’est la loi de ségrégation

POINTS) Voie métabolique et marqueurs des groupes sanguins. |1/ Représentez sous forme de schéma fonctionnel la relation entre le génotype et le phénotype moléculaire permettant de comprendre l’origine des groupes sanguins. | Un exemple de représentation sous forme d’un tableau (une représentation différente et judicieuse pouvait être acceptée). |génotype (allèles) |phénotype

propose de rechercher les causes possibles de cette résistance à l’infection. Le document 1 est relatif à l’entrée du VIH dans une cellule immunitaire. Le document 2 fournit des informations génétiques et sérologiques dans une population à risque. Génotype des populations étudiées SS SR RR 67 Pourcentage de séronégatifs 30 30 100 Pourcentage de séropositifs 70 70 0 Document 2 S et R représentent 2 allèles du gène codant la protéine membranaire CCR5 de la cellule

16 % des personnes ont le génotype 10,11 au locus CSF1PO. Au locus TPOX, puisque les deux allèles sont les mêmes, il n'y a qu'un seul terme : pp ou p2, ce qui représente la probabilité combinée d'hériter de l'allèle 8 de chaque parent. Par conséquent, environ 28 % des personnes ont le même génotype TPOX que la trace. On s'attend à ce que la proportion de personnes TPOX 8,8 soit encore de 28 %, même si l’attention est limitée uniquement aux personnes ayant un génotype CSF1PO particulier tel que