Génotype

Conclusions Analyse de la variabilité des réponses phénotypiques et de l’expression différentielle des gènes chez des mutants EMS de sorgho en condition de stress hydrique Figure 2: Stabilité des réponses physiologique et agro-morphologiques des génotypes en condition de stress hydrique Un essai au champ a été réalisé avec huit mutants EMS de sorgho au stade préfloral soumis ou non à un déficit hydrique (arrêt de l’irrigation 30 jours après semis). Le dispositif expérimental était un split-plot avec

: Du génotype au phénotype, applications biotechnologiques et Procréation thèmes au choix : Alimentation, production alimentaire, environnement ou une ressource indispensable :l’eau Pour l’année scolaire 2002-2003 thèmes obligatoires : Communication nerveuse et Procréation thèmes au choix : Une ressource naturelle : le bois ou Place de l’Homme dans l’évolution Pour l’année scolaire 2003-2004 thèmes obligatoires : communication nerveuse et du génotype au phénotype

produire une quantité presque infinie de gamètes différents. Par conséquent, un individu peut avoir une quasi infinité de descendant de génotype différents ; d’où la diversité génétique et phénotypique observée au sein des individus d’une espèce.La fécondation va encore accroître le brassage génétique en unissant deux gamètes provenant de deux individus de génotypes différents. 1°) Le brassage interchromosomique au cours de la méiose (cf TP1) Mise en évidence expérimentale d’un

interchromosomique conduit à 21 (2) solutions (4n4J ou 4J4n) Asque Asque de type 4n4j Spores jaunes Asque de type 4j4n Chez les organismes diploïdes le résultat du brassage méiotique est difficile à observer car nous ne pouvons pas observer le génotype des gamètes, mais seulement le phénotype des individus issus de la fécondation de ces gamètes avec d’autres gamètes. Difficile dans ces conditions de mettre en évidence des brassages alléliques. Chez un organisme diploïde, la mise en évidence

ph: allèle muté récessif responsable de la phénylcétonurie. * Catherine est [saine], son génotype est donc : S//S ou S//ph. * La mère de Catherine est [saine], elle possède donc l’allèle S, et elle a un enfant atteint ; elle lui a donc transmis l’allèle ph. Son génotype est donc : S//ph. * Le frère de Catherine atteint de phénylcétonurie est donc homozygote pour l’allèle ph (car il est récessif). Son génotype est donc : ph//ph. * Les filles du frère atteint de Catherine possèdent l’allèle ph de

à l’Etat diploide et donc la stabilité du caryotype. Chaque gamète d’un des deux sexes à autant de chance de féconder n’importe quelle autre gamète. Dans ce cas, à la fécondation, on obtient une cellule oeuf dont les différents génotypes possibles dépendent des génotypes des gamètes. Si on ne considères que le brassage inter chromosomique est des cellules hétérozygotes, le nombre de gamète génétiquement différents possibles obtenus grâce à la meiose est 2^n, chez l’Homme, 2n=46, ce nombre est égal

effet , si les deux couples d ‘allèles a / a+ et b / b+ sont sur des chromosomes différents, nous nous attendons à observer des quantités égales des 4 phénotypes possibles ( les deux parentaux , correspondant aux génotypes ab+ et a+b , les deux recombinés , correspondant aux génotypes a+b+ et a-b- ). Comme ce n ‘est pas le cas nous ne pouvons pas conserver l’hypothèse : les deux gènes envisagés ne sont pas sur des chromosomes différents. Et , s’ ils ne sont pas sur des chromosomes différents

1993, Mekhlouf et al., 2004). Le degré de sensibilité de la céréale au froid est très variable dans le temps et fonction des stades végétatifs (Figure 1). Les basses températures hivernales entravent la croissance, en début du cycle, des génotypes sensibles et sont nécessaires pour la satisfaction des besoins des variétés vernales (Bouzerzour et al., 1995). Lorsqu’elles se présentent tardivement au printemps, leur avènement coïncide avec le stade méiose, elles détruisent alors les grains de

Diapositive 1Chapitre 2 : Variabilité génétique de l’ADN et histoire du génome humainRappel : Les mutations sont des modifications de la séquence des nucléotides. I – L’origine des mutations de l’ADNCoursMutations et vie de l’individuMise en évidence de modifications génétiques au cours de la vieChapitre 2 : Variabilité génétique de l’ADN et histoire du génome humainLes mutations sont des modifications de la séquence des nucléotides. I – L’origine des mutations de l’ADN Des erreurs peuvent se

cellulaire responsables des anomalies des voies respiratoires. 3/ Déterminez les anomalies au niveau du génotype responsables du déclenchement de la maladie. 4/ En bilan, réalisez un schéma fonctionnel résumant le lien entre le génotype et le phénotype macroscopique. 2. Prévision de la mucoviscidose Rappel : chez un individu, chaque gène est