Geoffroy de Monmouth

cycle Arthurien Les sources littéraires de la légende : * Historia Regum Britaniae : (1138) première mention exhaustive du règne d’Arthur. * Wace, le Roman de Brut : (1155) reprise en français par un clerc normand de l’œuvre de Geoffroy de Monmouth. * Robert de Boron (1190-1210) : 1. Merlin en Prose 2. Histoire du Graal ou Joseph d’Arimathie * Lancelot-Graal (XIII ème siècle) : Cycle en prose de toute la saga littéraire * Vortigier l’usurpateur averti par

personnage du cycle arthurien, dans lequel elle est la demi-sœur — occasionnellement la sœur — magicienne du roi Arthur. Elle y est généralement présentée comme une adversaire du roi, de sa femme Guenièvre et des chevaliers de la Table ronde. Chez Geoffroy de Monmouth c’est la principale des neuf enchanteresses qui accueillent Arthur à Avalon après la bataille de Camlann ; chez Chrétien de Troyes, elle est présentée comme une sœur d’Arthur magicienne et guérisseuse coopérant avec son frère. C’est à partir

de Lancelot mais selon d’autres légendes son amant serait Yder (un simple chevalier, il provoquera maintes jalousies).Guenièvre est condamnée au buché. C’est grâce à Guenièvre, que les aventures de la table ronde ont été mises par écrit. (Geoffroy de Monmouth et Wace) Merlin l’enchanteur Né en Grande-Bretagne il serait le fils d’un diable venu sur terre pour séduire une demoiselle. Sa mère ignorant tout du père de l’enfant fut condamnée. Quand Merlin nait il est si poilu qu’aucune nourrice n’accepte

Morgane, une femme fatale Fenoll Loïse DOSSIER REPERES MYTHOLOGIQUE ET IMAGINAIRE LITTERAIRE Morgane la magicienne Support : Extrait de La vie de merlin, Geoffrey de Monmouth, 1148 Traduction du latin par Isabelle Jourdan, 1996 Extrait d’ Yvain ou le Chevalier au lion, Chrétien de Troyes, 1176 Extrait du Roman de Lancelot, volume de Lancelot-Graal, XIII° siecle Peinture à l’huile Morgan Le Fay, Anthony Frederick Augustus Sandys, 1864 - J’ai choisit pour cette étude de femme fatale

légende 1_L'origine de la légende arthurienne est le fruit des écrits de Chrétien de Troyes et de Geoffroy de Monmouth qui datent du XIIe siècle. Arthur aurait été un chef de guerre, un Dux Bellorum selon l'historien Nennius qui fut le premier au VIIIeme siècle à coucher sur papier l'histoire du roi Arthur. C'est ensuite que le personnage fut récupéré par Chrétien de Troyes en France et Geoffroy de Monmouth (l'inventeur de Merlin) en Grande-Bretagne. Ces deux poètes firent d'Arthur un héros universel

Les Chevaliers de la Table Ronde, est Geoffrey de Monmouth, en 1137, dont l’ouvrage s’intitule : Historia Regum Britanniae. Biographie de Geoffrey. Geoffroy de Monmouth, est un évêque et historien anglo-normand, écrivant en langue latine et familier du monastère de Glastonbury. Le lieu de sa naissance n'est pas connu, mais il s'agit probablement de Monmouth au Pays de Galles. Il semble avoir des ancêtres bretons. Il connait bien la région de Monmouth, et décrit Caerleon dans son Historia Regum Britanniae

en France , en Allemagne et en Grèce. La Romance du roi Arthur En 1133, Geoffroy de Monmouth écrivit son Historia Regum Britanniae. Ce livre fut l'équivalent d'un best seller médiéval, et attira l'attention d'autres écrivains, tels que Robert Wace et Layamon, sur ces histoires. Ces écrivains en profitèrent pour améliorer les histoires du roi Arthur. Même si de nombreux érudits s'accordent sur le fait que Geoffroy a suscité l'intérêt médiéval pour le Roi Arthur, une autre hypothèse existe. Les

William Shakespeare et créée le 26 décembre 1606 au Palais de Whitehall de Londres en présence du roi Jacques Ier. La pièce, dont l'action est placée 800 ans avant l'ère chrétienne, s'inspire entre autres de l’Historia regum Britanniae de Geoffroy de Monmouth, qui évoque la figure légendaire de Leir, roi mythique de l'île de Bretagne à l'époque celtique précédant la conquête romaine et de sa fille Cordélia. Elle contient une double intrigue dont l'action secondaire contribue à renforcer les différents

L'un des plus anciens documents donnant Caledvwlch comme nom à l'épée d'Arthur est le texte gallois du xie siècle Culhwch ac Olwen (Culhwch et Olwen), qui la présente comme une des plus précieuses possessions du roi breton. Au xiie siècle, Geoffroy de Monmouth est le premier auteur à nommer cette épée dans une autre langue que le gallois[2]. Dans son Historia Regum Britanniae, il latinise le nom en Caliburnus, terme qui pourrait être apparenté à chalybs, mot latin signifiant « acier »[3]. Le mot

raconte qu'Arthur n'est pas mort. Grièvement blessé lors de la bataille de Camlann, il a été transporté par sa sœur, la fée Morgane, jusqu'à l'île d'Avalon, il attend d’être guérit pour revenir il incarne alors l'espoir breton. En 1133, Geoffroy de Monmouth écrivit Historia Regum Britanniae. Ce qui inspira d'autres écrivains, tels que Wace et Layamon, sur ces histoires. Ces écrivains en profitèrent pour améliorer les histoires du roi Arthur. Ces histoires, réunies sous le vocable de matière de