Gens de couleur libres

cause de la guerre civile était le coup d’état du général Franco qui voulait renverser la République pour la remplacer par une dictature. Au contraire d’une république, ou les gens peuvent voter, une dictature n’est pas démocratique et il n’y pas de liberté. A cette époque là, la plupart de la population était pauvre et les gens demandait plus de droits et des reformes égalitaires. c. L’action Le personnage principal est Esteban, jeune adolescent de seize ans. Il est issu d’un milieu social plutôt

ENFIN LIBRES LE MOUVEMENT DES DROITS CIVIQUES AUX ETATS-UNIS LE MOUVEMENT DES DROITS CIVIQUES AUX ETATS-UNIS LIBRES ENFIN « Je fais un rêve » : en août 1963, la marche sur Washington fut la plus grande manifestation politique que la nation eût jamais vue. La foule massée devant le Lincoln Memorial et tout autour du bassin du Washington Monument écouta l’allocution de Martin Luther King, peut-être le plus beau discours jamais prononcé par un Américain. s o m m a i r e —1

sagesse ou la vertu, se trouvent toujours dans les mêmes individus, en proportion de la puissance, ou de la richesse: question bonne peut-être à agiter entre des esclaves entendus de leurs maîtres, mais qui ne convient pas à des hommes raisonnables et libres, qui cherchent la vérité. De quoi s'agit-il donc précisément dans ce Discours? De marquer dans le progrès des choses le moment où, le droit succédant à la violence, la nature fut soumise à la loi; d'expliquer par quel enchaînement de prodiges

Texte choisi : Bonniol Jean-Luc, la couleur comme maléfice. Une illustration créole de la généalogie des Blancs, Paris, Albin Michel, 1992 Jean-Luc Bonniol est professeur d’anthropologie à l'Université Paul Cézanne Aix-Marseille 3, et travaille à la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme. Il est Spécialiste des sociétés créoles, et a mené des recherches sur l’impact de la « race » dans la structuration sociale et dans les processus identitaires. Ses nombreux travaux lui ont permis

habitants accusaient le vent de transporter les germes d’infection(L37) ». La ville d’Oran est dominée par le vent qui est perçu comme un être maléfique. → « couverte d’un enduit gris(L20) - blanchie de poussière(L31) » : elle semble avoir perdu toute couleur, comme anéantie par le passage du vent. →énumération d’adjectifs à sens hyperbolique pour caractériser la ville à l’aide de trois sensations témoignant de la domination des éléments déchaînés et de l’absence des hommes : « déserte, blanchie de poussière

rêvait de fraternité Lily Un hôtelier rue Secrétan Lui a précisé en arrivant Qu'on ne recevait que des Blancs Elle a déchargé des cageots Lily Elle s'est tapé les sales boulots Lily Elle crie pour vendre des choux-fleurs Dans la rue ses frères de couleur L'accompagnent au marteau-piqueur Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily Elle se laissait plus prendre au piège Lily Elle trouvait ça très amusant Même s'il fallait serrer les dents Ils auraient été trop contents Elle aima un beau blond frisé

coup que d’user de procédés qui lui gardent peut-être la couronne, mais qui lui enlèvent sa grandeur, car la dignité royale consiste à régner sur des gens prospères et heureux, non sur des mendiants. Il vaut mieux commander à des gens riches qu’être riche soi-même.En effet, se trouver seul à vivre dans les plaisirs et les délices au milieu de gens qui tout autour gémissent et se plaignent, ce n’est pas être roi, c’est un être un gardien de prison. Enfin, c'est un bien mauvais médecin, celui qui ne

l'adjectif de couleur rouge qui est celle du sang pour nous faire voire la scène qu'il décrit, la rendre réaliste. Et ainsi nous faire partager la douleur de ce jeune soldat et nous faire ressentir les"trous" qui lui ont était cause lord de la guerre. dans « Le mal » , Rimbaud la présente à l'aide de la métaphore (v1) : « Crachats rouges »  le crachat rouge est pour Rimbaud l'image même de la guerre qui représente le massacre de milliers de personnes et leur souffrances a traceur l'adjectif de couleur "rouge"

l'application de la déclaration des droits de l'homme aux « citoyens de couleur » et le 15 mai, l'Assemblée nationale accorde les droits de citoyens aux « gens de couleur, nés de père et de mère libres » puis énonce le principe suivant lequel le sol de la France affranchit l'esclave qui le touche, en décrétant le 28 septembre que « tout individu est libre aussitôt qu'il est entré en France », et que « Tout homme, de quelque couleur qu'il soit, jouit en France de tous les droits de citoyen ». Mais ce

Centre Beaubourg ne devienne pas un ensemble de départements étroitement séparés, plus ou moins élégamment organisés, mais un centre véritable » « démolir l'image d'un bâtiment culturel qui fait peur. C'est le rêve d'un rapport libre entre l'art et les gens », Renzo PIANO et Richard ROGERS. 1/ Sa conception structurelle Les éléments structuraux Le Centre comporte 7 niveaux de 7500 m² chacun, dont 2 niveaux de sous-sol, soit 45 000 m². Le sous-sol en béton sur une hauteur de trois niveaux, réalisé