Genzyme

1%, légèrement supérieur aux attentes des analystes de 5,6 milliards selon l'agence Bloomberg. Les résultats 2011 ont notamment ont permis l'intégration du groupe américain Genzyme, acquis en 2011, et de la performance des "plateformes de croissance" du groupe, dont l'activité a progressé de 10%. Ces plateformes et Genzyme ont représenté plus des deux tiers (65%) des ventes du groupe. Le bénéfice "net des activités", soit un recul important de ses bénéfices, indicateur mis en avant par le groupe

d’activité) en 2004. (détenant notamment Yves Saint Laurent, Nina Ricci). Acquisition de Aventis pour 55 milliards d’euros en 2004. Acquisition de « petites entreprises» entre 2008 et 2010 Et acquisition d’un nouveau groupe pharmaceutique américain Genzyme en 2011 (18,5 milliards d’euros). En 2011 le groupe redevient Sanofi. En 2010 Sanofi a des effectifs de 12 200 employés dans la recherche-développement, dans le monde dont 6 050 en France. Une transformation de la R&D du groupe a entraîné une

l'entreprise. L'entreprise Genzyme est né à Cambridge aux Etats-Unis en 1981.Henry Termeer est le patron historique de cette entreprise. Le but pour ses fondateurs était de trouver le nouveau traitement pour des patients atteints de maladies graves. Les produits Genzymes agissent sur des maladies type cancer, arthrose ou encore des maladies rénales. Elle développe des médicaments biologiques, c'est-à-dire dont la substance active est produite par une source biologique. Genzyme est aujourd'hui une entreprise

Le 2 Novembre 2010 Evaluation Financière – 3ème année ETUDE DE CAS : L’OFFRE PUBLIQUE D’ACHAT DU GROUPE SANOFI-AVENTIS SUR LA SOCIETE AMERICAINE GENZYME Etape 1 : Présentation des 2 sociétés Fondé en 1977, Sanofi-Aventis est le 5ème groupe pharmaceutique mondial, premier en Europe et en France. Présent dans 110 pays sur 5 continents, le groupe dispose de 105000 collaborateurs. Sanofi-Aventis concentre, sur le territoire français, toutes les étapes de la chaîne du médicament : recherche

tandis qu’en 2010, cette dette était de 26 817 millions d’euros, soit une diminution de 3 663 millions d’euros ; • Mais surtout à une augmentation de la dette obligataire de 6 211 millions d’euros, qui a servie au financement de l’acquisition de Genzyme Corporation. En ce qui concerne la valeur de marché de la dette nette de la trésorerie et des équivalents de trésorerie, elle s’élevait au 31 décembre 2011 à 11 596 millions d’euros, tandis qu’en 2010, elle était de 1 887 millions d’euros, et 4 349

d’intenses négociations, le sixième groupe pharmaceutique mondial, le Français Sanofi-Aventis (5,5 milliards d’euros de résultat net en 2010 pour un chiffre d’affaires de 30,4 milliards), parvint enfin à mettre la main sur son concurrent, l’Américain Genzyme, pour plus de 20 milliards de dollars. Cette acquisition confortait la stratégie voulue par le directeur général de Sanofi-Aventis, le Germano-Canadien Christopher Viebacher, depuis son arrivée à la tête du groupe fin 2008. Cette stratégie comprenait

datant de 1009 devrait permettre au groupe de lancer 18 nouveaux vaccins ou médicaments d’ici la 2015. * L’acquisition de Genzyme en 2011 dénote de la grande puissance financière de l’entreprise et sa capacité à croître de manière externe. * Il est nécessaire de noter, cependant, que la capacité d’endettement du groupe se trouve réduite suite à l’acquisition de Genzyme et haut plus haut depuis 5 ans. Cours de l’action depuis le 01/01/08 (Financial Times) : Données de l’action :

concrétiser le succès de la collaboration, voyons l’exemple de Sanofi et Genzyme. 1/ Deux brevets de chez Sanofi arriverons à terme en 2011( Plavix) et 2012(TAXOTERE). 2/ Genzyme a eu des problemes de penurie sur deux produits Cerezyme te Fabrazyme en 2009 qui ont des consequencdes tres lourdes avec la FDA. Des amendes a payer et des sanctions financières qui aurai risqué l’entreprise de couler. Sanofi décidera de racheter Genzyme début 2011.Le résultat était favorable pour les deux surtout Sanofi

 après neuf mois d’intenses négociations, le sixième groupe pharmaceutique mondial,  le  Français  Sanofi-Aventis  (5,5  milliards  d’euros de résultat net en 2010 pour un chiffre  d’affaires de 30,4 milliards), parvint enfin à mettre  la  main  sur  son  concurrent,  l’Américain  Genzyme, pour plus de 20 milliards de dollars. Cette  acquisition confortait  la  stratégie voulue par le  directeur général de Sanofi-Aventis, le GermanoCanadien Christopher Viebacher, depuis son arrivée à la tête du groupe fin 2008. Cette stratégie  comprenait 

des actionnaires conditionne chaque choix d’investissement d’une firme. Le cas très actuel de Sanofi-Genzyme (sur lequel j’écris mon mémoire de recherche) n’est conditionné que par des impératifs actionnariaux, puisque le prix de rachat de l’action Genzyme à 69$ permettrait aux actionnaires Sanofi de jouir d’un Bénéfice Par Action (BPA) beaucoup plus intéressant qu’à 80$ ou 75$ comme l’exige Genzyme. D’autre part acheter une action à 80$ contraindrait Sanofi à une augmentation de capital : ce qui réduirait